dans "paris" de klapisch il était pas terrible non plus, mais je jetterai plus la pierre au réalisateur.
 
@ paillou > perso j'ai vraiment aimé. Il m'a fait penser à "sur mes lèvres" avec vincent cassel. Ce genre de cinoche Français est vraiment bon à mes yeux.

Bien vu, je l'avais zappé celui-là, ainsi que "Molière" que j'avais trouvé sympa.
Récemment, il a aussi fait "L'homme qui voulait vivre sa vie", qui a eu de bonnes critiques mais qui ne m'avait pas trop accroché au ciné, je n'étais pas vraiment rentré dedans.

@Doc' : ouais je pense que le cinéma français quand tu creuses un peu tu peux trouver de bonnes choses. Sur Mes Lèvres, film d'Audiard si je me souviens bien, j'en ai entendu parler aussi mais je ne l'ai pas vu.

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" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

j'aime bien  audiard même si je comprends qu'il puisse être irritant pour certains. dailleurs, je constate que j'ai du mal a revoir ses films alors que la première fois ils me font forte impression.

Pour l'instant Audiard m'a pas vraiment accroché même si je lui reconnais un certain talent. Faudra que j'aille faire un tour plus en détail du côté de sa filmographie.

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" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

Jete un oeil sur la métamorphose des cloportes dont on parle peu mais qui est excelent... un peu dans le style des tontons flingueurs en plus serieux et "sombre".

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Blowup

Putain, quelle déception. Film considéré comme un bijou des sixties, il m'a laissé de marbre. J'avais déjà vu le remake de De Palma (pas exceptionnel mais ça passe) et lu la nouvelle de Cortazar (Las Babas del Diablo, bijou littéraire) et donc je m'attendais à un thriller bien nerveux et mystérieux.
L'histoire, c'est celle d'un photographe qui un jour prend un couple en photos. En développant les photos il se rend compte qu'il a capturé sur l'instant le déroulement d'un meurtre.
Déjà, faut attendre 1h20 avant que le type se rende compte de ce meurtre (sur 1h50 je vous laisse imaginer) et entre temps rien. On suit le jeune photographe dans une journée entre ennui mortifiant et déboires inutiles. Une fois le meurtre découvert, il ne se passe pas grand chose non plus, j'en dirais pas plus pour pas spoiler.
On en vient donc à la conclusion que le film brasse du vent pendant près de deux heures et nous maintient dans une Illusion de quête de vérité qui n'a jamais lieu. On a souvent vanté ce film pour sa description passionnée du phénomène "Swinging London", et ça reste bien son Seul atout.

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" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

Un film tchadien qui évoque la Vengeance et le pardon à travers le personnage d'Atim chargé de retrouver et de tuer le responsable de la mort de son père. Le scenario ne va pas vraiment plus loin. Tout est basé sur les sentiments, les gestes et les regards. Les dialogues y sont minimes, il n'y a presque pas de musique, la mise en scène est volontairement lente... Très lente... mais aussi très soignée. La confrontation entre les deux hommes est intéressante mais au final c'est chiant, l'ennuie est présent, surement du au fait que je n'ai pas l'habitude de voir ce genre de films. Le final est bien pensé, émouvant.

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''Ouvre moi le chemin afin que je sorte et que je marche, moi qu'Anubis a recréé.''
Cette voix se fit entendre jusqu'en Phénicie, et glaça le sang des morts le long de sa route.

 
attention, je parlais du fils audiard, jacques et pas du père.

Biutiful

Je pourrais dire que ce film est beau, mais ce serait une facilité impardonnable pour un tel spectacle, et un jeu de mot peu flatteur.
Biutiful, c'est l'histoire de Uxbal, atteint d'un Cancer et qui sait sa mort inéluctable d'ici peu de temps. Sachant qu'il est destiné à mourir, il va consacrer la fin de sa vie à aider autrui et à se faire pardonner de toutes ses fautes passées.
C'est déjà une interprétation, celle de Bardem, incroyable et émouvant à souhait. Film dans la veine de 21 Grammes (même réalisateur) sans la dimension chorale. On y côtoie la misère sociale, la tristesse, le désarroi, la rédemption, la trahison , la culpabilité ... Les thèmes ne sont pas nouveaux dans le genre mais la façon dont Iñarritu les relate est saisissante et il y délivre un symbolisme somptueux. Film très poignant, autant que très cru, on en ressort pas indifférent.

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" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "