Attaque

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17/20
Nom du groupe H-Bomb
Nom de l'album Attaque
Type Album
Date de parution 1984
Style MusicalHeavy Metal
Membres possèdant cet album117

Tracklist

Re-issue in 1997 by Axe Killer Records.
1. Attaque 00:32
2. Exterminateurs 03:56
3. Dressé à Tuer 03:13
4. Gwendoline 04:46
5. Substance Mort 03:18
6. Rêve de Puissance 03:29
7. Double Bang 04:08
8. Le Glaive 04:07
9. Crache et Crève 03:22
10. Fou Sanguinaire 04:34
11. La Horde 03:46
Total playing time 39:11

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H-Bomb


Chronique @ adrien86fr

11 Novembre 2011

Fille unique de Kröhn Le Grand, tes chaînes sont brisées..

La victoire surprise 1 but à 0 de la Belgique sur l’Argentine tenante du titre de Diego Maradona grâce à un but du futur numéro 9 du RCS Anderlecht Erwin Vandenbergh lors du match d’ouverture de la compétition au Nou Camp de Barcelone, la descente du frère de l’Emir sur la pelouse du Stade José Zorilla de Valladolid au cours de France-Koweït pour presser l’arbitre soviétique Miroslav Stupar de refuser un but pourtant valable du Bordelais Alain Giresse, le match nul et vierge honorable de la Pologne de Zbigniew Boniek face à l’ogre URSS en pleine révolution Solidarnosc, le record du nombre de buts marqués dans un match de Coupe du Monde FIFA pour la Hongrie ; patrie du mythique Ferenc Puskás (R.I.P. 1927-2006) ; face au Salvador de Luis Ramirez Zapata, l’attentat du gardien Harald Schumacher sur le Stéphanois Patrick Battiston dans la seconde période de la malheureuse demi-finale France-RFA dix minutes seulement après avoir remplacé le Sochalien Bernard Genghini et bien entendu la victoire finale 3 buts à 1 de l’Italie du Bianconero meilleur buteur et meilleur joueur désigné d’España 82 Paolo Rossi sur la RFA du Munichois Karl-Heinz Rummenigge… Avez-vous eu la chance de suivre la douzième édition de la Coupe du Monde de football, comme les membres d’un certain H-Bomb qui fondèrent en ce fameux mois de juin 1982 ce qui allait devenir une véritable légende du heavy metal tricolore ?

H-Bomb nait donc au cours des beaux jours de l’année 1982 à Draveil dans le département francilien de l’Essonne autour du vocaliste Didier Izard, des guitaristes Armando Ferreira et Christian Martin, du bassiste Philippe Garcia et du batteur Gérard Michel. Groupe de scène dans l’âme, H-Bomb ne cesse de parcourir les routes de France et de Navarre pour prodiguer son heavy metal ouvertement influencé par la NWOBHM à un public toujours plus nombreux et ira même jusqu’à ouvrir pour le légendaire Def Leppard le 15 mars 1983 à Melun. Objet d’une popularité enviable et croissante qui le voit apparaitre dans les pages louangeuses de la presse spécialisée de l’époque tels les Enfer Magazine et autres Metal Attack, H-Bomb fini par dégotter un record deal mérité avec le label hollandais Rave On Records ayant alors récemment sorti le premier EP éponyme du cultissime Mercyful Fate entre autres. Auteur en septembre d’un premier mini-LP prometteur intitulé « Coup de Metal » et label batave oblige, le combo francilien est amené à jouer régulièrement au pays des champs de tulipes et des moulins à vent pour assurer sa promotion comme ce fameux soir du 3 septembre 1983 où il ouvre pour Anvil à Eindhoven. Après le remplacement du guitariste Christian Martin par Paul Ferreira qui n’est autre que le frangin d’Armando en janvier 1984, H-Bomb continue les concerts tout en composant et mettant forme à son premier véritable full length entre les murs du Stonesound Studio de Roosendaal qui voit alors le jour en mai 1984 sous le titre bref mais on ne peut plus significatif de « Attaque ».

