One Who Points to Death

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16/20
Nom du groupe Infernäl Mäjesty
Nom de l'album One Who Points to Death
Type Album
Date de parution 2004
Style MusicalThrash Metal
Membres possèdant cet album31

Tracklist

1. Death of Heaven
2. Pestilential Eternity
3. One Who Points to Death
4. Honey Tongue of Satan
5. Virgin Blood Taste Purest at Night
6. Cathedral of Hate
7. Angels & Acid
8. Hysterion Proterion

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Infernäl Mäjesty


Commentaire @ Black_Requiem

12 Août 2004
Ah, Le Canada ! Terre du sirop d’érable, des caribous, des trappeurs mais également de Infernäl Majesty. En matière de Metal Extrême les canadiens n’ont absolument rien à envier aux autres nations : dois-je seulement vous rappeler que Frozen Shadows, groupe culte de la scène Black Metal est issu du pays à la feuille d’érable ? Mais c’est dans un registre autre que celui du groupe précédent qu’évolue Infernäl Majesty. En effet les cinq musiciens du combo jouent un Old Thrash péchu et virulent. Mais sans doute que ce nom ne vous est pas inconnu puisque Infernäl Majesty hante la scène Metal depuis 1987. Mais bien que ce combo soit réputé, les cinq musiciens du froid ne sortent là que leur véritable quatrième album. En effet il y eut trois CDs en 1987, 1992 et 1998, puis un live (que je n’ai pas comptabilisé dans les albums proprement dit) et enfin une réédition d’un vieil album. Finalement le groupe aura habitué les fans à patienter entre chaque album (cinq ans environ entre chaque). Mais heureusement, ce One Who Points the Death ne déçoit pas.

Le quintette, bien qu’il ne soit plus de toute première jeunesse, délivre là un Thrash bien peaufiné, agressif mais surtout très prenant. Infernäl Majesty, mené de grandiose manière par la voix de Chris Bailey, démontre (à l’instar de AC/DC, de Iron Maiden ou encore de Destruction) que l’âge n’est pas un facteur de déclin musical mais que, au contraire, bien des jeunes groupes impétueux feraient bien de se calmer car bon nombre d’entre eux ont encore bien des choses à apprendre.

Pour en revenir à l’album je n’aurais qu’une chose à dire : mais quel son ! Toutes les parties (basse y compris) sont facilement discernables, aucun instrument ne prédomine sur les autres. Alternant passages rapides et passages plus calmes dans un mid-tempo, Infernäl Majesty achève une bonne fois pour toutes l’auditeur à coups de riffs tranchants comme des rasoirs, de batterie démenée, d’une voix de prédateur. En entendant ce One Who Points the Death on ne peut qu’acclamer la fabuleuse prestation des canadiens. En espérant que leur futur opus mettra moins de temps à paraître (bien que l’attente ait valu le coup).

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LeMoustre - 24 Septembre 2014: Franchement sauvage, cet album se démarque de l'influence Slayer du premier album, tout en conservant quelques gimmicks de guitares propres au groupe de la bande de Tom Araya. Flirtant ainsi avec la vague black/thrash avant l'heure, IM délivre un album vraiment terrible avec une ambiance de feu et des morceaux débridés et, à l'image de la pochette, contribue ainsi à raviver la flamme malsaine du groupe.
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