Art(s) et littérature >> Vos compositions littéraires...
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Lundi 04 Juillet 2016 - 21:54:37

Donner son nom à la postérité, je connais pas. Passer à la postérité oui par contre



Lundi 04 Juillet 2016 - 22:09:52

J'aime bien . C'est simple , clair , et sans fioriture . Sa se lis vite .

Et le pitch peut être intéressant .


Lundi 04 Juillet 2016 - 22:41:04


citation :
KomodoNuclearPatatoes dit :
J'aime bien . C'est simple , clair , et sans fioriture . Sa se lis vite .

Et le pitch peut être intéressant .

Tsss Tsss Tsss



Mardi 05 Juillet 2016 - 17:42:57

Désolé , c'est déjà compliqué pour moi de sortir des posts a peu près lisible .


Bonsoirs .

Voici un troisième texte de mon cru , écrit par mes soins sur l'histoire d'amour de cette jolie fille et de son Nounours . Dans l'ordre Chronologique il est le premier , et se déroule bien des années avant les deux premiers . L'action se passe quelques jours avant leur premier ébat et relate comment la jeune femme , alors serveuse , a commencé a avoir des sentiments pour cet homme atypique , l'élément déclencheur .


Légère mise au point .


L'air était anormalement chaud pour un mois de Fevrier. Le soleil régnait en maître absolu au plus haut du ciel.

À moins d'une cinquantaine de mètres , au delà d'une grande place, se trouvait la Gare secondaire. Majestueux bâtiment au temps reculé de l'âge d'or du génie ferroviaire, la construction était désormais en proie à l'agonie, sale, négligée et délabré plus que de raison.

Mal fréquenté et a la frontière entre deux villes, la grande majorité des voyageurs préférer l'éviter.

Le petit bar se trouvant en face de la gare était enfumé et bruyant. La fumée formée de petits nuages compacte et l'air était charger de l'odeur du tabac, de l'alcool, des plats qui étaient servis et de la transpiration. Les ouvriers venant se restaurer n'étaient pas réputés pour leur hygiène. Attabler au fond de la pièce, puant et rotant, ces derniers hurlaient des obscénités aux serveuses quand ils ne se donner pas de grandes tapes amicales dans le dos.

Un homme se trouvait au comptoir la tète baisser. Ventripotent et en surpoids ce dernier siroté lentement un verre de whisky. La tête comme un cochon, au cheveu brun coupé en brosse et au sourcil broussailleux , il portait une veste en jean sans manche . De grosses bagues en forme de tête-de-mort, de tête de dragon et d'autres emblèmes morbide, ornait ses gros doigts boudinés. Torse nu sous sa veste, son ventre tendus, ses gros tétons et ses poils était parfaitement visible.

En face de lui, de l'autre côté du comptoir était la serveuse, qui le regardé avec douceur de ses yeux bleus azur gorgés de sang. Le visage coquin de la jeune femme s'illumina d'un sourire, dévoilant ses dents en mauvais état. Elle portait un haut décolleté au motif léopard et d'ou ses seins ne demandé qu'a sortir .

- Nounours, je te ressers ? La voix de la femme était douce mais éraillée.

Pour seule réponse, l'individu secoua la tête en grognant

Les mains de la jeune femme étaient recouvertes des poignets à la base des doigts de petites marques rouge semblable à des piqûres, leur nature était sans ambiguïté aucune.

- Tu ne parles pas beaucoup toi, mais tu es si adorable dit la femme sur un ton attendrit.

Dans un grand bruit, la porte du commerce s'ouvrit un jeune homme pénétra à l'intérieur. Le visage de la serveuse blêmit lorsque elle le vit entrer . Son visage, dur et patibulaire , transpirer l'arrogance.

À son arrivée, tous les occupants du bar avaient sois baissé la tète, sois fuit son regard comme la peste.

