(Les deux orthographes sont acceptées Demoneyes ^^
Autant & au temps, j'avais fait une recherche à ce propos il y a bien longtemps)

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(Je sais mais ma loyauté envers la Sainte Académie Française (qui préconise l'usage de "au temps") est sans limite (enfin si, un peu étant donné que j'ose les parenthèses à l'intérieur de parenthèses, et ça ils aiment pas trop))

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Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

C'est d'origine militaire cette expression et je crois bien qu'à l'origine ça s'écrivait "au temps pour moi". Mais bon on n'est pas en cours de français.

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Words and music. My only tools. Communication.

equilibrium




une super idée de base pour un beau ratage à mon avis.

Je l'avais déja filtré/évincé de ma liste en essayant de le mater sans succes et là je m'y recolle.

Je laisse tomber au bout d'une heure..........définitivement pas client. Bordel de merde pourquoi mettre du san ku kay /matrix sans être dans la matrice dans ce super scénario de base.

Pourquoi ne pas traiter ce film comme un THX1138 l'avait abordé avec toute l'horreur cachée qui en découlait.......

Les bastons à la con, les catas pour apprendre à tuer, leurs danses à la cons sous les voutes.........en ré-utilisant une histoire a la big brother..........

L'exemple type du film qui me gonfle car il avait de bons acteurs, une bonne idée de bons moyens..........

NAGISA OSHIMA - Contes Cruels de la Jeunesse (1960).

Pffiou, je passe d'un "Kaiju Eiga" à la Nouvelle Vague au pays du soleil levant. Autant celle en France, je n'ai connu que Truffaut et Godard (un peu Le Mépris et surtout Alphaville), mais celle des autres pays m'intrigue.

J'ai même l'impression que là-bas, c'était bien destroy. Au début, j'ai failli stopper le visionnage en regardant ce jeune connard la traiter comme un outil et les voir progresser dans ces rues pourries. Puis peu à peu, et bien que j'enrage que l'enregistrement ait coupé le début, je n'ai même pas baillé. C'était limite assez sinistre, Grotesque et violent. J'ignore si L'Empire des Sens vaut la peine mais le film que je viens de voir porte bien son nom, malgré un trop plein de dialogues à un moment. Cruel ? Oui, vraiment.

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Vous n'êtes pas obligé de me croire, cela dit...

Oui, il vaut le coup L'Empire des Sens. Réflexion intéressante concernant les Dangers d'une sexualité poussée trop loin. Final top glauque. Puis c'est bien joué et c'est beau. Un grand film, perturbant et puissant.

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ORSON WELLES - Citizen Kane (1941).

Il était bien temps de s'attaquer à celui considéré comme le plus grand film de tout les temps.

En ce qui me concerne, je doutes un peu. Montré comme une innovation, je ne m'avancerai pas sur ce terrain car je bite que dalle au langage cinématographique. Je sens juste que Orson Welles n'était pas un tripoteur de caméra et que certains plans sont très troublants (vers la fin surtout). L'histoire, elle, est assez classique en fin de compte, mais l'aspect documentaire est assez intéressant, et mené de main de maitre. Interviews, archives, le film est presque un vrai biopic qui se concentre autant sur les frasques que sur le pouvoir des médias. Ce propos est d'ailleurs assez prophétique avec ces magnats de la presse se pensant au dessus des lois (Murdoch au Royaume Uni).
J'aurais peut-être du le voir plus tôt, j'y aurais surement vu un parallèle avec Sarko président (je n'en Dis pas plus à ce niveau, voir le film). Cela Dis, certaines lenteurs ont failli me faire somnoler et je pense donc le revoir ultérieurement. Mais ce n'est qu'un détail, car il y a cette folie des grandeurs que j'aime beaucoup (comme chez Cléopâtre avec Liz Taylor). Ces trucs grandioses en apparence mais vides à intérieur.

Le plus ? Peut-être pas. Mais un des plus grands oui. J'attends La Soif du Mal et Le Procès au tournant.

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Vous n'êtes pas obligé de me croire, cela dit...

Pioneer (2013)

Par le réal du premier Insomnia. Attiré par l'affiche et le mystère vendu par le pitch, le film nous emmène là où on l'attend pas. Je voyais un truc vaguement fantastique, dans le sillage d'Abyss peut-être, mais non, c'est tiré de faits réels s'étant déroulé en Norvège au début des années 80 et ça raconte le combat d'un scaphandrier pour connaitre la vérité quand au décès accidentel de son frère. Limite un film d'espionnage (industriel) finalement, à la mise en scène réaliste et quasi documentaire, mais au sujet hermétique et austère.

Pour ceux qui aiment la plongée ou qui veulent savoir comment la Norvège est devenue l'un des pays les plus riches du monde.

Super score de Air, planant et énigmatique.

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Manu, ça a pas l'air mal, là comme ça, ce Pionner. Je vais essayer de le choper. Merci pour l"info, étant en plus fan de plongée, ça devrait le faire.

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LeMoustre