L’acquisition d’une galette de heavy metal français made in 80’s revêt toujours un caractère particulier. Qui ose dire que la France n’eut jamais été une terre de rock n’ roll ? Quel est ce snobisme excrémentiel ambiant qui tend depuis presque toujours à dénigrer le savoir faire culturel français, préférant l’extase inconsidérée face aux combos anglo-saxons ? Dans nombre de styles, l’Hexagone peut se targuer d’avoir enfanté des entités référentielles des styles auxquels on les rattache et ce malgré le peu d’intérêt porté généralement par les prescripteurs concernés et le public au sens large du terme. Dans une catégorie heavy metal d’obédience speed, faisons justice à cet « Attaque » qui entame les hostilités avec le très bon et conditionnant « Exterminateurs » proposant pour l’occasion un heavy metal au rythme soutenu et annonciateur de la déflagration thermonucléaire à venir pendant un peu moins de quarante minutes. Riffs incisifs, rythmique effrénée, vocaux de maître signés Didier Izard dont la capacité à monter dans les aigus s’avère être on ne peut plus bluffante et digne des plus grands ; « Exterminateurs » semble constituer la carte de visite d’un disque dont l’écoute ne laissera sans doute pas les tympans de l’auditeur indemnes une fois sorti d’affaire. En effet et ce pour le futur plaisir des tiroirs caisse des marchands de prothèses auditives à qui nous finiront tous par rendre visite un jour ou l’autre plus tôt que prévu, les lourds et efficaces « Dresser à Tuer », « Substance Mort » et autres « Double Bang » incitent obligatoirement à amplifier au maximum le volume de sa chaîne hi-fi de salon au risque de fragiliser la paix sociale de son voisinage pour pouvoir apprécier comme il se doit et comme il le mérite le speed metal mécanique inspiré et décisif d’H-Bomb que n’aurait pas renié un certain Exciter sur son légendaire « Heavy Metal Maniac » de 1983 notamment. Au nom de l’efficience instrumentale relative émanant de ce premier effort atomique, relevons entre autres la concomitance jouissive et enthousiaste des soli des frères Ferreira sur « Double Bang ».

Bien que synonyme de combo heavy/speed metal par excellence dans l’esprit du commun des mortels doué d’un minimum de culture musicale décibellisée made in France, H-Bomb propose sur « Attaque » des titres au tempo remarquablement plus modéré mais tout aussi accrocheurs que les hymnes énergiques cités précédemment. A ce titre, comment ne pas énoncer l’excellentissime « Gwendoline », véritable tube ultra efficace de l’album aux paroles des plus épiques qui permettra au moment voulu si ce dernier arrive de ne pas chercher midi à 14 heures le jour de la naissance de sa première fille quant à la recherche du prénom. Objet d’un heavy metal plus traditionnel donc, les sympathiques « Rêve de Puissance », « Crache et Crève » destiné tel un coup de poing dans la face à Trust l’idole que l’on pointe désormais du doigt, « Fou Sanguinaire » et autres « La Horde » se veulent garants de la diversité musicale de la galette présentant parmi d’autres l’avantage de ne pas s’enfermer dans une seule et unique case sans pour autant présenter une personnalité bancale et gauche. « Attaque » constitue effectivement un bloc solide et relativement concis sans véritable temps mort qui s’écoute avec un indéniable plaisir de bout en bout sans jamais avoir l’idée saugrenue de passer les titres comme il peut quelques fois en advenir au cours de l’écoute d’albums poussifs dont le but semi avoué est de légitimer une tournée vitale ou lucrative. La première explosion d’H-Bomb s’avère être empreinte de toute la furieuse énergie brute devant impérativement se dégager de tout premier full length digne de ce nom. Certains oseront peut être se plaindre de la production de Jack Hustinx comme ayant mal vieillie, mais le véritable et indéfinissable charme d’ « Attaque » n’est il pas aujourd’hui de permettre à l’auditeur de retourner vingt-sept ans en arrière pour fuir avec une complaisance salvatrice l’aseptisation inculturelle et sans âme de notre époque perfide et corrompue ?

