Euh minute papillon, peut être je me suis mal exprimé. L'acte en lui même est condamnable, on ne doit jamais levé la main sur une femme. Ce que je voulais dire c'est qu'au niveau du maquillage, un peu léger, ils se sont pas foulé je trouve. Du coup j'ironise la dessus.

Comme je l'ai dit je m'attendais plus à un Gran torino façon western. C'est à dire, un mec, qui malgrés ses 80 balais, continue de botter des culs joyeusement tout en débitant des répliques imparable. La j'aurais jubilé !

Ca va alors. Tu évites le fouet.


Café Society




Le dernier Woody Allen.
 
Synopsis: New York, dans les années 30. Coincé entre des parents conflictuels, un
frère gangster et la bijouterie familiale, Bobby Dorfman a le sentiment d'étouffer ! Il décide donc de tenter sa chance à Hollywood où son oncle Phil, puissant agent de stars, accepte de l'engager comme coursier. À Hollywood, Bobby ne tarde pas à tomber amoureux. Malheureusement, la belle n'est pas libre et il doit se contenter de son amitié.  Jusqu'au jour où elle débarque chez lui pour lui annoncer que son petit ami vient de rompre. Soudain, l'horizon s'éclaire pour Bobby et l'amour semble à portée de main…


Vu que nous en parlions il y a peu, nous sommes loin d'un Match Point.
Ce film est fort agréable à regarder de part l'ambiance, la photo et la musique. Cette idylle et cette famille sont sympathiques à suivre.
A voir pour qui a envie d'un petit voyage en technicolor.

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Bah oui, mais non, c'était pas du tout l'esprit. Finalement, ce sont tes attentes qui t'ont empêché de prendre la baigne qu'on a tous pris.

Vu avant Gran Torino, t'aurais davantage apprécié. Le contexte au ciné, c'est aussi important qu'en zique finalement.

Tu as d'ailleurs un hommage à Impitoyable dans Gran Torino, quand Eastwood fait mine de buter tous ces connards. Ça renvoie clairement au final du western où il ne fait pas semblant d'appuyer sur la gâchette. Bref, le ton des deux films est nettement différent, même si les deux tournent autour de la rédemption.

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Ca je l'ai vite compris









Je pense savoir remettre les films dans leur contexte ce qui m'a permis d'apprécier des film comme Metropolis, citizen kane ou le "quasimodo" avec anthony quinn et gina lolobrigida. De plus l'essentiel des film que je regarde date d'il y a plus de 20 ans... J'ai grandi dans les années 80 /90 donc ce sont les films de cette époque là qui me touche le plus donc l'argument du contexte ça prend pas avec moi.

Hey, c'était dit sans moquerie et sans mépris hein. Je parlais du contexte d'une filmographie, en l'occurrence, celle de Eastwood, l'importance de découvrir ses films dans un certain ordre. Je sais que t'es pas un guignol.

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Le Bal des Vampires - Roman Polanski - 1967

Je vous épargne le synopsis, j'ai bien vite compris qu'il s'agissait d'un film culte.

Je me suis régalé devant ce "Bal des Vampires". Le professeur loufoque obnubilé par les vampires, le jeune Alfred, lui plutôt attiré par les femmes. De nombreuses scènes hilarantes et cette scène du bal où ils ne sont que trois dans le miroir alors qu'il y a une grande assemblée est géniale.
Une petite incohérence sur la vampirisation (le père qui se fait mordre après la fille mais qui devient presque instantanément un vampire alors que ce n'est pas le cas pour sa fille) mais ça ne nuit pas au scénario.
Un vrai bon moment.

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"Les Pieds sur Terre, le Corps avec les Hommes, la Tête dans les Etoiles" MH

@Miska ha ok ca va alors.

J'ai relevé un dernier point concernant impitoyable, j'ai pas tilté tout de suite ça mets venu plus tard en fait mais ce mec a deux enfants. J'ai pas révé on les voit au début du film. Du coup, pour mené sa "croisade" il abandonne carrément ses gamins pour pendant des semaines (il le dit lui même). Il doivent avoir quoi 5,6,7 ans à tout casser, tous seul dans une ferme isolé au milieu de nulle part. A cette age là tu tiens quoi 5 heures tout seul à tout casser et à part se faire des sandwitch thon, salade, tomate mayo, ils se nourrissent comment ?....   Au dela du faite qu'ils ont du bien faire chier durant tout ce temps  j'espère que le frigo était suffisement rempli parce que le salami si il est pas à bonne température il se périme vite et étant donné qu'on ne les revois plus du tout du reste du film, qu'est ce qui me prouve qu'ils ont pas été mangé par un loup, un serpent ou une chèvre ? Pendant que Eastwood fête sa victoire, ses gosses sont probablement en train d'etre sauvagement mutilé ou que sais-je. Du coup je suis en stresse là!!
Le mec il part comme un voleur, pas un bisou sur le front, ni une tape dans le dos pour dire au revoir.... rien. Bon il laisse quelques vagues instructions au petit garçon en lui disant que sa défunte mère veille sur lui. En gros dermerde toi quoi ?

Y a que moi que ça gène ou quoi ? J'étais à deux dois d'envoyer un courrier cinglant à l'UFSE (sigle trouvé au hasard sur internet) pour maltraitance infantile. Une assistante social aurait débarqué, elle aurait fait un rapport gratiné rien que sur l'état de la baraque, les enfants serait placé en famille d'accueil ou à la DAS. Le soleil se coucherai à l'horizon. Fin du film.

Alors parce que c'est Monsieur Eastwood, vous l'adulez et vous cautionnez ce comportement. C'est parce que vous aussi vous êtes des parents démissionnaires ??

Je t'avouerai que je ne me rappelle plus qu'il avait des mômes. Vu il y a un bail quand même. Peut-être qu'à cette époque les gamins savaient davantage s'occuper d'eux mêmes.

Dans tous les cas, le perso est présenté de suite comme un enculé notoire, qui je cite, "a tué tout ce qui bouge, marche ou rampe à un moment donné dans sa vie". Donc père démissionnaire en plus de ça, pour aller défendre l'honneur d'une catin, ça me choque pas ^^

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Ouais mais non en fait il dit lui même que la rencontre avec la mère de ses enfants l'a adoucit et qu'il a changé.