La Route .
"Il y a eu un long éclair de lumière très brillant , puis une série de chocs sourds"
Dans un environnement de fin du monde , après une catastrophe mondiale non définis de manière claire , au cœur d'un monde ou aucune lumière ne brille (Hiver nucléaire ? ) un père de famille et son jeune fils tente de rejoindre la cote en essayant de survivre dans l’environnement de mort .
Bonsoirs a tous .
J'avais découvert ce film au moment de sa sortie en salle , j'était aller le voir en compagnie de ma grande sœur .
C'est un film que j'aime . Malgré que le rythme sois lent et la mise en scène souvent contemplative .
La cause de la fin du monde , ce qui as réduit l'humanité a sa quasi extinction et changé le monde en un champ de ruine n'est pas clairement défini dans le film mais il laisse supposé,au travers des paroles du héros, qu'il s'agisse de quelque chose qui vient du ciel ,sans doute la collision de la terre avec une météorite , en tout cas c'est comme sa que moi je l'interprète .
Ce film montre toute la dureté de la survie dans un monde en proie a l’effondrement et a l'extinction , ou les plus immoraux et les plus dégueulasse pratique le cannibalisme en gardant parqué comme des animaux de pauvres ères proche du trépas , des galeux dans une caves dans une scène chargé de malsain et de tension .
Les paysages secs, inhospitalier et ravagé son magnifiquement mélancolique , sublime dans leur tristesse et leur absence d'espoir . Une photographie déprimante qui colle parfaitement a l'ambiance du film et a son message .
Durant tout le récit on nous bassines avec les "gentils" et les "méchants" alors qu'il en est tout autrement .
Le message certes appuyé du réalisateur est de montré que en temps de guerre ou de famine , en période difficile , il ni a plus de méchant ni de gentil , plus de mal ni de bien ,mais que tout le monde sont des salopards .
La première partis du long métrage , le père et le fils semble pourchassé par des ordures ,des individus malfaisant qui cherche a les détruites et ils semblent devoir lutté a chaque instant contre ces menaces , tel des êtres lumineux.
Hors le père va rapidement révélé au grand jours sa vrais nature, un enculé et un fumier au moins autant que les hommes qui le pourchasse . Sa noirceur remontant petit a petit.
En témoigne le traitement indigne de la condition humaine qu'il fait subir au voleur de la cote pour le punir de son larcins . Le châtiment est largement disproportionné ,et j'ai toujours trouvé cette scène révoltante ,car en retour le héros va le dépouillé entièrement .
C'est un chien .
Le fils , le jeune enfant , est un être tellement plus altruiste , tellement plus avenant , et au final tellement plus humain que l'adulte . Cherchant a rendre service et aidant les autres coûte que coûte ,risquant parfois sa propre vie . La scène ou il prend pitié du pauvre vagabond nonagénaire est forte et poignante limite émouvante .
Quelques minutes après avoir dépouillé de ses apparats le pathétique détrousseur , le père se mange une flèche , a chaque fois je peut pas m’empêcher de pensé "Bien fait pour ta gueule !".
J'apprécie cette histoire car elle montre la misère . La vrais misère . On a de la compassion pour ce père et son enfant dans une terre ravagé , un monde a l'état de ruine ou sévit le cannibalisme, la famine , la fin de tout . Ou les instincts animaux on prit le dessus sur les instincts humains.
Un petit bémol , je trouve la dernière scène un peu facile , un dénouement prévisible et sans finesse , peu crédible . Une fin de film "Parachuté".
Malgré tout je l'apprécie , même si c'est pas un film que je regarderait souvent .
"..Pret a dévorer le moindre morceau de viande tel un loup affamer " Shaka de la Vierge dans les chevalier du Zodiaque quand il décrit l'enfer de la famine .