C'était un homme qui semblait avoir entre vingt-cinq et trente ans. Grand, large d'épaule . Brun au visage ornait d'un collier de barbe. Le regard sombre et mauvais derrière ses lunettes de soleil, il portait un t-shirt blanc moulant mettant en valeur sa musculature forgée non pas a la sueur du front, mais a la poudre protéinée. Une grosse chaîne en argent autour du cou, de grosses bagues en ors aux doigts, l'arrogance , la violence , et la cruauté transpiré de tout son être. C'était l'archétypique du fouteur de merde typique , de la petite frappe basse du front, du jeune gars se croyant un petit peu plus malin que les autres. Cet homme odieux se prénommait Juan . Il était l'Alpha d'une bande de jeunes voyous sévissant au quartier des arcades et des alentours. Ils étaient craints de tous. Juan en était le chef, le leader incontestable, donnant ses directives aux caves lui obéissant au doigt et à l'œil, plus par crainte que par réel respect.

La serveuse, se mit à trembler de peur et tenta de se diriger vers le fond de la pièce pour aider ses collègues a débarrasser. Mais l'alpha fut plus rapide. Avec dureté, il la saisit violemment au bras. La belle manqua de perdre l'équilibre. Il posa son autre main sur son sein, le serrant si fort qu'elle poussa un petit cri de douleur après quoi il dit

- Tu te souviens de moi ? On va danser ensemble jusqu'aux soir ma beauté.

La jeune femme terrorisée et faisant la grimace tenta de le repousser :

- Juan t'est vraiment qu'un pauvre con !!!

Ne comprenant pas ce qui se passe, Nounours avait froncé les sourcils.

L'insolant voyou passa sa main sous la minijupe argentée de la jeune, avant ses bas résille dans le but de la mettre a l'intérieur de sa culotte, la jeune femme hurler , mais personne ne bouger.

Nounours se rapprocha alors et Juan fut surpris, il lâcha la jeune femme qui partit aussitôt le visage chargé de larmes.

- Ta un problème toi aussi ? lancea il a l'homme portant la veste en jean

Lentement, Nounours pointa un doigt accusateur en direction de l'Alpha

- Toi... Tu touche pas... La femme. La voix de l'homme était grave et appuyée.

- Continue à me parler comme ça et je te tue. Dit le voyou dont le visage était désormais devenus écarlate de colère.

Ignorant la terrible menace, Stéphane s'approcha encore plus de lui, et sans crier gare lui cracha un énorme mollard sur l'une de ses chaussures. Le crachat était épais, et jaune. parsemer de vert.

La fureur du nouvel arrivant avait atteint son paroxysme.

- Donc c'est entre toi et moi, tu tiens vraiment à mourir sale porc. Dit l'homme sur un ton ferme.

Toujours insensible aux paroles de son opposant, Nounours leva les bras en poussant des grondements en signes de défis. l'issue de l'embrouille était désormais sans ambiguïté. Le destin de l'un des deux hommes, déjà scellé a jamais.

Juan sourit et retira ses lunettes de soleil qu'il posa sur le comptoir

- Tu vas crever pour une pute camé , mais soit , je n'ai pas fait d'exercice depuis plusieurs jours.

Rapidement, la serveuse se rua en direction de l'obèse et posa ses mains détruites sur les épaules de ce dernier, la panique avait désormais prit la place de la peur cher elle :

-Nounours !!! Ne fait pas ça !!! Tu es cinglé, il va t'exploser, ce n'est pas la peine !!!! Hurla telle sur un ton chargé de terreur.

Sans un mot, il repoussa la jeune femme qui partit dans le décor. Puis il suivit l'alpha au centre de la pièce. La colère avait désormais supplanté l'incompréhension dans l'esprit peu performant du Nounours. Ça ne se fait pas d'agresser une petite fée de cette manière et de la tripotée. Il devait payer pour ses actes.

Dans un paradoxal signe de respect mutuel, ils se frappèrent mutuellement les points. Les grosses bagues morbides en métal heurtèrent de plein fouet ,celles tout aussi grosse en or.

Puis la lutte débuta. Nounours attaqua le premier d'un coup-de-poing en direction du visage du voyou. La lenteur du coup fit qu'il fut rapidement bloqué, et il rétorqua d'un coup de coude dans les dents. Deux d'entre elles tombèrent sur le sol. La douleur ne fit qu'augmenté la rage du Nounours. Il donna un violent coup de poing dans le ventre de l'alpha qui aurait plié en deux n'importe qui, mais les abdominaux de son adversaire amortirent le choc. Juan balança un violent coup de tête, creusant un trou dans le front du cochon, du sang suintait de cette blessure soudaine.

