AqME : Epithète, Dominion, Epitaphe

Alternative Metal / France
(2012 - At(h)ome)
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Lyrics

1. IDIOLOGIE

A constamment ne voir que l'inévitable
J'en oublie parfois l'éclat des jours parfaits

De complices sourires si familiers
Aux ardentes formes d'un idéal
D'autres visages aux bonheur parfait
Aux douces caresses des éléments

Regarde autour de toi

Si nous sommes capables du pire
Nous touchons parfois au sublime
Si nous sommes capables d'agir
Tous ensemble nous pouvons surpasser l'abîme

L'accomplissement d'une création
Aux rires sans fin d'une amitié solide
Les tendres mots d'un amour grand
Aux fausses notes d'un déchirement

Regarde autour de toi

Si nous sommes capables du pire
Nous touchons parfois au sublime
Si nous sommes capables d'agir
Tous ensemble nous pouvons surpasser l'abîme

Nous ne serons plus jamais seuls
Mais l'avons-nous jamais été?

Si nous sommes capables du pire
Nous touchons parfois au sublime
Si nous sommes capables d'agir
Tous ensemble nous pouvons surpasser l'abîme

Même au plus obscur...


2. QUEL QUE SOIT LE PROMETHEEN (OU LE NIHILISTE)

Comme l'a annoncé la prophétie
L'illusion d'être nous touche en plein coeur

Condamnés à la damnation
Malgré tous nos tourments expiés au centuple
Par d'ignorants prélats d'absolues chimères
Les yeux au ciel avec les autres infidèles
Face à nos doutes
Nous vivons dans la fange
Au milieu de leurs divines guerres

Comme l'a annoncé la prophétie
L'illusion d'être nous touche en plein coeur
Arrivera ce qu'il doit

Comme l'a annoncé la prophétie
L'illusion d'être nous touche en plein coeur
Arrivera ce qu'il doit

S'il y a une seconde chance
Elle brûlera comme nous tous
Sans laisser une seule cendre

Jamais je ne m'agenouillerai
Devant vos écrits apocryphes

Comme l'a annoncé la prophétie
L'illusion d'être nous touche en plein coeur
Arrivera ce qu'il doit

Comme l'a annoncé la prophétie
L'illusion d'être nous touche en plein coeur
Arrivera ce qu'il doit

Comme l'a annoncé la prophétie
L'illusion d'être nous touche en plein coeur
Arrivera ce qu'il doit


3. EPITHETE, DOMINION, EPITHATE

(Instrumental)


4. LUXE ASSASSIN

Des yeux d'or rivés
Sur des cimes de paysages monochromes oubliés
Après la tempête, hurle le calme

Métamorphose élégamment surestimée

La fin d'une ère, du sang sous les ongles
Immortel sans penser demain
Crois-tu vraiment en cette manne venimeuse?
Avons nous besoin d'autant?
Avons nous besoin d'autant?

C'est dans nos gènes ce goût du mal
Sans aucun sens
Donner vie
Abandonner sans connaissance
Laisser pour mort

Le rare talent d'une exquise précision
De mains sorcières qui transforment nos bêtes en costumes
En fin mets, en cosmétiques
Avons nous besoin d'autant?
Avons nous besoin d'autant?

C'est dans nos gènes ce goût du mal
Sans aucun sens
Donner vie
Abandonner sans connaissance
Laisser pour mort

Funeste transaction qui se transforme en rixe à profit
Douloureux tribut que tout le monde paie


5. L'EMPIRE DES JOURS SEMBLABLES

J'ai bien peur de ne plus te reconnaître
Ce malaise entre nous a fini par lasser
Où sont passés tous ses sourires?
Tous ces grands rêves, cette utopie
Cette envie de vivre ensemble?

Que deviennent tes trois couleurs?
Tes promesses d'un monde meilleur?

Nos souvenirs s'assombrissent
Perpétuels conflits d'une haine réciproque
Que s'est-il passé et maintenant?
Elles, se meurent

Tu ne me vois qu'avec les yeux remplis de hargne
Mais je n'ai pour toi qu'un regard indigné
Où sont passés tous ses sourires?
Tous ces grands rêves, cette utopie
Cette envie de vivre ensemble?

Que deviennent tes trois couleurs?
Tes promesses d'un monde meilleur?

Chaque jour doit se ressembler que je ne pense plus
Avoir tant à faire que je ne puisse plus t'en vouloir
Elles, se meurent
Elles, se meurent

Crois-tu encore en "nous"?
Crois-tu encore en moi?

Que deviennent tes trois couleurs?
Tes promesses d'un monde meilleur?

Bientôt je ne te devrai plus rien
Mieux vaut que je te quitte
Tu me manqueras mais je ne t'aime plus
Je ne t'aime plus
Elles, se meurent.


6. ADIEU!

J'aimerai trancher ta gorge
Pour m'assurer que tu peux encore saigner
Te dépecer pour voir ce que tu es vraiment
Savoir si tu existes ou si tu n'es qu'une partie de mon Moi

Un beau jour, en guise de trophée
Je coifferai ta peau, tes idées et je vivrai comme ca
Car mon enfer doit bien changer

Las, écoeuré
Devant l'écho égorgé, plongé dans les yeux de l'autre
Nous étions jeunes, l'ambition incarnée
Aujourd'hui, j'ai toujours peur de ton ombre

Un beau jour, en guise de trophée
Je coifferai ta peau, tes idées et je vivrai comme ca
Car mon enfer doit bien changer

Un beau jour, en guise de trophée
Je coifferai ta peau, tes idées et je vivrai comme ca
Car mon enfer doit bien changer

Et nous mourrons ensemble
Car mon enfer a ton visage.


