SEIJUN SUZUKI - La Marque du Tueur (1967).
Vu cet après midi même... Hyper impressionnant. Je suis resté le plus souvent avec un air de crétin.
Une simple histoire de traque entre deux tueurs dans la ville. Tout s'enchaîne, et le N°3 est pris dans une spirale
Infernale où il doit se détacher de tout.
Alors, je n'y connais que peu de choses, mais la réalisation saute aux yeux. Plan séquence en caméra subjective, cut continu (ça a failli me perdre à un moment). Après, certaines autres scènes sont bluffantes et millimétrées, ça souligne aussi la difficulté de ce film.
C'EST N'IMPORTE QUOI, PUTAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN !!!!!!!
Ah ben vous m’étonnez que Tarantino vénère ce réalisateur. Parce que niveau scénario, c'est carrément la fête à la saucisse avec les persos qui réagissent n'importe comment, les plans tordus, etc. Seuls les dialogues permettent de s'y retrouver dans ce fatras de scènes et de zoom frénétiques.
Restent la scène de fin, glaçante et terrible, puis les va et viens avec deux femmes étranges. Des papillons virevoltent.
Un film noir donc. Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir... Noir...
Autant vous dire que je suis très embêté pour parler plus de ce film avec les spoils et l'impression d'avoir commencé par le moins accessible.
Vous n'êtes pas obligé de me croire, cela dit...