
Bonsoir .
Un autre petit texte , écrit par mes soins .
Je n'est aucun mal a reconnaître que dans sa forme il est très perfectible ,encore d'avantage que le précédent . Je souffre d'énorme lacunes et carences en orthographe , ce n'est pas nouveau cher moi . Le Dialogue dans un Train de Nuit avait était passer a deux reprises sur le site Scribens puis un amis proche avait bien voulus retiré le reste des erreurs de syntaxe .
Il peut se voir comme un préquel a mon précédent texte , il relate la vie commune que la fille du train mener avec son grand amour , le Nounours dont elle parle , plusieurs années auparavant . En fait il va rentrer dans un cycle de plusieurs petit textes , au moins une dizaine ayant pour sujet ce couple merveilleux .
(Je vous demande de l'indulgence sur l'orthographe)
Soirée Pizza .
La pièce était plongée dans la pénombre. Le carrelage bon marcher avait était poser de manière approximative, il se détacher à de nombreux endroits. Le sol était parsemé d'emballages alimentaires, de mégots, de canettes vertes. Les murs recouverts d'une peinture blanche à l'origine était désormais gris sale. Un lit a la couverture sans dessus-dessous se trouver en son centre.
Une étrange odeur de Caramel fondus régné dans la pièce qui, a un nez profane, aurait pus être plaisante voire appétissante, mais devenez totalement écœurante lorsque l'on connaissait sa réelle nature vénéneuse, infecte et putride.
Le silence était tel qu'il en devenait oppressant.
La porte de l'autre dimension était grande ouverte. La fée avait était invoquer.
Une jeune femme était allongée sur le carrelage, en face du lit.
Bien que dans la fleur de l'âge, du gris était apparut à ses tempes. Être une rebelle n'était pas sans conséquence.
Sont visage au trait fin et harmonieux lui donner une expression naturellement agréable, pour ne pas dire coquine. Fait étonnant, ses yeux gorgés de sang aux paupières gonflaient par les larmes était marquer par le désespoir et la douleur, mais ses lèvres étaient animées d'un grand sourire béat, révélant ses dents en piteux état. Un flot d'écume coulait de sa bouche formant une petite flaque au sol. La demoiselle semblait avoir du mal à respirer. Son haut jaune décolleté plus que de raison, était recouvert de taches diverses, et l'un de ses seins était a l'air libre. Mais ses yeux couleur azur n'avait étrangement rien perdu de leur éclat.
Ses mains, recouvertes de petite marque rouge des poignets a la base des doigts. Des plaques blanches étaient apparu par-dessus ces dernières. Une des entailles semblait toute fraîche et un mince filet de sang s'écouler.
-Fatou... Fatou... Sa voix était éraillée et à peine audible
Dans un effort mental considérable, elle essuya la salive qui coulait avec sa main.
-Fatou... Ou tu es ma sista ??
Malheureusement, Fatou ne put l'entendre, à vrais dire, elle ne pouvait plus entendre personne.
Elle décida de s'asseoir. L'ambitieuse entreprise prit plusieurs minutes. Les récents efforts avaient mis sont cerveaux a ébullition. Puis elle s'appuya contre le mur.
Dans un grand bruit, un homme entra dans la pièce. À sa vue, le visage de la jeune femme s'illumina.
- Mon ... Nounours parvenait, elle a articulé.
De taille moyenne, ventripotent , et au cheveu brun couper en brosse le nouvel arrivant porter dans ses grosses mains au doigt boudiné quatre boites en carton ou était écrit Pizza. Trois d'entre elles étaient pour lui. Six fromages a la crème fraîche, supplément chorizo. Ses préférés. L'huile et le gras formaient des auréoles sur les cartons.
La tête comme un cochon, les sourcils épais, le regard bovin, il ne respirait pas la finesse d'esprit et c'était un doux euphémisme. L'inconnu avait rempli ses larges poumons avec un grand sourire en rentrant dans la pièce. Depuis que la merveilleuse jeune femme, c'était installer cher lui, toute sa maison possédait ce parfum doux et agréable, éveillant dans son esprit une forte nostalgie, celle de son enfance avec sa grand-mère et le caramel qu'elle lui préparer avec amour .
Dans un grognement, l'homme jeta négligemment les quatre boites sur le lit puis s'approcha de la jeune femme. Lentement, elle tourna la tête, le regard brillant. Il se baissa lourdement et donna un grand coup de langue sur la joue de la jeune femme, la bave coula au sol, se mêlant a la sienne. Ce qui eut pour effet de la secouer un peu. Puis ils s'embrassèrent d'une manière qui ignorer tout de la classe et de l'élégance.
