| Mozabi649 dit : Je me demande souvent si les autres passionnés de cinéma, ceux qui sont vraiment des mordus de cet art, de ses codes, sa Culture, ont comme moi un film qui est "leur film", un film à propos duquel la subjectivité et la passion prennent le dessus dès qu'on en parle. Ou si au contraire on est un vrai fan du cinéma quand on sait se mesurer dans ses propos même sur les films qu'on adore et qu'on a revu 50 fois sans se lasser. Qu'est-ce que vous en pensez ? |
| megalex1986 dit :
Il y a forcément des films qui marquent, liés à l'enfance ou bien de manières personnelles... Personnellement le film qui m'a donné gout au cinéma, ça restera Taxi Driver dont je vouerai un culte jusqu'à ma mort. Evidemment, il faut essayer de toujours garder un Semblant d'objectivité mais l'affect' sera toujours là. Le Seul film sur lequel j'ai versé mes larmes est Bienvenue à Gattaca, et ce film n'a eu cet effet là qu'avec moi parmi toutes les personnes que je connais l'ayant vu. |
J'ai toujours toujours ce frisson quand on voit la Brachiosaure pour la première fois et ce thème principale que je fredonne très souvent (avec celui de Metal Gear Solid). Cette phrase: "J'en es marre d'avoir toujours raison", qui es pour moi aussi culte que: " il nous faudrait un plus gros bateau".
| Snake_Pliskin dit :
Pour ma part ça serait Jurassic Park J'ai toujours toujours ce frisson quand on voit la Brachiosaure pour la première fois et ce thème principale que je fredonne très souvent (avec celui de Metal Gear Solid). Cette phrase: "J'en es marre d'avoir toujours raison", qui es pour moi aussi culte que: " il nous faudrait un plus gros bateau".
Quand on aime, les défaut on s'en branle, voir même on les adore car ca fait le charme du film aussi. EDIT: Y'a aucune honte à pleure devant un film, ça m'arrive souvent aussi quand on es pris dedans et attaché aux personnes. Si vous saviez sur quoi je suis capable de verser une larme
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Mais il est également dans mes petits papiers.
| megalex1986 dit :
Les faux-raccords, faut pas non plus déconner. Tous les réalisateurs en font et il est quasiment impossible de pas en produire. |
Je peux être bouleversé par Le Pianiste sans pour autant fondre en larmes.