| DerivationTNB dit :
Ninja Kids
Mes petits sont tombés là dessus sur le disque dur de Tonton. Ils ont adoré. Surtout le côté mettre une raclée aux adultes (bande de monstres). Que dire si ce n'est que ça ne vole pas haut mais que j'ai posé mes fesses avec eux et jusqu'au bout. |
| DerivationTNB dit :
Et bien j'ai touché la vibre nostalgique des trentenaires ou approchant. |
| DerivationTNB dit :
Enragés
Je ne sais pas trop en fait. A priori se serait la relecture d'un film italien Cani arrabbiati de 1974. Le point de départ: un braquage qui tourne mal, 3 otages (1 homme et son enfant + 1 femme) et s'ensuit un Road movie. Il y a des plans sympas, une utilisation de la lumière, de la musique réfléchi, des moments de franche Tension mais quelque chose me gêne. Ca se loge dans les détails, dans des personnages caricaturaux, des invraisemblances, une impression générale de quelque chose de bancal, de mal fichu. |
Miskatonic dit :
Wandering Ginza Butterfly (1972)
Je continue d'explorer la filmo de Meiko Kaji avec ce Yakuza eiga sympathique et plutôt étonnant. Ça commence assez mollement, avec des pointes d'humour parfois relou, bien que Meiko explose l'écran dès sa première scène, mais la dernière demi heure pète de maitrise. Une fois que l'histoire mafieuse se met en place, le réal se sort les doigts du cul, et même s'il n'a pas le talent de Shunya Itô, Toshiya Fujita, Kenji Misumi ou encore Kinji Fukasaku, il envoie du lourd, notamment lors de cette surprenante partie de billard français qui devrait intéresser les amateurs. V'là les contre-plongées vertigineuses et la Tension palpable lors d'un duel mémorable. Meiko est géniale et maitrise aussi le bien le sabre que la queue, et d'ailleurs en parlant de sabre, cahier des charges Oblige, ça se termine en bain de sang avec des plans débullés de malade sublimant une Meiko vénère qui ensanglante son kimono vengeur pour notre plus grand plaisir. En plus, comme à l'accoutumée, elle interprète la chanson titre. La classe la meuf. Bon, il y a une suite tournée la même année avec Sonny "The Streefighter" Chiba. Je vais me l'envoyer prochainement. Obligé. |


), un Boss final assez inattendu, une Pure BO soul/funk, y'a juste la toute fin un peu foirée j'ai trouvé, mais vu que tout le film se veut un peu foireux c'est vraiment pas bien grave.