Stéphane enchaîna un coup-de-poing dans le nez de l'antagoniste qui cette fois fit mouche.

De l'hémoglobine s'échapper a gros bouillon des deux narines. Une rage meurtrière s'empara de l'Alpha. Il avait osé faire couler son propre sang, l'agonie de ce gros tas aller durer une éternité.

Dans un coin de la pièce, la serveuse avait les mains autour de sa bouche, le Cœur battant à la chamade. Ce n'était pas tous les jours que quelqu'un affronter la terreur locale . Encore moins pour elle, pour la protégée. C'était à la fois beau, fort et merveilleusement touchant.

[I]Il tient a moi, il morfle pour moi[/I] songea telle avec admiration.

Le voyou asséna plusieurs directs dans la tête de l'obèse qui fut à deux doigts de perdre l'équilibre... La violence des chocs avait embrumé son esprit, et une torpeur commençait à s'installer. Il tenta de répliquer, mais l'alpha lui attrapa la main gauche et lui brisa le poignet, nounours se mit à hurler.

Le sol du commerce, déjà, parsemait de flaque de vins, de bière, de mégots, et d'autres souillures était désormais maculé de sang.

Le nounours tenta de saisir le cou de son ennemi pour l'étrangler, mais l'alpha le repoussa d'un terrible coup de pied dans les partis suivis d'un nouveau direct au visage. La douleur était devenus telle que l'obèse était sur le point de perdre conscience.

Finalement, l'assaut final entre les deux hommes eut lieu. Nounours se jeta sur l'alpha qui en fit de même . Stéphane lui saisit les jambes et dans un choc terrible, le catapulta au sol. Dans un ultime effort désespéré, il attrapa la tête du voyou et de toute les forces qui lui rester, lui tordis le cou. La nuque de Juan se brisa dans un écœurant craquement qui s'entendit aux alentours. Le nounours tomba aussitôt sur le sol, a ses côtés, face contre terre. Le corps déglingué de l'alpha fut pris de Spasmes semblable à des convulsions, ses intestins et sa vessie se vidèrent puis le cadavre ne bougea plus.

Le gentil Nounours venait de vaincre le Mal.

Pendant quelques instants, un silence de mort régna dans le bar presque désert, les ouvriers avaient quitter les lieux au début du duel.

La respiration faible et haletante, allongée dans une marre de son propre sang, gémissent de douleur à chaque seconde, le gros porc était dans un piteux états.

La jeune serveuse se précipita vers lui, des larmes de joie faisant coulé son mascara bon marché formant de longues traînée sur ses joues ... Elle parvint à articuler

- Nounours, tu as était génial et magnifique mon pote, je t'es vu frapper ce fils de pute et c'était sublime, tu l'as fait pour moi je l'oublierais jamais, Fatou ma meilleure amie qui est morte , aurait était fière de toi en ce moment.... Ça va ?

- Pas bien... Envie ... Dormir...

Elle l'aida à se remettre sur ses pieds.

Les ouvriers entreprirent la procédure habituelle en cas de bagarre qui finissait mal dans le bar : transporter le corp à quelques kilomètres de la gare, et le jetèrent sur les rails ... Le train arrivant à toute vitesse, pulvériser purement et simplement le cadavre, le réduisant en lambeaux. La police, découvrant les morceaux éparpillés sur les voies ferrées concluait à un suicide ou a un accident .

Dans l'après-midi, le Nounours dormis assis sous un des platanes de la place. Du sang continué a coulé de sa bouche, de son nez, et de son poignet, recouvert d'un bandage.

À l'extérieur du bar, la serveuse fumait une cigarette. Elle ne parvenait pas à le quitter des yeux. Quelques choses de fort, de vivace, de beau, c'était allumer en elle, comme une étincelle dans un océan de noirceurs.

Un homme qui avait liquidé une pourriture à vomir comme Juan était forcément un homme bien.

Des larmes continuèrent de couler sur le visage de la belle.

