Le Grand Cinéma >> Un film regardé, un post à combler (21)
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Lundi 14 Mars 2016 - 17:06:44

très bon souvenir  "LITTLE ODESSA" pour moi. 



Mardi 15 Mars 2016 - 09:33:55


citation :
Alfael dit :
Tu en avais déjà peut-être déjà parlé (et je me suis déjà répété dessus aussi), mais tu as maté le Place Beyond the Pines de Cianfrance (Blue Valentine) avec la Eva Mendes plus le Gosling et le Bradley Cooper ? Plus le temps passe, plus il monte dans mon estime celui-ci.

Oui bien sur, c'est vu. Il était dans mon top ciné cette année là je crois. Excellent film en effet.



Mardi 15 Mars 2016 - 13:39:34


Pa Negre (Pain Noir)
Très impressionné par ce film sombre dépeignant la société Espagnole post guerre civile, avec ses Secrets, ses mensonges et ses trahisons. Superbement filmé, les jeunes acteurs sont tous très talentueux



Mercredi 16 Mars 2016 - 13:03:22

Vu hier (ou plutot cette nuit)


New World

Ja Seong, un flic, est infiltré depuis plus de 10 ans dans la pegre coréenne, manipulé comme un pion par ses superieurs dans le but de faire tomber la puissante organisation. C'est un homme constament sous pression, fatigué et vivant avec la peur d'etre démasqué à tout moment. C'est le bras droit d'un des chef de clans composant l'organisation. Apres la mort soudaine du parrain, la place pour la succession est ainsi vacante, il n'y a que trois clans pour pretente à la succession, parmi ces trois figure celui ou Ja Seong est infiltré.Une lutte pour le pouvoir va donc s'engager entre les trois familles. Ja Seong va devoir choisir son camp entre sa hierarchie et sa dévotion au clan.
s
Je vous ferais par de mon avi plus tard car là je n'ai pas trop le temps, je suis train de bouffer et je dois ensuite continuer de nettoyer la cuisine que j'ai commencer ce matin, à plus


Mercredi 16 Mars 2016 - 19:28:10

Bon voila

New World c'est top, comme d'autres polars/thrillers sud coréens la photographie est superbe, la zic pareil de meme que le jeu d'acteur. L'action par contre apparait plus dans la deuxieme heure du film (2h14 le film), en fait je dois avouer qu'il y'en a pas beaucoup mais c'est pas grave. Parmi les roles principaux à par Lee Jung Jae qui campe le flic on a Hwang Jung Min (A Bittersweet Life)
qui incarne le chef du clan ou Ja est infiltré, enfoiré flambeur.
Et bien sur on y trouve notre bon vieux Choi Min Sink qui incarne le chef de police pour qui travaille en fait Ja, toujours avec sa tronche bouffie et son attitude dontgiveafuck qui n'a peur de rien et qui n'hésite pas à provoquer les chefs de gang. C'est lui qui donne les instructions à suivre au flic et qui se sert de lui comme un pion.

Le final est tres bon aussi et assez pessimiste (en meme temps c'est sud coréen) meme si je m'y attendais

Voila


Lundi 21 Mars 2016 - 09:53:58

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La Queue du Scorpion (La Coda dello Scorpione), 1971.

Une intrigue à tiroirs, des meurtres très graphiques, quelques fulgurances dans la réa, de jolies filles, une fin à la Scoubidou, pas de doute, on est dans le pur giallo. Réalisé à la grande époque, alors que Argento venait juste de démontrer la puissance de son talent avec son premier film, L'Oiseau au Plumage de Cristal, Sergio Martino, comme tant d'autres, lui emboite le pas et s'engouffre avec talent dans la brèche d'un genre inventé par le grand Bava.

Très bon giallo donc, bien joué, joliment mené, à grands coups de manipulations comme le genre le réclame, avec en prime un excellent score de Bruno Nicolai. Et, fait rare chez Neo Publishing, l'éditeur, le Master est soigné et respecte la jolie photo du film.




Lundi 21 Mars 2016 - 14:33:56

Tiens Miska vu que tu parle ciné italien là tu penses quoi du film que j'ai posté quelque pages plus haut La Rançon De La Peur et de la vague Poliziotteschi (néo-polar italien) des 70's stp?


Lundi 21 Mars 2016 - 15:47:57

Les poliziottesci est un genre sur lequel je n'ai pas encore jeté mon dévolu, donc je ne peux rien en dire pour l'instant. Ça viendra peut-être. En tout cas, je remarque dans que La Rançon de la Peur, t'as une actrice en commun avec La Queue du Scorpion, la très belle Anita Strindberg, et qu'un film avec Tomas Milian est forcément intéressant.


Mardi 22 Mars 2016 - 20:38:57

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6 Femmes pour l'Assassin
(1964)

Après avoir lancé la mode du giallo en 63 avec La Fille qui en Savait Trop, Bava codifie une fois pour toute les caractéristiques du thriller à l'italienne l'année suivante, et Balance son cultissime 6 Femmes pour l'assassin, film matriciel d'un genre qui allait connaitre ses plus belles heures une décennie plus tard.

Comme toujours avec le maitre, des couleurs chatoyantes de partout qui composent des décors chargés à bloc. C'est flamboyant, plein d'emphase, très graphique, et le scénar est bien retors. L'érotisme, l'une des trois composantes majeures du giallo, est encore discret, mais nous ne sommes qu'en 64, tandis que les excès Gore commencent à peine à pointer le bout de leur nez sous l'impulsion d'un fou qui sévit de l'autre côté de l'Atlantique et qui propose cette année là le non moins culte, 2000 Maniacs.

Détonateur de toute une partie du cinéma d'exploit', au même titre que sa future Baie Sanglante, 6 Femmes pour l'Assassin est un film imparable pour comprendre le genre, et terriblement influent. Outre les dizaines de copies qui fleuriront au début des 70's, on peut également citer le Suspiria d'Argento qui tire toute sa moelle de ce film là.



Mercredi 23 Mars 2016 - 13:10:51

Du rital par ici aussi :


Enquête sur un Citoyen au-dessus de tout Soupçon (1970)

On suit un commissaire de la police criminelle intouchable mais complètement baisé de la tête par le pouvoir, venant d'être promu à un niveau politique.
Il assassine sa maîtresse en laissant derrière lui un paquet de preuves, juste pour le kif de ne pas être inculpé, et de faire porter le chapeau à d'autres (de préférence des gauchistes).

Servi par un thème mémorable de Morricone (qu'on retrouve sur le Director's Cut de Fantomas), le film mêle habilement Corruption, politique et psychologie, mais c'est trop long à mon goût (un peu moins de 2 heures), toutes les parties avec la maîtresse sont en flash-backs et j'ai trouvé ça lourdingue perso.

De ce réalisateur je ne connaissais que le très bon La 10è Victime (proto-Running MAN ), là j'ai été un poil déçu par la longueur, malgré le propos pertinent, et bien récompensé (prix spécial du jury à Cannes + meilleur film en langue étrangère aux Oscars l'année suivante).



Et sinon Wrong de Dupieux (2012)


Eh ben déçu là aussi.
Très en-deçà de Steak et Rubber pour moi.
Alors oui les idées sont bonnes, dans la forme c'est très bien boutiqué... mais là aussi y'a des longueurs, et malgré que j'aime l'humour absurde, j'ai jamais vraiment éclaté de rire.
On peut faire plein d'interprétations de l'histoire, mais c'est pas si captivant, ou alors j'suis passé totalement à côté...
Après un Steak complètement inattendu et un Rubber carrément réussi, j'en attendais bien plus.