Il date de 2001 Danny Balint, il a passé le stade de jeune espoir du cinéma maintenant.

@QuintessenceS: on se rejoint, même si j'ai pas vu tous les films de Refn, impatient de voir ce qu'il peut donner avec Only GOD Forgives.
Et oui Danny Balint on se rejoint également. Et Gosling ouais il y a du potentiel, surtout depuis que j'ai vu Danny Balint et The Place Beyond the Pines.

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Watching. Listening. Reading. Writing.

" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

Alphaville
 
Un peu trop barré pour mon taux de patience actuel, mais j'ai bien aimé le message.

Cloud Atlas

J'avais hâte de le voir celui-ci ! Ba en fait pas top, clairement une déception. Bon le film peut se targuer d'un Arsenal technique resplendissant et d'acteurs bons, bien que ce ne soient pas les plus en vue du moment.
Au-delà de ça, ça sent trop la machine hollywoodienne pour moi: traitement gentil de l'intrigue alors que le sujet a quand même une dimension dramatique incontournable, dialogues limités, péripéties superficielles...
Le découpage de l'intrigue suit celui du roman mais l’enchaînement de ces petites histoires interconnectées est trop linéaire, sans aucune emphase, faut attendre la fin pour voir le film se remuer un peu. Ça se regarde forcément, parce que ça a les arguments spectaculaires du blockbuster mais sinon le projet est traitée de manière simpliste et l'ambition prend le pas sur la profondeur accordée au film.

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" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

Dernièrement :

Margin Call De J.C Chandor



Pas mal j'ai trouvé. Mise en scène sobre, décors épurés et acteurs convaincants ( notamment Kevin Spacey et Paul Betanny en trader nerveux); J'ai trouvé Jeremy Irons un peu too much en patron absolutiste et Simon Baker un peu à contre emploi. Reste un bon film sur les rouages de la finance, enfin ça manque même de profondeur à mon gôut. Bien mais sans plus.

 
Je me le suis visionné aussi celui la et je te rejoint dans ta critique sur presque tous les points.
 
Par où commencer... 6 histoires de 30 minutes imbriqués les uns dans les autres, chacun se déroulant à une époque différente, apparemment liées entre elles mais qui n'ont  en fait comme Seul lien les acteurs les jouant.
Le changement beaucoup trop rapide des époques nous laisse pas le temps de profiter des acteurs, de l'histoire etc et au final on se laisse très vite lasser et on se demande quand est-se que le film va se terminer.
D’ailleurs les histoires sont creux et indigestes, on attend désespérément les interactions entre les époques et en fait, y en a pas... une fin qui n'apporte aucun élément de réponse et qui donne juste envie de dire "ils ont fait quoi là en fait ? Et je fais quoi moi ? Je viens de perdre 3h de ma vie pour rien !"
Seul quelques passages dans Neo Seoul m’ont parut assez impressionnant.
Donc voilà si vous voulez profitez d’une longue et lente Agonie ce film est pour vous, mais moi je vous conseille vivement de laisser cette merde au font des wc.

 

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Vu pour la 20ème fois, au moins.

Ca doit être un des films qui me fait le plus rire, sincèrement. Y'a des trucs si t'apprécies l'humour noir et spécial, c'est parfait. Sûrement pour ça que j'aime la quasi-totalité des films des Coen. Le reste est excellent aussi, les acteurs sont plus anormaux les uns que les autres, surtout les deux cons qui servent de bandits.

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Come at the King, you best not miss.

pas mal "danny ballint" un angle de vue étonnant. Et un gosling convaincant. J'ai maté ce film y-a quelques mois au pur hasard et j'ai pas été déçu , même si plutot surpris.

@Pugnae: j'ai apprécié ce genre d'humour pur Fargo mais le film dans son ensemble m'a moins convaincu...

@Doc': ouais l'angle de vue est étonnant, c'est ce qui, en dépit des petits reproches que j'ai pu faire, m'a fait apprécier ce film.

Hier soir:



Gandhi

Travail de reconstitution vraiment énorme et l'aspect historique est bien mis en avant, on parle pas que de Gandhi on évoque aussi le contexte historique de l'époque, notamment celui de la (dé)colonisation. Ben Kingsley est terrible dans ce rôle là, la ressemblance est criante.
Après, dans le genre du biopic, si c'est très fidèle et très pro, le rendu est parfois un poil austère, je pense que c'est aussi dû au personnage de Gandhi, qui a mené un combat majoritairement pacifiste et qui s'est réfugié dans une lutte limite spirituelle. Pour 3h15, on a quelques longueurs, mais rien de bien méchant.

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" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

Personnellement je fais dans le classique:



Vraiment aimé, même si sur le plan de la réflexion qu'il propose, ça devient déjà plus délicat. Mais bon ya quand même des scènes vraiment excellentes.
On m'avait prévénu que le film tirait en longueurs (surtout avec cette version "redux" qui rajoute le passage dans la colonie française si je m'abuse), mais ça ne m'a absolument pas gêné, tant tout cela contribue à l'atmosphère générale, qui est clairement la plus grande réussite du film.
Après du point de vue des idées, même si je ne suis pas certain d'avoir absolument tout compris (surtout la fin), une chose m'a assez géêné, c'est cet "américano-centrisme" permanent. Par exemple la scène de l'accostage de la jonque, ok, c'est terrible, le Message derrière est pertinent, etc.
Mais au fond on fait pas grand cas des viêtnamiens. Tout est vue du point du vue du Traumatisme américain, ce qui est assez dommage. (même si, vue l'ampleur du film, c'est pardonnable).

Par contre toujours pas compris le point de vue du colonel, et encore moins l'opinion du capitaine à son égard. (enfin si, mais ça fait pas raccord avec le reste du film, en fait).

Bon sinon, mention spéciale à ce titre ultime des Doors, qui est ce pourquoi j'ai voulu voir le film

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