[I]Il n'est pas comme les autres, lui, il sert le bien et la justice. Quand on sera ensemble les gens qui s'en prendront a moi finiront comme Juan. Mais y'a Franck.[/I] Penser elle


Dimanche 14 Août 2016 - 00:07:50

Franchement j'aime beaucoup cette description,riche de détails,longue et correctement faite, rudement mener en bon ordre.C'est clair et fluide et avec un coté exalté . Et je me suis un peu reconnus la dedans,j'aurais pus écrire une description dans ce genre (avec d'avantage de fautes d'orthographe )

Voici un petit texte que j'ai écris en Mars dernier. Je me suis amusé a glisser a l'intérieur des références a un film que j'adore et son personnage principal a qui je voue un culte depuis des années .


Rencontre Pluvieuse .

Avec émotion, elle pensa à leur première rencontre. Évadée depuis seulement quelques jours, assise à un obscur arrêt de bus crasseux, d'une ligne désaffecté, a plusieurs centaines de kilomètres de la superbe demeure dans laquelle elle se trouvait a présent .

Elle ne portait que les vêtements du Saarn recouvert de boue et de crasse, tremblant de froid et de faim . Une pluie diluvienne s'abattait sur la région, et l'étrange femme avait tout les peines du monde a s'abriter .

C'est alors qu'une voiture était apparu dans le froid et l'obscurité de la nuit.

Elle n'avait jamais au grand jamais, vu une telle automobile. À la fois longue et large, terriblement basse, presque collé à la route. Les gentes rouges, la carrosserie noire striée de vert clair. Le moteur ronronné. Un engin de course. Une voiture de Sport.

Un homme au visage patibulaire, portant une chemise blanche et une cravate rouge était sortie et lui avait intimé de monter à bord . Ce qu'elle fit sans aucune hésitation.

L'automobile avait alors traversé les ténèbres à une vitesse folle en direction du lointain. La petite fée n'avait jamais connu pareilles sensations . Ses accélérations étaient proprement démentielles.

Malgré la longueur du trajet, son état de fatigue et la vitesse, elle n'était pas parvenue a quitté des yeux l'inconnu qui était au volant, ce providentiel bienfaiteur. Il dégagé quelque chose de fort, de séduisant, de captivant. Elle en fut attirée comme l'aimant attire le fer.

Pourtant, l'inconnus était froid, distant, et pas câlin pour deux sous.

Une fois descendue du véhicule, la petite princesse avait dû beaucoup insister pour que ce dernier la prenne par la main.

Elle fut alors prise d'une violente colère, le visage de l'étrange femme était alors devenue écarlate. Tapant du pied, criant et gesticulant, les yeux exorbités.

-Je veux que tu me tiennes la main ! Ne me lâche pas bordel ! Je veux pas retourner a l'Institut Saarn !!! hurler t elle

Puis avait commencé a boudé. D'abord réticent, l'inconnu avait accepter a contre Cœur, et lui avait tendu la main.

Elle n'avait jamais connu pareil bienfaiteur de toute sa vie.

Il me soigne ça veut dire qu'il tient a moi et qu'il m'aime . avait elle penser dans son fort intérieur .


Vendredi 25 Novembre 2016 - 19:02:59

C'est cool ça .

Une autre de mes petites compositions perso.

Projet Histarant.

Le ciel était recouvert d'une épaisse couche nuage jusqu'aux lointains.
Alliance de plusieurs couleurs allant du blanc au noir en passant par
plusieurs nuances de gris. Aucune brise ni aucun courant d'air ne venait
rafraichir l'air d'un mois de mars anormalement chaud et humide.

L'homme
cracha nerveusement sur le sol. Puis le colosse leva la tète en
direction des quatre hautes tours terriblement décryptes et dans un état
lamentable qui se dressait face a lui. L'inconnu marcha quelques
mètres. Le sol était recouvert de toutes sortes d'immondices,
d'emballages alimentaires, de déchets en tous genres, de déjections
canines et d'autres souillures...

Boris était totalement exaspéré
et la peu commune chaleur ne faisait qu'amplifiée sa fureur, qui
menacer à tous moment de se transformer en rage incontrôlable. De la
transpiration, couler de son crâne intégralement chauve, tombant sur ses
sourcils et son large visage avant de mouiller sa chemise blanche
moulante qui laisser paraitre sa musculature fort développé et sa
cravate rouge sang. Sa veste de costume noire, assortis à son pantalon,
ne l'aidait pas à être au frais.

Essayant en vain d'apaiser son esprit emplis de noirceurs, de fureur et de frénésie, Boris souffla.

Que
ce sombre fils de pute de Walid soit maudit a jamais ! Cet homme sans
aucune envergure, sans grandes ambitions, totalement servile,archétype
du cave dans toute sa splendeur, avait activement prit part au Projet Histarant. Alors que ce projet de longue date était entré dans sa phase
finale, cet indigne individu avait eu l'idée merveilleuse de
disparaitre, de se volatiliser dans la nature, avec une parti des
documents indispensables à son avancée. Toute progression était alors
impossible sans ces papiers et le Maître n'était pas réputé pour sa patience

Boris
s'était retrouvé seul dans cette galère. Ses partenaires étant tous
occupé a autre chose, le Maître lui avait confier la mission de mettre
la main sur Walid. Un véritable périple a travers toute la région,
allant de fausse piste en renseignements foireux, depuis trois jours.
Les Cadavres ravagé et démembré de Sophian et Abdul-Aziz était déjà en
train de pourrir peu à peu dans les obscurs allers d'un bois voisins. Le
voyou au crâne chauve avait fini par trouver l'adresse du domicile de
Walid. Ce dernier habitait au dixième étage de la tour la plus a Droite.
Aussitôt, les documents récupérés le fuyard subirait le même sort que
ses deux amis.

L'inconnu observa la haute construction à nouveau.
Arrivé à un stade terminal de délabrement et de destructions, la
peinture originelle avait viré au gris sale puis au marron. Des pends
entiers de bétons de la façade était tombé, laissant apparaitre les
armatures de métal d’où partait de larges coulaient de rouille.
Plusieurs fenêtres n'avaient plus de vitres, et certaines qu'un volet
sur deux.

Le colosse passa l'encadrement et entra. La porte avait
purement et simplement était arraché. Une odeur d'urine séchée
véritablement pestilentielle régner en maître dans l'escalier, lui-même
plonger dans une pénombre quasiment totale. La lumière ne fonctionnait
plus et des marches étaient cassé.

L'état calamiteux des lieux et
l'absence de clarté ne faisait qu'augmenté la colère,l'agacement, et
l'exaspération du l'homme en costume. Après de longues minutes ,il
arriva enfin avant a destination. Se trouvant désormais devant une porte
d'ou la peinture marron partait en morceaux, tombant sur le sol. Il
s'essuya rapidement le visage avec un mouchoir puis frappa à la porte
avec assurance.

Après quelque seconde, cette dernière souffrit dans un grincement.

Un
silhouette apparus alors devant lui, bien que l'intérieur de
l'appartement n'était guère plus éclairé que la cage
d'escalier,l'arrivant compris qu'il s'agissait d'une femme bien qu'il
fut incapable de discerner ses traits.

- Faites sortir Walid ! Dit-il de sa voix grave et appuyé sur un ton ferme.

- Humm, entre mon chéri.

L'homme
fut frappé par l'accent de cette femme, profondément oriental,
exotique. Elle alluma la lumière et lui indiqua de la suivre. Boris
remarqua les taches de moisis sur les murs du couloir.

Sans crier
gare, l'inconnue posa sa main sur la large joue de Boris. Le colosse
ressentit aussi la douceur de la pomme et la chaleur de la main, une
sensation agréable et relaxante. Instantanément, une grande partie de sa
colère fondit comme neige au soleil. Elle laissa sa main quelque
seconde puis la retira.

-Qu est qu'elle est douce ta peau. Dit-elle sur un ton amical.

Puis
elle s'assit sur un canapé en cuir noir. L'homme en fit de même. Ce qui
lui permit de mieux observer l'inconnue en face de lui qui le regardé
avec douceur.

C'était une femme qui paraissait avoir entre
trente-et-quarante ans. Assez grande, bien en chair sans être
corpulente.Légèrement matte de peau, les cheveux noirs rassembler en un
beau chignon. Le maquillage clair autour des yeux mit en quantité, le
regard plus noir qu'une ballade en forêt une nuit de novembre sans
étoiles ni lune. Les lèvres épaisses, charnues, pulpeuses recouvertes
d'une épaisse couche de rose. Un grain de beauté ornait sa joue droite.
Un visage vulgaire. La maîtresse de maison porté, un haut noir et ce qui
semblait être un pantalon de pyjama rouge.