Efficace, sans merci et surtout pertinent et légitime témoignage d’une époque bénie et irretrouvable ou la fierté métallique française dans le monde n’était pas synonyme de défenseurs de baleines bien sous tous rapports, «Attaque » du légendaire H-Bomb s’avère être un album de bonne facture qualitative qui ravira les amateurs de hard rock/heavy metal français des saintes années 80 se délectant régulièrement et non sans patriotisme des œuvres sacrées des mythiques Vulcain, Satan Jokers, Blaspheme, Sortilège, Warning, Killers, Fisc, Attentat Rock et autres ADX pour ne citer qu’eux. Illustré par un artwork réussi et objet d’un heavy/speed metal inspiré dans son ensemble sans cependant atteindre la transcendance divine, « Attaque » constitue un bon disque à découvrir ou à redécouvrir de toute urgence.



17 Commentaires

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MattMaiden - 16 Novembre 2012: Super chro, qui parle à mon petit coeur de footeux !! J'ai d'ailleurs en K7 vidéo enregistrée à l'époque par mon oncle (le magnétoscope était rare en 82 !) le match France/RFA. Mythique !!
samolice - 21 Novembre 2012: Merci Adrien. C'est en lisant la chro de Largod que j'ai découvert celle-ci. Excellente, comme d'hab.

"Gwendoline" - comme pour beaucoup apparemment - et "Dresser à tuer" sont mes titres préférés.

Et ce RFA-France de 82...
Ce jour là, j'en ai pleuré toute la nuit du haut de mes 13 ans. Salopard de Schumacher, les dents de Battiston ne te disent pas merci.
LeMoustre - 25 Mai 2016: 2 excellentes chroniques empestant les années 80. @Sam : on se serait consolé, j'avais 11 balais, et j'ai chialé comme un orphelin. Quelle soirée, je me rappelle d'ailleurs ayant croisé des Allemands en vacances peu après, que la tension était palpable au camping d'alors.

Bref, superbe disque, que je découvre sur le tard, franchement, ça le fait. Rien à envier à un Accept, tiens, pour reprendre la dualité France - RFA, en espérant que l'Euro à venir donne une revanche à nos petits Bleus (on disait tricolores, tiens !).
LeMoustre - 17 Fevrier 2020:

A savoir que le petit label Obskure Records a réédité officiellement en CD ce disque en 2019. Trouvable donc maintenant sans vendre mémé. Le repress Axe Killer étant épuisé depuis belle lurette.

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Chronique @ largod

15 Novembre 2012

Prémonitoire ?

Allez savoir pourquoi j’avais la boule au ventre en allant chercher ce premier album des H-Bomb à la Fnac Montparnasse. En ce jour de fin de printemps 1984, illuminé d’un soleil radieux et d’un ciel au bleu immaculé, le trajet en Bus 91 me paraissait interminable alors que la distance n’avait pas soudain triplé de longueur depuis la semaine passée. Le mini LP datait de l’année précédente mais mon attente était à la hauteur de l’envie de découvrir le contenu de cette nouvelle galette.

Allez savoir pourquoi mon doigt tremblait un peu lorsqu’il fallut poser le bras de ma chaine sur le vinyle. Casque AKG posé sur mes oreilles et yeux rivés sur une pochette sobre et cliniquement froide, la découverte pouvait commencer. Je n’avais aucune idée de ce que à quoi je pouvais m’attendre, si ce n’est de retrouver l’énergie débordante des 5 jeunes artistes et de me laisser porter par les mélodies de mon groupe français favori.

Allez savoir si ce sourire qui illuminait mon visage provenait seulement de l’introduction martiale « Attaque » qui annonçait le premier déluge de riff d’ « Exterminateurs ». La production m’a immédiatement marqué par sa propreté et sa netteté. Bon sang, un groupe français avec ce niveau et cette qualité sonore, cela faisait une éternité que ce n’était pas arrivé. Les paroles et le chant se mettaient au diapason de la section rythmique toujours aussi carrée et des guitares, bien en place et parfaitement audibles et distinctes entre Armando et Paul Ferreira, le nouveau venu ex-Mach3, suite au départ de Christian Martin. H-Bomb était de retour et ça allait saigner !

