Tiens salut
Amon, m'attendais pas à te voir débarquer...
citation :AmonAbbath dit : Quelles sont les grosses ficelles pour toi ? Parce que, par exemple, on n'explique pas une seconde le fonctionnement de la machine permettant de partager les rêves |
Ah bah rien que là tu donnes de l'eau à mon moulin.
Sinon bah tout est énorme, comme dans un blockbuster, quoi.
J'sais pas, la gamine sortie de nulle part qui te retourne la ville d'emblée, la scène où ils sont assis à la terrasse à peine tape-à-l'oeil, la scène de fin réglée comme du papier à musique où Cobb aurait pu dire en fumant un cigare : "J'adore quand un plan se déroule sans accrocs".
Les dialogues sont d'un creux (à mon sens c'est aussi ça qui ne permet pas à Di Caprio de "donner sa pleine mesure"), tout est expliqué du début à la fin, ça ne laisse aucune place à l'interprétation personnelle.
Niveau mise en scène, le début est lourdaud et mal branlé. Les rêves ne sont pas crédibles, pas assez étranges, c'est zarbi un rêve en principe (pour la p'tite histoire me suis déjà pris une bastos dans le
Thorax en rêve, mon rêve a continué tranquillou...).
Par rapport aux persos creusés, d'accord avec ce que tu
Dis, mais justement : c'est tout. Arthur ? la gamine ? Michael Caine... ? Sur 2h30, ça pisse pas bien loin tout ça.
Pour Carpaccio, bien sûr qu'il joue nickel, il est ultime comme acteur, mais il ne force clairement pas son talent, il n'a même pas à le faire... Même pas comparable avec Aviator.
Globalement je ne trouve pas que c'est de la merde, juste du blockbuster +++. J'ai pas detesté hein, mais j'ai pas vraiument aimé quoi.
Tiens, par rapport aux scènes d'action dans l'hotel, z'ont fait comment pour l'espèce de pesanteur, au juste ?
Made it, Ma ! Top of the World !
A droite les brebis, à gauche les chèvres
Let's Go Celtics - RIP Bill Russell