Elle offrait ce type
si connu de la fille de joie maghrébine, de la dame de compagnie
Nord-Africaine,reconnaissable entre toute et capable de faire fondre
n'importe qui, de faire chavirer même le dernier des réfractaires au
plaisir de la chair . La sensualité et la vulgarité émanaient de tout
son être et si cette fatma aurait pus être la pièce maitresse du harem
d'un obscur sultan au jours anciens, au temps antiques, elle aurait dans
le même temps fuit son palais avec de gros sac de diamant. Lorsque un
homme était pris dans ses filets, il était très difficile pour lui de
s'en défaire.

Véritable petite reine berbère en exil, vivant dans
le mépris du passé, rejetant les traditions profondes de sa propre
race. Au fils libidineux et frustré de l'Europe honteuse, elle offrait
des plaisirs bruts et exquis et prodigués ses soins dans tous les lits
de l'impudique Maghreb. Cette femme se prénommer Karima Brejaloui.

-Tu connais mon Maris ? Comment tu t'appelle ? Dit-elle de sa voix douce et sa diction particuliére

-Vous n'avez pas a connaitre mon Nom dit Boris de manière arrogante.

Pour
seule réponse, elle lui adressa son plus beau sourire ravageur,
dévoilant ses dents a l'hygiène douteuse. Ignorant cela, le voyou se
racla la gorge et poursuivit

- J'ai travaillé avec votre mari sur
le Projet Histarant , il est encore en possession de documents et bloque
l'avancé du projet, je dois récupérer ces notes, elles sont
fondamentales, et mon Maitre n'est vraiment pas du genre patient.

-C'est quoi ça Histarant ? Mentit Karima.

- Je ne peux pas vous en parlez, mais je dois voir Walid. Où est-il ?

Le
colosse déglutit, il s'étonna d'être incapable de pouvoir quitter la
jeune femme des yeux, il l'a trouvé belle, et terriblement attirante. La
colère perdait du terrain de secondes en secondes.

Pour toute réponse, Karima se rapprocha de lui.

- J'aime beaucoup votre accent dit l'homme, vous êtes d'où ?

-Tunis.

À
ce moment-là, la Tunisienne adressa un regard coquin au colosse puis
caressa son oreille et une partie de sa joue, les ongles de Karima
étaient recouverts d'un vernie vert pomme

-Tu aimes ce qui est oriental ? Dit-elle d'une voix douce.

L'homme
déglutit, pour la première fois quelque chose de beaucoup plus fort,
beaucoup plus piquant envahis son corps et son esprit : du désir
sensuel, une forte envie de chair, une excitation lascive. Il se mit
légèrement a tremblé, de la transpiration dégoulina de son front.
Rapidement, il secoua la tête et reprit ses esprits et son aplomb. Il se
pencha en avant en direction de la jeune femme.

- Deux des amis
de Walid ont était retrouvé mort, effroyablement mutilé, ils auraient
étaient taillé en pièces vivant a l'aube, au petit matin, et la police
n'a pas encore retrouvé les différents partis de leurs corps. Vous ne
voulez pas qu'il arrive la même chose à votre mari pas vrais ?

Karima fit non de la tête.

- Où est-il en ce moment ?

Ignorant la question, Karima posa sa main sur celle de boris et dit en souriant de manière très hypocrite :

- Tu vas rester manger avec moi, la petite est à l'école, elle a la cantine, tu n'as rien contre le tajine n'est-ce pas ?

-Non ,rien du tout . Dit boris un peu gêné, et dont le désir avait était ravivé par ce nouveau contact.

Elle
se leva et se dirigea vers la cuisine. Le colosse remarqua qu'elle
était pieds nus et portait une petite chaîne dorée à la cheville droite.
Il vit aussi que ses fesses étaient larges, rondes et rebondies.

Son
désir ne faisait que croitre et il était a présent sur le point de
défaillir, de perdre ses moyens. Rapidement, il se leva et la rejoignit.

Karima
alluma une cigarette, puis mit la gazinière en marche et déposa une
grande casserole sur le feu. Remuant lentement le contenu de cette
dernière avec une cuillère en bois, elle reprit la parole :

-Alors t'est en affaires avec Walid hein

Une
agréable et alléchante odeur d"épices se rependait dans la petite pièce
a mesure que le plat se réchauffer, loin de distraire boris elle ne fit
que lui mettre d'avantage le feu. Karima tira sur sa cigarette.