Allez savoir si le côté sauvage et barbare du premier EP avec son fameux son brut de fonderie allait me manquer. En fait, H-Bomb n’avait pas muté de la peau d’une bête fauve dans celle d’un doux et paisible agneau, loin de là. Les titres coup de poing ou à la musicalité travaillée défilent (« Double Bang », « Exterminateurs », « Dressé à tuer », « Rêve de puissance », « Fou sanguinaire », « La horde ») et prennent leur place dans la discographie du jeune quintette. Un soin particulier a été porté aux mélodies de chaque titre, c’est indéniable, mais la force de frappe reste intacte malgré un désir clair et légitime de proposer du heavy-metal made in France bien léché et diversifié. Speed un jour speed toujours, certes. Mais H-Bomb ne pouvait survivre à la concurrence étrangère qu’au titre d’une évolution vers un style moderne et irréprochable.

Allez savoir pourquoi la voix de Didier Izard me transportait toujours aussi loin. Portant le même prénom que le hurleur, cette explication ne suffisait pas à me convaincre. Il y avait à l’époque en France des vocalistes foutrement plus doués par la nature (Christian « Zouille » Augustin, Pierre Guiraud). Pourtant, son grain de voix si particulier et sujet à des problèmes de polypes récurrents lui permettait à la fois un chant autoritaire et guerrier (« Exterminateurs », « Double Bang », « Crache et crève », « Substance mort », « La horde »), modulant les aigus (« Dressé à tuer », « Rêve de puissance », « Le glaive », « Fou sanguinaire ») et tutoyant les anges (« Gwendoline »). Sa chaleur et sa diction nette permettent de retenir sans effort les textes et les paroles abordant des sujets de la vie courante. La véritable bombe H en matière de chant restera le magnifique « Gwendoline » qui synthétise toute l’émotion, la force et la technique de ce chanteur. Ce n’est pas le meilleur, le plus grand, le plus talentueux ou le plus célèbre mais son travail force le respect et l’empreinte qu’il a apportée au style d’H-Bomb marquera à jamais l’histoire du rock dans ce pays.

Allez savoir si la réussite de ce premier album d’H-Bomb ne proviendrait pas de l’osmose entre les cinq musiciens. En effet, il ne se passe pas un titre dont le riff ne vous perfore pas le cerveau (« Exterminateurs », « Substance mort », « Double bang ») ou ne vous hypnotise pas les neurones (« Gwendoline », « Le glaive », « Crache et crève », « La horde »), il ne se passe pas un titre où les soli ne vous touchent pas par leur feeling ou leur simplicité d’exécution (« Rêve de puissance », « Fou sanguinaire »), il ne se passe pas un titre durant lequel le travail de Philty Garcia à la basse et Gérard Michel sur son kit de batterie ne vous fasse pas avoir les poils. Elégance, intelligence et technique irradient cet album dont l’explosivité semble maintenue sous contrôle en permanence.

Allez savoir si le coup de gueule de Didier Izard sur « Crache et crève » contre Trust était mérité. L’Attaque en piqué faisant allusion à leur album « Marche ou crève » de l’année passée eut le mérite de dire tout haut ce que les jeunes loups de la scène française pensaient tout bas. Néanmoins, autant que sur l’attitude de rock stars des membres du célèbre groupe au bulldozer, on pouvait aussi s’épancher sur le manque d’entraide et de fraternité entre nos groupes nationaux. Entre dédain, respect, condescendance, hautaineté, tout y passait. La première coupable de ce désert artistique sur les ondes et les télévisions était l’industrie du disque en France et rien d’autre. Les grands pontes touchaient leurs bénéfices là où les artistes couraient après leurs royalties. Il n’y avait qu’un peu de place, conquise de haute lutte et à force de travail, pour Trust et effectivement moins d’un strapontin pour les autres. Vivre de son art de hauts décibels dans le années 80 chez nous relevait d’un « Rêve de puissance » inassouvi. Depuis, la facture numérique a plombé les comptes des puissants de jadis comme un retour de boomerang assassin.

