Nordvest (2013)

Nordvest est l’un des quartiers multiethniques les plus pauvres de Copenhague. Casper, jeune homme de 18 ans, y vit avec sa mère, son petit frère et sa petite sœur. Il s’acharne à joindre les deux bouts en vendant des biens volés à l’un des chefs des gangs du quartier. Quand le crime organisé arrive à Nordvest, la hiérarchie au sein du quartier change et Casper y voit une chance de monter en grade. Bientôt, il est projeté dans un monde de drogues, de violence et de prostitution, entraînant son frère dans son sillage. Alors que les choses s’aggravent, l’aire de jeu de leur enfance devient un champ de bataille.

Du ciné "social" à la Loach / Dardenne, en mode cru, dur, tragique et implacable.
Une plongée d'à peine 90 minutes, mais qui file si vite qu'on a l'impression que ça dure 20 minutes de moins. Pas que la réalisation soit hyper-nerveuse (pas mal de cam' à l'épaule tout de même, ça joue à fond la carte du réalisme), mais on se laisse totalement happé par l'histoire de ces petites frappes sans envergure mais terriblement humaines. Complètement prenant, un bon petit Uppercut sous le menton, à voir.

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

Au top cette Armée des Ombres effectivement. Concernant Melville, j'ai vu les 2 même que toi et là j'ai Le Cercle Rouge en ligne de mire. De part son casting (Delon, Bourvil, Montand pour les plus connus) et ses critiques positives, ça me semble un bon choix

Le cercle rouge est excellent oui ne serait que pour Bourvil dans un rôle sérieux (et son dernier rôle je crois bien) ou pour le Delirium Tremens de Montand.

Le doulos est pas mal si on aime les hommages aux films noirs américains. Pas vu d'autres films de lui, mais c'est à creuser.

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"The Tree don't care what the little bird sings" / Doom is the Truth

37°2 Le Matin


Un de mes nouveaux chouchou du cinéma français qui monte toujours plus haut dans mon estime.
Le couple Anglade/Dalle fait des merveilles ; on en rigole autant qu'on en pleure ; une passion aussi salvatrice que destructrice à donner le cafard pendant des jours tout en redonnant foi dans l'humanité.

J'adore.

Le Voyage dans la lune - George Méliès (1902)

Du génie et une prouesse à tous points de vue. Moi quand je regarde ce truc, je ne vois pas un film qui a 113 ans...

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Words and music. My only tools. Communication.

Carrément ! Inventif, avant-gardiste, malgré le temps il se regarde sans déplaisir ce Voyage dans la Lune.


Un p'tit classique pour pas hs, hop :

Serpico (1973)

Celui-là aussi il se regarde sans déplaisir, j'l'avais vu qu'une fois y'a une paie.
Un des rôles qui a forgé la légende de Pacino.
"Incarner", c'est le mot. Frank Serpico, Michael Corleone, Antonio Montana, vous imaginez une autre tronche que celle de Pacino ? Non, c'est pas possible.

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

Classique en effet. Jusqu'à Un Après-midi de Chien, la filmo de Pacino est de toute façon totalement intouchable.

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Même sa filmo récente?

Ce que je veux dire c'est que de Panique à Needle Park jusqu'à Un Après-midi de chien, c'est la super classe, rien à dire, que du culte, du chef d'oeuvre. Ensuite, il y a du bon, du très bon, du dispensable et parfois du mauvais.

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Kramer contre Kramer - Robert Benton (1979)

Et c'était bien

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Words and music. My only tools. Communication.