- Voilà, il a pris part au projet Histarant et a encore en sa possession une documentation essentielle

Continuant calmement de remuer, la jeune femme redressa la tète.

-Mon mari, il bosse dans le bâtiment, mentit à nouveau la Tunisienne

-Il est encore dans la ville ou est-il parti ?

La maîtresse de maison ne répondit rien.

L'irritation revint en force cher l'homme en costume ainsi qu'une grande lassitude

-Vous ne voulez pas me dire ou il est ??? !!! cria Boris avec fermeté

La jeune femme posa alors négligemment la cuillère en bois qu'elle avait dans les mains puis éteignit la gazinière.

Karima
jeta sa cigarette dans la casserole puis se rapprocha très prés de
Boris. Elle se mit à la dévorer du regard. Et ce fut réciproque.

Ne
pouvant plus contrôler son désir sur le point d'exploser le colosse
passa sans finesse son bras dans le dos de la Tunisienne et de sa grosse
main la tira vers lui. Ils se mirent alors à s'embrasser d'une manière
forte, puissante, particulièrement goulue et hautement répugnante.
Voyant que l'intensité du baiser ne faisait que croitre de seconde en
seconde, la jeune femme ferma les yeux et passa ses deux bras autour des
larges épaules du voyou chauve et les serras a pleines mains. Leur
salive désormais unis, devenue symbiose dégouliner par d'épais filets,
se déversant sur leurs vêtements et formant au sol une petite flaque.

Karima
était désormais en train d'embrasser fougueusement le solide gaillard
venu cinq minutes plus tôt chez elle pour la menacer. Boris était
maintenant totalement sous le charme de la belle arabe. La senteur des
épices dans l'air, le contact frénétique de leurs langues, l'épaisse
couche de rouge a lèvres et l'écume qui se déverser tel un torrent lui
avait fait perdre toute lucidité, tout sens de la mesure, l'instinct
avait totalement prit le contrôle des choses.

Les affaires du maître pouvaient bien attendre un peu.



Lundi 28 Novembre 2016 - 11:16:03


Purée mais sérieusement, avant de vous prendre pour des écrivains, apprenez déjà l'orthographe, la grammaire, la conjugaison et la mise en page, c'est pas possible, on met à l'oral, on filme et on aura un sketch des Deschiens.





Lundi 28 Novembre 2016 - 19:04:38

En même temps, ça reste Monio...




Lundi 28 Novembre 2016 - 19:30:22

J'ai jamais dit que j'étais un grand écrivain ,très loin de la.

Mais je suis passionné par l'écriture depuis mon adolescence...

Après je reconnais mes énormes lacunes que je n'est jamais nier et mes précédents textes étaient quand méme mieux a ce niveaux la.

Descendre les gens n'amène jamais rien de bon...



Jeudi 26 Août 2021 - 16:31:24

etant un ancient chroniqueur dans des webzines metal, ma plume a repris du service pas pour le metal (peut etre un jour cela reviendra) mais pour l'ecriture d'un roman dans un monde poste apocalyptique ou le décors n'est rien d'autre que mon département ou j'habite (l'Herault).

imaginez que un jour l'electricité disparait, plus aucun moyen de communication, de locomotion et que pour survivre la loi du plus fort, un hero qui recherche sa famille enlevé et vendu comme esclave, va faire des rencontres plus ou moins tumultueuse et par ses diverses experiences essai d'apporter un brin d'humanité chez ceux qui ont perdu fois en eux et de retrouver sa famille.

face à lui des communautés de fanatique de dieu rejetant la technologie, d'autres qui créaient leur propre royaumes avec un regime totalitaire.

pour le moment j'en suis à mon 10eme chapitre, je l'ecris des que j'ai du temps(vie de famille, travail ....) bah oui je suis un vieux mdr 

je n'ai pas de limite à mon ecriture cela se fait aux rythmes de ceux qui peut passer à travers ma tete ....

donc si cela peut vous interesser je peux ici vous donner des nouvelles de l'avancé de mon roman.

le but etant pour moi un jour de le faire éditer.