Reign over me


Bon film vu pour la deuxième fois hier, Adam Sandler est un très bon acteur définitivement .

Le Dernier roi d'Ecosse

Pas mal du tout. J'ai eu peur au départ, parce que la première partie est un peu anecdotique, sur un Ton léger et faut attendre la deuxième partie de film pour voir les choses bouger un peu.
La deuxième partie du film est plus alléchante, plus rythmée, même si c'est dommage que le réalisateur ait cédé à quelques facilités hollywoodiennes pour y parvenir (protagoniste un peu trop héros à mon goût notamment). Mis à part cela, l'histoire va crescendo, Whitaker habite littéralement son personnage et le portrait dressé s'en ressent, l'homme s'effaçant progressivement derrière le dictateur. Quelques scènes chocs d'ailleurs assez traumatisantes.
En conclusion, un biopic de bon niveau, pas transcendant mais pas non plus inintéressant. Juste dommage que la première partie pédale dans le vide.

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Watching. Listening. Reading. Writing.

" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

@Paillou : Globalement d'accord sur Ton avis même si je ne serai pas aussi négatif que toi sur la première partie. Elle permet de mettre en valeur la "descente aux enfers" de la 2ème partie et explique bien la situation du personnage principal et son évolution : un jeune idéaliste opportuniste, qui reste aveugle par rapport à la réalité et qui ne vas se réveiller que trop tard.

Cette progression tout au long du film des 2 personnages principaux, de leurs actions, de leur relation est pour moi l'un des points forts du film, notamment pour James McAvoy qui est loin d'être un héros finalement.

Un bon film, avec de très bons passages mais aussi quelques défauts.

Tout ce qu'ils auraient pu faire avec le Chili sous Pinochet ! Mais non, faut qu'ils nous fassent un film sans viande au Message sans intérêt sur le pouvoir que les médias exercent sur le peuple. On la connait l'histoire du référendum, et ce film ne va pas un chouïa plus loin que ce que l'on sait déjà.

pusher
 

 
vu hier, je l'avais un peu beaucoup descendu en flamme lors de mon premier visionnage. je dois avouer qu'il est pas si mal, même bien ce film. Je vais me remater les 2 autres comme je suis dans ma période madds mikkaelsen.

Made in Britain (1982)



Quelqu'un avait déjà posté ce film et ça m'a tout de suite donné envie.

Trevor, 16 ans, skinhead provocateur et violent, est en train de foutre en l'air ce qu'il reste de sa vie. Un éducateur, qui décèle une grande forme d'intelligence chez lui, pense pouvoir le sauver avant qu'il ne soit trop tard...

Rien a dire au niveau de l'acting, le visage carnassiers et empli de haine de Tim Roth filmé en plan serré est très convainquant.

The Exploited en BO

Scarface (1932 )

J'avais encore jamais vu cette version, mais ayant beaucoup aimé celle de De Palma, je me lance. Et je ne suis absolument pas déçu. Bon ça n'a rien à voir avec le Scarface de De Palma mais qu'est-ce que c'est bon ! Pour un film du début des années 30, quel rythme ! Quel réalisme ! Et que dire de l'interprétation de Paul Muni, saisissante !
J'ai aussi beaucoup aimé le côté film engagé qui dès l'introduction expose clairement le Message du réalisateur face à la peur grimpante des Dangers liés au crime organisé. Le film étonne aussi par sa sobriété qui se révèle au moins autant expressive que la mégalomanie furieuse de Tony Montana 50 ans après.
En définitive, un excellent film, qui n'a pas vieilli et qui peut se targuer d'atouts modernes impressionnants. Un film de gangsters immanquable.

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" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

Je le préfère à celui de De Palma, j'ai l'enseigne lumineuse gravée à jamais dans mes yeux !

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j'avais un poster grandeur nature d'al pacfino en scarface , le bras bandé, juste avant qu'il ne dise a son pote "mano!!! crèèèève cette sale pounaise" au dessus de mon lit pendant certaines années bien salées.
 
C'étais bien mieux qu'un Crucifix à la con 
 
Du coup ce p** de poster est devenu tout un symbole avec mes potes. Je ne saurais en dire ce qu'il en reste à présent.

Gomorra

Je me suis fait tellement chier, c'était d'une violence incroyable. J'avais beaucoup entendu parler de ce film et encore plus du bouquin dont il s'inspire, c'est pourquoi je voulais le film, d'autant plus que ça traite de la mafia et toussa donc ça pouvait être sympa.
Mais non. Je peux pas dire que c'est mauvais mais ça m'a laissé de marbre. Enchaînement linéaire (vraiment linéaire pour le coup) d'évènements, ça a le Ton rachitique du documentaire et ça n'a de fiction que le nom. C'est probablement ça qu'il m'a manqué: un rythme propre à la fiction, un portrait un peu plus dynamique... Parce que là c'était trop aride pour moi et j'ai eu du mal à comprendre les relations entre les personnages, heureusement qu'il y avait quelques panneaux à la fin pour résumer le film sinon je serais passé totalement à côté du sujet.

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" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "