ça dépend! Il est loin d'en faire des tonnes aussi.
Sinon, Shaka est tout le temps les yeux fermés et ne les ouvre justement que quand il se bat contre du lourd.

La description ne m'incite pas du tout à voir le film.

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"Shun c'est toi qui a pété ?"

Sinon, plein d'articles sont sortis. Plutôt ravi que les gens aient pris du recul (faut toujours ça), pas comme ce torchon d'Animeland qui a regardé trop près et a débité des conneries à longueur de pages. Sans parler du bashing mensonger sur Kurumada dans l'article de Littardi.

J'irais quand même le voir. Je pense que ce film mérite mieux que du troll internet lancé avec un Q.I de 0,5 que j'ai eu l'occasion de lire ici et là sur les forums spécialisés.

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Vous n'êtes pas obligé de me croire, cela dit...

Dans les Manga Seiya est un peu con, là c'est vraiment une sorte de comic relief pourri avec des mimiques de débile

Justement, comme Shaka ne se bat pas, ben du coup là il a les yeux tout le temps fermés (et aucune explication n'est donnée là dessus dans le film).

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Le belge est lourd certes, mais il est franc. Alors que quand le franc est lourd, c'est qu'il est suisse.

L'intelligence c'est le Seul outil qui permette à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur.

Il faut quand même attendre la saga de Hadès, soit pratiquemment la fin de la série...

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The Place Beyond The Pine



Cascadeur à moto, Luke est réputé pour son spectaculaire numéro du «globe de la mort». Quand son spectacle itinérant revient à Schenectady, dans l’État de New York, il découvre que Romina, avec qui il avait eu une aventure, vient de donner naissance à son fils… Pour subvenir aux besoins de ceux qui sont désormais sa famille, Luke quitte le spectacle et commet une série de braquages. Chaque fois, ses talents de pilote hors pair lui permettent de s’échapper. Mais Luke va bientôt croiser la route d’un policier ambitieux, Avery Cross, décidé à s’élever rapidement dans sa hiérarchie gangrenée par la corruption. Quinze ans plus tard, le fils de Luke et celui d’Avery se retrouvent face à face, hantés par un passé mystérieux dont ils sont loin de tout savoir…


Film intéressant mais qui souffre du manque d'une véritable profondeur dans les relations entre les personnages. Comment résumer en 2h20, 15 ans de Silence, de manque, de frustration, de douleur, de remords, d'ambition? Tout est suggéré certes, et on comprend bien ce qui a amené les personnages là où ils en sont, mais cela aurait vraiment mérité d'être plus fouillé. Une des conséquences de cette superficialité est un manque d'attachement réel aux personnages et de "sentiments".

Tous les acteurs jouent très (très) bien mais il y a une impression un peu gênante de redite. En effet, le personnage de Ryan Gosling fait immédiatement penser à celui qu'il incarnait dans Drive. Celui de Ray Liotta est également une sorte de bis repetita d'anciens rôles. Cela donne un côté très convenu et sans imagination.
Quant à celui d'Eva Mendes (qui ressemble à une gamine de 20 ans. Trop fort les maquilleurs!!!) et de Maershala Ali, ils sont sous exploités.

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Totalement d'accord. La mise en scène de Derek Cianfrance participe d'ailleurs pleinement à cet état de fait, notamment lors de la séquence d'ouverture lorsqu'il filme Gosling de dos en le suivant dans ses déplacements dans le but de le rendre énigmatique et attractif.





Piégée (Haywire)

Un Jason Bourne au féminin qui se veut plus léger et dont la principale attraction réside dans les performances physiques de son actrice principale, la très charismatique Gina Carano. Niveau Action, ça gère plutôt pas mal, niveau cast, c'est de la balle, reste que Soderberg, malgré ses énormes qualités, n'est pas Paul Greengrass, et continue de phagocyter son film par des tics stylistiques habituels : partis pris chromatiques marqués d'un décor à l'autre rappelant Traffic, trip hop à trois sous loin de l'excellente BO de Hors D'Atteinte pourtant signée par le même artiste, et un flagrant manque de suspense dans une mécanique trop bien huilée.

Sympa, sans plus.

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Piégé un film dont ce souviens surtout (juste) des scène de baston assez musclé.Ont voit que Gina Carano es une cogneuse avant d'être une actrice. J'ai eu un gout amer avec ce film, un sentiment d'inachevé.


EDIT 22h23: Je mettais cassé le cul a parler de Apocalypse Now Redux, spirit a bugué alors ça me casse les couilles de tout réécrire, bref un bon film.
 

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Les 2 défauts que tu cites ici se recoupent en partie je trouve, et sont, comme tu le soulignes, en immense majorité dus au choix de narration (15ans -> 2h20). Le casting est excellent, mais trop connu au moment de la sortie pour un projet pareil. Le Ryan était encore tout auréolé de son rôle de Drive (qui continue de lui coller à la peau d'ailleurs), tu le vois ici avec un casque, une moto et avec un braquage pas loin et tu fais le rapprochement immédiatement, alors que les 2 personnages ont pas mal de différences tout de même. Le fait de ne le voir que 'rapidement' par rapport à la durée total du film renforce encore cet effet, et c'est ici que je trouve que tes 2 défauts se recoupent : le fait d'avoir des acteurs connus sur une seule partie du film (qui plus est quand un rôle en rappelle un précédent comme ici) peut expliquer en partie cette superficialité que tu as ressenti.


Mais cette narration 'par touches', très aéré dans le temps et se concentrant surtout sur des détails m'a vraiment séduit. Parce que face aux événements terribles que nous montrent le film, le réal' nous y oppose les détails qui font justement basculer les situations du côté tragique (les conneries qui retardent Ryan avant la course-poursuite, comment Bradley pourra prouver l'affaire de Corruption au grand jour, les rapprochements/éloignements des 2 fils,...). Mais parfois cela tombe aussi du bon côté, notamment dans le final, et on ressent cet équilibre précaire tout au long du film, prêt à basculer à chaque instant.

Chinatown - Roman Polanski (1974)

C'est bon ça ! Un thriller noir, dramatique, juste épatant. Scénario bien ficelé, musique de Goldsmith absolument superbe (composée en 10 jours !!!), Nicholson au top.
Un grand classique du genre à voir absolument.

Juste un bémol pour la VF de Faye Dunaway, j'avais envie de lui mettre des claques toutes les deux secondes, ça m'apprendra tiens.

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Words and music. My only tools. Communication.

Ah putain je te le fais pas dire ! Ternir un chef d'oeuvre pareil en le matant doublé. Brrrr, ça me file des frissons. Faye Dunaway putain...

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