m'en souvenais plus de ce film tiens......

sinon d'acc la dessus

Sands of Iwo Jiwa



Synospsis: Le sergent John Stryker entraîne durement ses marines avant le départ pour la Guerre du Pacifique. Mais lorsque la bataille d'Iwo Jima s'engage, ses hommes comprennent le sens de son apprentissage.

Film réalisé 4 ans après la fin de la guerre, on serra donc très peu étonné de son ton très "propaganda" et patriotique. L'histoire est simple, la préparation de nouvelles recrues de marines dont la destination sera Iwo Jima.
Comme beaucoup de film de guerre de l'époque, il y a relativement peu de scènes de combat. Le plus gros du film se fait autour des personnages et de leur relations.

Cependant la vrai particularité n'est certes pas l'histoire d'amour quelques peu niaiseuse, les actes de bravoures indispensables, la relation entre Stryker et le fils d'un de ses amis, non l'intérêt de ce film est l’incrustation quasi permanente d'images d'archives et cela donne un ton spéciale au film.

Il y a les "traditionnelles" images de débarquement mais pas que. Le film étant en noir et blanc, on passe du film aux images d'archive avec une certaine facilité, d'un décor typique carton/pâte de la Paramount  au réalisme des archives dans un turn over assez rapide entre les deux.
Autre aspect étonnant de se mélange: nous sommes sur un scène d'archive qui montre un homme se faire faucher par une balle et dévaler une colline et quand le plan se resserre c'est le visage d'un acteur qui apparait. Ou inversement, un acteur tire au lance flamme et d'un coup on passe en mode archive et se sont de vrais corps qui brulent. C'est assez déroutant et donne une dimension très spécial au scène de guerre du film.

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True Grit - Henry Hathaway (1969)

Et c'était vachement cool. Aventure, humour et beaux paysages savamment mélangés pour un western familial mais pas planplan avec un John Wayne sublime.

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Words and music. My only tools. Communication.

On en avait déjà parlé de celui-ci, il est quand même pas parfait...
Les grosses longueurs au milieu du film, les indiens invisibles, les rôles tout riquiqui de Duvall et Hopper, pourtant le début est top, très accrocheur, la suite moins...
Et la fin est naze si je me souviens bien.
Récemment je me suis envoyé L'Homme qui Tua Liberty Valance, essaye celui-là, je peux te dire que le John Wayne y est au top !




Ran (1985)
Y'a quelques couilles dans la réalisation, certains plans mal branlés ou mal montés, je l'ai pas trouvé absolument parfait à ce niveau là (sachant que c'est Kurosawa, et qu'on est en 85).
Petite déception aussi sur certaines batailles, qui se résument à voir des cavaliers se faire canarder par des armes à feu...
Mais impossible de décrocher, l'histoire est très prenante (adaptation du Roi Lear dans le Japon féodal), servie par des persos terribles (le vieux est hallucinant !) + des costumes et des décors aux p'tits oignons, là c'est ze gros point fort du film. 
Des thèmes forts, des répliques d'enfer aussi, bref à voir !



Les Lyonnais (2011)
Bonne surprise, juste les ziks parfois too much voire parfois dispensables, pour le reste c'est du solide, acteurs charismatiques, dialogues de circonstances, photo classe, mise en scène soignée, en gros le Romanzo Criminale à la française, du bon.

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

Oui on en avait déjà parlé de True Grit et de sa revisite par les frères Coen.


De Marchal, j'ai bien aimé MR73 et 36 Quai des orfèvres. J'avais vu 1 ou 2 épisodes de sa série Braquo mais trop noir à mon gout. Je n'avais pas accroché. Pas envie de ça à l'époque.

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36, ouais j'avais bien aimé.
Les Lyonnais un cran au-dessus j'ai trouvé, en tout cas les 2 sont soignés, c'est du bon taf.
C'est dommage ces musiques un peu too much par moments comme je disais, ça dessert carrément le côté réaliste du truc, ça crée une espèce de fausse tension bidon (ça fait série US lambda...), inutile quoi.

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

The Revenant

Un véritable tour de force ce film, bien qu'un peu trop long à mon goût. Inarritu a un sacré talent et il n'a de cesse de nous le prouver, jusqu'à parfois friser l'overdose et la prétention. Ce Revenant possède un p'tit côté Tree-of-Life-je-me-la-pète, que j'ai trouvé dommageable : les petites voix susurrées, les fantasmes/rêves/souvenirs du personnage de Glass qui gangrènent la narration, les nombreux plans carte postale, ça empâte un peu le film dans un délire spirituel qui nuit à son rythme et son efficacité.

La première partie est la plus impressionnante techniquement, avec des plans d'une complexité folle lors de l'attaque du camp, permettant une immersion hallucinante. Inarritu, entouré d'une équipe technique hors pair, démontre toute l'étendue de son talent et ne lâche pas son grand angle durant tout le film. Carrément costaud ce passage, mais c'est la deuxième partie, celle axée sur la survie de Glass, qui lutte contre ses blessures, les éléments, la nature, qui m'a le plus emporté. Passionnant, et rappelant à plus d'un titre le célèbre Jeremiah Johnson de Pollack aussi bien que le Apocalypto de Gibson.

Le dernier acte est plus convenu, jusqu'au plan final et ce regard caméra qui m'a laissé perplexe. Le duel est terrible et m'a évoqué celui des Duellistes du père Scott, mais il n'atteint pas l'impact de celui contre l'ours, visuellement incroyable de réalisme.

Un très bon film malgré ses longueurs et ses quelques boursoufflures, plastiquement épatant, mais qui manque à mon sens de profondeur et qui semble un peu surfait dans sa dimension spirituelle.

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Ma mère ainsi que de nombreux amis sont aller le voir et m'en ont dit que du bien .

Sans parler des critiques profondément élogieuse sur le net .

Un film solide qu'il faudra que je visionne .

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globalement d'acc avec toi miska sauf pour ta dernière phrase.

Je trouve qu'il ne manque pas de profondeur et de dimension spirituelle si on essaye de se replacer dans la peau et la tête d'un homme de cette époque.

Ils étaient grave en chien, on se représente même pas à quel point. Leur monde était âpre et d'une incroyable dureté.

Et oui la scène d'attaque au début est incroyable. 


sinon vu deadpool




malgré mon aversion pour les super héros au ciné il m'a fait rire ce film.......sans plus. je lui reconnaît un traitement pas habituel qui m'a fait tenir presque jusqu'au bout.

Presque jusqu'au bout Doc? Dans le sens ou tu as stoppé le visionnage ou tu t'en es désintéressé?

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