Décidément le heavy mélodique est à l’honneur ces derniers temps… et cette fois-ci c’est à
Olympos Mons de nous sortir ce «
Conquistador », et vu la qualité de ce dernier, la bataille pour la première place va être rude…
Juste pour la petite histoire, le nom
Olympos Mons vient de la plus haute montage de Mars, qui s’avère être aussi le volcan le plus large connu à ce jour… Aucun rapport et aucun intérêt par rapport à la musique du groupe, passons donc au contenu du skeud…
Qui dit heavy mélodique, dit évidement parties instrumentales d’une grande virtuosité sur chaque titre, refrains entraînants et prenants, chant clair et mélodique, petit côté joyeux des compos… Mais tout cela on le retrouve sur maint autres albums du style et il me semble avoir parlé de tout ça au moins une dizaine de fois ces derniers temps pour d’autres albums…
Venons en donc à ce qui fait la différence entre
Olympos Mons et les autres groupes de heavy mélodique… je dirai… la variété des compos…
En effet, chaque titre est vraiment unique, aussi bien par rapport aux instrumentaux, comme par exemple « Sevens Seas » ou « Stars » qui ouvrent l’album avec des compos plutôt rapides, voir même un brin symphoniques mais qui enchaînent avec « The last light of the moon » plus lente et aérienne, avec des claviers plus présents… Donc variété des instrumentaux, mais aussi (et surtout en fait) variété du chant de
Ian Highhill, vraiment excellent et disposant d’un panel de choix incroyable, c’est simple entre « Stars » et « The last light of the moon » on croirait un autre chanteur… De plus
Ian Highhill sait être captivant, entraînant et nous offrir des refrains très mélodiques…
Donc vraiment du très bon travail pour
Olympos Mons, pour un album qui peut tourner durant plusieurs heures dans votre chaîne sans que vous vous en lassiez voir même que vous y découvriez chaque fois quelque chose de neuf…
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