Allez savoir si tout n’était pas déjà réuni dans cet album pour prédire le futur d’H-Bomb. Après le « Coup de métal » du précédent EP, le choix du titre « Attaque » pour ce premier album donnait un indice sur l’état d’esprit du groupe à cette époque. Mais pourquoi une pochette où gisent les corps sans vie des musiciens après le feu nucléaire ? Un signe de mort avant l’heure. Dans le même genre, « Substance mort » provoque chez moi une réaction épidermique en chaine, prisonnière de mon adoration sans limite de ce titre et du caractère prémonitoire caché dans son intitulé. Les paroles de « Double bang » jettent elles aussi un voile noir sur le regard inerte et perdu des protagonistes du recto de la pochette. Penchez- vous aussi sur celles d’ « Exterminateurs », « Dressé à tuer » et consorts. Tout cela pue la mort. Cette faucheuse implacable. Comment survivre dans un maquis où les règles du jeu répondent à celles d’un Monopoly sans âme et sans scrupules ? Mieux vaut encore partir en beauté. Et quel magnifique album. Intemporel.

Allez savoir pourquoi les deux seules véritables réalisations discographiques d’H Bomb continuent à tourner inlassablement et régulièrement sur ma platine. Dix titres sur cet album à ajouter aux six premiers du mini LP. Une vieille démo qui apparait sur You Tube récemment. Moins de vingt morceaux qui n’ont pas pris une ride et sont encore d’une incroyable modernité, comme ancrés dans la réalité.

Allez savoir pourquoi les paroles du refrain de « Le glaive » m’obsèdent autant. Survivant du néant imposé à tout fan consumé par l’amour indéfectible pour son idole, j’attends naïvement une suite depuis bientôt 28 ans. Une éternité. J’ai pris perpette sans le savoir.

Allez savoir si une reformation ne pourrait pas avoir lieu un jour. Allez les gars, chiche, faites-vous plaisir, faites-nous plaisir. Un come-back pour le fun, sans autre arrière-pensée. Crache en te tenant le front enfant de la Bombe H ! Fait le pour nous !

Allez savoir si la prémonition existe.

Allez savoir…

Face à un glaive de patience, tu risques de rompre le silence
Didier – octobre 2012

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largod - 16 Novembre 2012: C'est marrant, je l'aurais parié ;.)
MarkoFromMars - 17 Novembre 2012: Magnifique Didier. Vraiment bravo!
Tu as atteint l'intensité émotionnelle que tu avais tutoyé avec ta chro du Scarred for Life des tatoués. Quel plaidoyer et quelle belle déclaration d'amour.
Il est terrible cet album! Et comme beaucoup ici (à part quelques sans coeur, suivez mon regard!), il tourne régulièrement sur ma planète.
Par contre, et là je m'adresse aux historiens ici présents, y a-t-il eu riposte des intéressés après ce Crache et Crève?
largod - 18 Novembre 2012: merci Marko.
pas de riposte ciblée de mémoire...
samolice - 21 Novembre 2012: Allez savoir pourquoi je n'ai qu'une vieille version cassette repiquée à partir du vinyle d'un pote de cet album.

Peut être parce que je me souviens que je ne parvenais pas toujours à bien comprendre les paroles chantées par Izard (par exemple sur "Crache et crève"). Ce sera mon seul bémol concernant ce disque.

"Allez savoir pourquoi la voix de Didier Izard me transportait toujours aussi loin. Portant le même prénom que le hurleur, cette explication ne suffisait pas à me convaincre." Et tu as raison de ne pas être convaincu, sans quoi Didier Barbelivien te ferait le même effet!

Merci pour cette super chro.
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