7. MY ENGLISH IS PRETTY BAD (FT. JUNIOR OF DARKESS DYNAMITE AND STEPHANE BURIEZ OF LOUDBLAST)

Plus aucun signe
Tant à dire mais si incapable de laisser couler l'encre
Perdu parfois dans l'excès pour retrouver la parole
Je sais pourtant qu'en aucun cas
Tu m'aideras à trouver
La bonne voie pour comprendre pourquoi

It's meaningless but I can't let it go

Bitter blood runs in my veins (I can't breathe)
Those words are chocking me
Hidden down inside my throat (they're burning my mind)

Bitter blood runs in my veins (I can't breathe)
Those words are chocking me
Hidden down inside my throat (they're burning my mind)

One single word for all those years
So many lies for a simple moment
I can't let it go

Bitter blood runs in my veins (I can't breathe)
Those words are chocking me
Hidden down inside my throat (they're burning my mind)

Bitter blood runs in my veins (I can't breathe)
Those words are chocking me
Hidden down inside my throat (they're burning my mind)

Even if it's been there from the start,
You lied so many times
I never told you that before,
You didn't deserve to be heard anymore
Even if it's been there from the start,
You lied so many times
I never told you that before,
You didn't deserve to be heard anymore


8. MARKETING ARMAGEDDON

Tu n'es rien qu'un instrument au service du médiocre
Celui qui transforme en temps perdu, nos moments ensemble

Tu es la fin du monde
Tu es la fin du monde

Assidu serviteur du grand abêtissement, mes félicitations
Ton labeur est exemplaire !

Tu es la fin du monde
Chaque détail compte

Par principe je reste irascible face à tes putains d'idées
Je refuse ces réflexes imposés, cette pensée conditionnée
Qu'il est inutile et stupide de rêver mieux vivre

Tu es la fin du monde
Tu es la fin du monde

Tu es la fin du monde
Tu es la fin du monde.


9. PLUS TARD VS TROP TARD

Laisser le silence compter les ans
Par peur de conjuguer "aimer" pour toi
Plus ils s'additionnent, plus vite les mots s'effacent
C'est évident pourtant...

Plus tard, je serai là, comme je l'ai toujours été pour toi
Le temps passe pardonne-moi, avant qu'il ne soit trop tard

La confrontation si définitive
A l'agonie qui constament m'étouffe
Au point de si lâchement penser baisser les bras

Plus tard, je serai là, comme je l'ai toujours été pour toi
Le temps passe pardonne-moi, avant qu'il ne soit trop tard

Plus tard, je serai là, comme je l'ai toujours été pour toi
Le temps passe pardonne-moi,
Avant qu'il ne soit bien trop tard

Plus tard, je serai là, comme je l'ai toujours été pour toi
Le temps passe pardonne-moi, avant qu'il ne soit trop tard

Avant qu'il ne soit trop tard,
Avant qu'il ne soit bien trop tard
Avant qu'il ne soit trop tard,
Avant qu'il ne soit bien trop tard

Attendre et attendre encore sous d'amers regrets
Je m'en veux de ne pas avoir eu la force, le courage
De simplement te dire, qu'à jamais je t'aimerai
Maintenant qu'il est vraiment trop tard.


10. LA DIALECTIQUE DES POSSEDES

Dément tatoué par l'ennui
Happé dans ton brutal immobilisme
La foudre s'abat entre toi et moi
Mais nos différences sont aussi nos forces
Si l'on apprend l'un de l'autre

Nous sommes les soldats d'une même armée
Qui combat pour les ombres

Vois en moi ce que tu veux voir
Même un archétype pernicieux
Mais tu devras comprendre

Nous sommes les soldats d'une même armée
Qui combat pour les ombres
Nous sommes les soldats d'une même armée
Qui combat pour les ombres

Vindicatifs incultes animés par la rage
Nous avons l'un comme l'autre perdu trop de temps
Juste avant d'en parler, juste avant d'essayer,
Juste avant d'expliquer
Juste avant d'ignorer, juste avant d'oublier,
Juste avant d'en crever

Juste avant d'en parler, juste avant d'essayer,
Juste avant d'expliquer
Juste avant d'ignorer, juste avant d'oublier,
Juste avant d'en crever
Juste avant de s'énerver, juste avant de se croire juste.


11. 110.587

Recouvert du mépris des hommes
J'émerge dans une ville sans visage
Dans la poussière des étoiles il pleut sans cesse

Couvert d'éclairs et d'éclats
Des flammes dansent autour de moi pour m'accueuillir

Il ne reste que l'ironie et une odeur âpre
Autour de moi le temps semble s'être arrêté un court instant
Des images brûlent mes yeux, le silence broie mon encéphale
Debout, dans les cendres incandescentes
De nos derniers instants

Rien n'a plus d'importance, le vent dissipera cette folie
Et nous oublierons tout

Couvert d'éclairs et d'éclats
Des flammes dansent autour de moi pour m'accueuillir
Couvert d'éclairs et d'éclats
Des flammes dansent autour de moi pour m'accueuillir

D'incontrôlables spasmes oublient mon passé sybarite
La vengeance en moi guidera mes pas

Te souviens-tu?

Lyrics geaddet von gogol69 - Bearbeite die Lyrics