Everest

De belles images et j'ai adoré l'arrivée de la tempête, à part ça j'ai regardé d'un oeil distrait...

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Est-ce que par hasard tu aurais pigé la logique du perso Gyllenhaal ? SPOILER perso j'ai compris qu'il est mort comme une merde après avoir fait 3 aller-retour entre la base et le sommet pour le fun...SPOILER fini

Attention spoiler sur Everest.
Non... mais en effet il s'est amusé le gars. Déjà à bout de forces au premier aller-retour d'ailleurs, c'était du suicide...

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Ouais grosso modo c'est mon avis sur mon dernier film vu : The Tree of Life de T. Malick.


Nan bon, j'suis pas sur une très bonne série en ce moment.

Under the Skin (topic d'à côté mais c'est pas grave), ah au début ça m'emballait pas mal, mais finalement non, j'ai du tenir 3/4 d'heure, ça m'a complètement fait chier, dans l'idée c'est pourtant pas mal, mais que c'est chiant dans la forme.


The Tree of Life, donc, alors là waow, ça faisait très longtemps que j'avais pas vu un truc aussi lourdingue, chiant, pompeux, en un mot insupportable.
Très peu de plans fixes, mais une succession de travellings mollassons qui te filent la gerbe (là je parle au premier degré), le Seul truc cool c'est l'espèce de trip cosmique qui arrive au bout de 20 minutes, et encore je pense qu'il faut gober des champis avant pour apprécier vraiment le truc.
Pour moi un mauvais ovni.


Et Les Promesses de l'Ombre, ouf, clairement pas le meilleur Cronenberg, mais ça rattrape large les 2 autres !
Un bon film, mais j'ai trouvé un manque de finesse dans l'écriture, et puis à part les tatouages, on ne retrouve pas trop le coup des "mutations" du corps humain chères au réalisateur.
Bien mais pas indispensable.

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

Non... NON! NOOOOOOOOOOOOOON!!!

Ça fait un moment que Cronenberg ne donne plus chair au verbe. Il est sympa Les Promesses de l'Ombre. Quand tu parles des "deux autres", ce sont lesquels ?

Sinon, + 1000 concernant Tree of Life, le film le plus pompeux de ma vie. En salle, j'en pouvais plus.

Under the Skin, c'est très spécial, oui, mais de mon côté je suis parvenu à m'accrocher. Au final, c'est une expérience sensorielle particulière.

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Les 2 autres dont je parle, Tree of Life et Under the Skin

Rah nan mais Palme d'Or pour Tree of Life, si ça c'est pas la preuve qu'ils sont tous complètement défoncés à Cannes...

Les Promesses de l'Ombre l'histoire est bien, les 2 acteurs principaux aussi, y'a du bon Gore, mais j'ai regretté que par moments le scenar te tombe tout cuit dans le bec. Et les persos pourraient être un peu plus creusés.

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

under the skin m'a d'abord rebutté puis captivé..jusqu'au bout. Un ovni ce film.

Tree of life m'a gavé..mais d'une force, oui pompeux et trop cul béni...doux par ci et par là...pfff faut redescendre. Insupportable.

Pour les promesse de l'ombre il est pas mal...mais on est loin du cronenberg d'avant et cassel en fait un peu trop.

Alors Cassel je ne pige pas du tout pourquoi on lui a confié ce rôle d'excentrique - hédoniste - fils-à-papa - homo refoulé, il est pas du tout taillé pour ça.
Rien que son visage, ça colle pas du tout, l'aurait mieux fallu confier ça à un acteur au faciès un peu plus juvénile.
En plus la langue, il parle anglais et j'sais pas quelle autre langue (ruskov ?) avec son accent français, c'est franchement pas terrible.
Et oui, on a l'impression qu'il en fait des caisses, m'enfin c'est le perso quoi... moi j'ai trouvé qu'il faisait son max avec ce perso.

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Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

Ton Vice est une Chambre Close dont moi Seul ait la clé, 1972.

Adaptation plus ou moins libre du Chat Noir d'Edgar Allan Poe, Sergio Martino remet le couvert en cette année 72, à peine quelques mois après Toutes les Couleurs du Vice, et fait encore jouer ses habitués. Edwige Fenech, pour commencer, qui met plus d'une demi heure à montrer le bout de son museau, Anita Strindberg, affublée d'une terrible choucroute rousse, Ivan Rassimov, pas mieux niveau postiche et qui dès l'apparition de son nom au générique, informe déjà le spectateur qu'il sera un enculé, et Luigi Pistilli, célèbre pour ses rôles emblématiques dans nombre de westerns spaghetti. A contrario de L'Etrange Vice de Madame Wardh auquel renvoie d'ailleurs le titre de ce nouveau giallo, et de Toutes les Couleurs du Vice, Edwige Fenech laisse ici tomber son rôle de femme névrosée et harcelée, qui échoie avec moins de succès à Anita Strindberg, pour incarner une intrigante lubrique venue foutre le boxon dans un couple orageux.

Martino tire un peu sur la corde, et se révèle moins fulgurant dans sa réa que précédemment. Fini le psychédélisme, la fantasmagorie toute transalpine, l'audace visuelle, ici, c'est plus scolaire, avec placements de produits à gogo, et forcément moins passionnant, si ce n'est Edwige, toujours fascinante, et dans un rôle à contre emploi rapport aux deux premiers vices. Heureusement le dénouement est à la hauteur et parvient à surprendre le spectateur.

Pas le meilleur Martino, mais bien sympa quand même, avec un joli score de Bruno Nicolai, encore une fois.

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