Le Grand Cinéma >> Un film regardé, un post à combler (19)
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Dimanche 01 Fevrier 2015 - 14:41:09

Bien d'accord. Tout est balancé n'importe comment dans ce film.



Dimanche 01 Fevrier 2015 - 15:07:22

@Snake : Je suis d'accord avec tout (presque, la création de l'Homme-sable est presque fidèle au comics), mais bordel, y'a de bonnes idées ! C'est pas un ratage, il est juste moyen.


Dimanche 01 Fevrier 2015 - 15:25:13

Snake d'accord avec toi sur le passage où Peter se la joue cool, c'est le Seul passage que je trouve vraiment mauvais.


Dimanche 01 Fevrier 2015 - 15:26:30


citation :
Mozabi649 dit :
Snake d'accord avec toi sur le passage où Peter se la joue cool, c'est le Seul passage que je trouve vraiment mauvais.


+1 de ma part.


Dimanche 01 Fevrier 2015 - 23:29:55



L'étrange histoire de Benjamin Button - David Fincher (2008)

Ça passait ce soir sur France 2 alors j'en ai profité.

Un très beau conte, j'ai ri plusieurs fois et même si c'est un projet loin d'être aussi ambitieux que les illustres thrillers de Fincher, il est néanmoins fort sympathique, avec un côté magique, fin, subtil des plus appréciables.



Lundi 02 Fevrier 2015 - 00:44:09


citation :
Mozabi649 dit :
[...] même si c'est un projet loin d'être aussi ambitieux que les illustres thrillers de Fincher [...]


Euh ?



Lundi 02 Fevrier 2015 - 07:59:08

Je me suis peut être mal fait comprendre. Le scénario est très intéressant, le film est très bon, Jolie BO, mais il faut bien reconnaître que ce film n'a pas la prestance, l'envergure, l'aura d'un Fight club ou d'un se7en.


Lundi 02 Fevrier 2015 - 11:36:30

L'évadé d'Alcatraz





Film sympathique tiré d'une histoire vrai mais qui pêche un peu au niveau du scénario par le manque de surveillance des prisonniers durant le film.
En effet, les futurs évadés fabriquent un tas de choses qu'ils cachent dans leurs cellules, demande de la peinture etc et tout ça au nez et à la barbe des gardiens. Une seule fouille durant tout le film. Après on peut partir du postulat que l'administration avait une telle confiance dans l'impossibilité de s'évader qu'elle pêchait par orgueil mais bon cela donne une impression de "facilité" dans la mise en oeuvre de l'évasion qui dessert le sujet.


Lundi 02 Fevrier 2015 - 11:48:30

Le film est pourtant une reconstitution méticuleuse de la véritable évasion. Pour avoir vu les vraies images des cellules dans un docu, c'est complètement ça. Alors il est vrai que la réa de Siegel est pour ce film assez froide et deshumanisée mais pour ma part ça cadre bien avec le sujet, et j'ai ressenti beaucoup de suspense au moment de l'évasion (le mâton qui checke Eastwood en train de roupiller mais que l'on croit être le leurre, le type qui hésite au dernier moment et qui ne parvient pas à attraper les grilles...). Pour moi tout fonctionne, un film dur et burné typique de son époque, late 70's/early 80's, et un incontournable du film carcéral.



Lundi 02 Fevrier 2015 - 12:09:18

Je ne reviens pas sur le côté réaliste du lieu. Effectivement niveau décor c'est tout à fait ça et ça ressemble aux documentaires qui existe sur le sujet. C'est le manque de fouille. Dans les mots, il y a l’omniprésence des gardiens notamment quand l'Anglais" (le black) explique le nombre de fois où ils sont comptés mais dans les actes je ne l'ai pas ressenti à cause de cette facilité à cacher le matériel.

Le coup du maton quand Clint dort, c'était entendu. Aucun suspense pour ma part. Par contre au moment de l'évasion, effectivement tu te Dis que M. Butts va tout faire planter et là j'ai ressenti une vrai tension. Autre moment de Tension avec le peintre dans l'atelier.

Dans les incontournables du film d'évasion tu peux aussi citer Papillon avec Steve McQueen, antérieur a l'Evadé, qui, à contrario, a une ambiance plus poisseuse et organique. Cela est certainement du en partie au fait que l'action se passe à Cayenne avec un climat équatorial alors que l'autre se déroule à Alcatraz avec un environnement plus austère et froid.

Et je ne le trouve pas "dur et burné", je le trouve calculateur et idéaliste dans le sens où rien ne les faits renoncer à la liberté.