Deth Red Sabaoth

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18/20
Nom du groupe Danzig
Nom de l'album Deth Red Sabaoth
Type Album
Date de parution 27 Juin 2010
Style MusicalHeavy Metal
Membres possèdant cet album66

Tracklist

1.
 Hammer of the Gods
 05:20
2.
 The Revengeful
 04:10
3.
 Rebel Spirits
 03:58
4.
 Black Candy
 04:08
5.
 On a Wicked Night
 04:02
6.
 Deth Red Moon
 03:58
7.
 Ju Ju Bone
 04:45
8.
 Night Star Hel
 06:41
9.
 Pyre of Souls: Infanticle
 03:18
10.
 Pyre of Souls: Seasons of Pain
 07:17
11.
 Left Hand Rise Above
 04:22

Durée totale : 51:59

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Danzig


Commentaire @ Mindkiller45

23 Août 2010
Danzig… l’ex Misfits qui a commencé en 1988 avec son album Danzig I nous avait donné une machine à tubes, qu’il a réussi à donner sur ses deux albums suivants. Le reste de sa carrière était bien plus mitigé avec des albums instrumentaux tout à fait dispensables ou des albums tapant dans l’indus bien discutable. C’est donc avec beaucoup de réserves que j’ai placé ce Deth Red Sabaoth dans la platine.

Première impression, nous retrouvons le Danzig des débuts, avec ce son qui lui est bien caractéristique et des compos qui ressemblent à ce qui avait fait sa gloire passée. "Hammer of the Gods" est là pour le prouver. Une production moderne mais qui n’est tout de même pas sans rappeler tout ce qui avait fait la force des Danzig, Danzig II et Danzig III. Et c’est tout le long de l’album que l’on va avoir cette impression de renaissance, de redécouverte de soi par ce bon vieux Glenn. On se prendrait presque à espérer les chœurs d’un certain James Hetfield comme c’était le cas sur le premier album. Et ça aurait été tout à fait possible avec ce "The Revengeful" où les chœurs du même type que "Am I Revenge ?" sont présents.

Cet album sent bon donc. Il sent la digestion de ces tâtonnements et expériences peu convaincantes d’un Danzig plus mûr. Ou alors le bonhomme a-t-il juste besoin d’un peu plus d’argent pour moins prendre de risque ? Car en effet, niveau prise de risque, il n'y en a que très peu. L’album étant une suite logique de ce qui avait été fait entre 1988 et 1992. Mais peu importe, c’est bon, et on redemande d’autres albums de cette trempe !

A écouter d’urgence pour les nostalgiques !

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