Petit à petit, la senteur des nombreux fromages cuit au feu de bois sublimé par celle de la charcuterie espagnole, supplanté celle du Caramel et avait permis à la jeune femme d'émerger un peu de sa torpeur.
Le Nounours grogna à nouveau et saisit brutalement un des cartons qu'il posa sur le sol et ouvrit. La jeune femme se mit à glousser.
L'homme saisit une part et avec une grande délicatesse introduit la portion dans la bouche de sa compagne. Courageusement, elle mordit à pleines dents dans cette dernière. Le goût fortement salé et prononcé lui redonna de la lucidité. Avaler lui fit mal.
Lentement, la jeune femme attrapa la part essayant de manger seule. Du fromage fondu coulait, de l'huile pimentée ainsi que du gras, et tomber sur son haut et sa minijupe, les saillissant encore d'avantage, mais elle ne réagit pas. Elle avala une seconde bouchée.
-C'est gouteux dit la jeune femme
-Gou...Teux. Répéta l'homme, sa voix était grave et appuyée.
La jeune femme fit ensuite tomber sur le sol le morceau dans un bruit qui aurait fait hurler de peur et de colère n'importe quel gourmet.
Levant la tête, elle remarque que l'adorable Nounours n'était plus là, alors une profonde tristesse monta dans son Coeur. Son visage était devenue blème. Signe annonciateur d'une nuit infernale.
L'homme était assis dans la cuisine. Mangeant sa seconde Pizza d'une manière animale. Le glouton la dévoré rapidement sans se soucier des brûlures légères sur ses doigts et ses lèvres qu'elle occasionner. Le morfal leva la tète en grognant. Son amoureuse, s'avancer dans sa direction en titubant, semblant s'effondrer a chaque pas, la démarche très mal assurer. S'appuyant dans l'encadrement de la porte pour ne pas tomber. Elle sourit puis remua la langue de manière lascive et vulgaire .
- J'adore le Nounours dit elle sur un ton sensuel.
L'homme gronda et se dirigea vers elle. Ils s'embrassèrent à nouveau. Le benêt ne remarqua pas que le visage de la belle avait blanchi. Puis il la prit dans ses bras dans une étreinte a lui brisé les os. La jeune femme fut alors prise de tremblement rapide et violent. Nounours la lâcha.
Elle se mit à vomir. La gerbe était presque entièrement liquide, d'une teinte jaune verte.
Bien que ses pouvoirs eussent quelque peu baissé, la vilaine petite fée de l'autre dimension poursuivait son oeuvre destructrice. L'entaille de sa main s'ouvrait de plus en plus,et dans peu de temps, elle n'aurait plus rien dans son estomac, ses intestins et sa vessie.
L'intelligence supérieure du Nounours, lui avait permis de comprendre la signification de ce qui arrivait a son amoureuse : il était l'heure d'aller dormir. De se mettre au lit.
La retenant par les épaules, le nounours la prit ensuite dans ses bras. Les tremblements , certes moins intenses , continuait.
-Bon.. Dodo...Maintenant Dit-il sur un ton charger de douceur.
L'urine commençait déjà à couler, humidifiant le string et la minijupe de sa femme et formant une longue trainée sur le sol.
Toute sa force et son énergie allaient partir dans les heures qui suivent aux files des torrents de son vomi, de sa pisse, de sa merde. Mais de tout cela le Nounours n'avait que faire. Il se coucher tous les soirs au côté de sa belle la tenant enlacée de tout son être, la serrant de toutes ses forces,et ce malgré les tremblements et les différents fluides qui s'échapper, et dont il n'était jamais épargné. Jusqu'a l'aurore , ou il prenait alors son poste de Gardien d'immeuble a moins d'un Kilomètre .
Son amour et sa dévotion a cette femme était sans faille,c'était la seule qui ne l'avait pas considéré comme un monstre, un violent, un animal ou un paria.
La jeune femme ouvrit les yeux et sourit, puis posa sa main détruite sur la grosse joue de son chéri , des larmes coulaient de ses yeux.
-Quatre, pas vrais mon Nounours ? Dit-elle pleine d'émotion
-Qua...Tre. Répondit le gaillard.
À l'extérieur vers le lointain, le Pôle Pétrochimique était en flamme. Monumentale torche infernale au milieu de la ténébreuse et glaciale nuit de Novembre. Le bruit des explosions , des chenilles des chars d’assaut et des armes a feu aller bercer la nuit du petit couple .