Vu Kikujiro, et oui je m'étais un peu ennuyé mais aussi un peu plus amusé vu le côté un peu plus léger du film. Le regard farceur de leurs scènes où ils s'amusent est sympa, mais voir des mecs jouer au frisbee alors que je suis venu regarder un film de gangster, ben non désolé.
Je veux bien aussi qu'on me dise que son inexpressivité traduit à elle seule sa lassitude du monde de la mafia sans qu'il ait besoin de faire une tronche spéciale, mais comme ils ont tous des têtes figées, ce point intéressant se retrouve selon moi quelque peu "étouffé". Le souci n'est pas d'être contemplatif ou même lent, sinon je ne serai pas en pamoison devant Blade Runner.

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Words and music. My only tools. Communication.

Mais le coup du frisbee, c'est ça qui est bon. Kitano désacralise le ganster et le montre comme un enfant parfois. Il porte sur les gens et les choses un regard naïf et sombre à la fois. Faut aimer, c'est un style. Et tout est intériorisé, japanese way.... On ne montre pas les émotions.

Contemplatif et lent, ce n'est pas comme ça que je qualifierais Blade Runner, mais c'est un autre débat.

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Contemplatif, peut-être pas mais lent si. Ça sert d'ailleurs magnifiquement son ambiance.
Oui Japanese way pour le côté impassible c'est vrai, pour le moment je ne dois pas être prêt à m'en accomoder.

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Words and music. My only tools. Communication.

Kitano, c'est pas facile, je te l'accorde. Je les avais tous mâté d'un coup à la grande époque où HK vidéo les avait édité en VHS. D'excellents souvenirs.

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Le Maitre de Guerre

Énième visionnage. Un film à réplique, absolument jouissif. L'entrainement et l'escouade est sympas aussi, ce qui pêche par contre c'est la bataille de fin faite un peu par dessus la jambe.

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Excellent "Le Maître De Guerre".

"Arrête de m'foutre ton barreau d'chaise de contrebande sous le nez, avant que jt'en fasse un suppositoire que t'allumeras par les naseaux!"

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"C'était moi qui étais le roi du quartier bien avant que tu ne sois une simple lueur dans les yeux d'un couple à la fin d'un concert des Eagles."

AL BUNDY

"Moi je vais te défoncer la gueule vue que si c'était autre chose tu serais trop content""Je vois bien de quel bord tu es, la clé sur la porte. Je vais te renvoyer dans tes pantoufles avec une paire de mirettes bordé de valises."

Tu peux pas répliquer à ça.

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Juste sympas, la fin est nul à brère: une mission super mal tournée et mal joué ou on se sent même pas au coeur de la bataille. Un sous Full Metal jacket.

Pour moi, ce n'est clairement pas le même genre de film que "Full Metal Jacket". Le thème militaire est au centre du film, certes, mais je ne le mets pas dans la même catégorie. Le Kubrick est très premier degré (et est vraiment ce qu'on peut appeler un film "de guerre"), ce qui n'est pas le cas du Eastwood.

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"C'était moi qui étais le roi du quartier bien avant que tu ne sois une simple lueur dans les yeux d'un couple à la fin d'un concert des Eagles."

AL BUNDY

Un instructeur qui fait la misère aux soldats avec des répliques à chaque phrases, de l'instruction en première partie de film et un conflit en deuxième et dernière partie de film... ouai rien à voir avec Full Metal Jacket.

Sinon faudrat que tu me dises où est ce que he fait le raprochement entre les deux réalisateurs.