J'ai pas eu de supers échos sur lui en général ...
Jack Reacher
Plutôt une bonne surprise. Le film a été mal vendu à la base parce que je m'attendais à un film d'action américain second degré un peu concon alors qu'absolument pas. On est plutôt dans de l'espionnage, quelque chose de plus subtil et sombre au contraire.
Un sniper fou se rend dans un parking, assassine 5 civils totalement aléatoirement et disparait. La police trouve un ancien sniper de guerre devenu cinglé, ayant tué par plaisir, coupable idéal autant pour les autorités que l'opinion public. Sa défense ? "Trouver Jack Reacher".
Cruise est donc un ancien de l'armée, homme fantome changeant systématiquement d'identité et apparaissant/disparaissant au gré de ses humeurs et de ses actions.
Convaincu que tout est trop simple, que le sniper fou n'est pas celui que l'on croit et que quelque chose de plus lourd se trame derrière, il va enquêter avec l'avocate du présumé
Assassin pour en découvrir plus (la belle Rosamund Pike).
Le film tient en haleine, l'action est finalement peu présente mais très efficace quand elle est là, peu d'humour ou avec beaucoup de parcimonie et une plongée dans l'après guerre sombre et peu glorieuse, où les armes, la
Vengeance et la haine sont les maitres mots. La fin manque un peu de surprise mais on ne décroche jamais.
Un très bon film, dont la bande annonce ne résume à mon sens pas le contenu. Comme quoi.
Destination Finale 5
On prend les mêmes et on recommence.
Ce n'est même plus de l'horreur ou de l'angoisse. Le processus est encore le même.
Accident évité, les premiers meurt, les survivants commencent à comprendre et cherche à parer la mort...mais ils finissent quand même par y rester (ouh, le spoil

).
Mis à part le détail sympa de le temporaliser avant les autres, avec un clin d'oeil au premier volet, peu de choses réjouissantes. Les effets spéciaux sont vraiment moyens, les exécutions manquent de piment et sont vraiment improbables (si une gymnaste meurt comme ça..., le bouddha qui éclate littéralement la tête du tuch...). Bref, au début on était surpris, après on souriait par l'imagination des morts mais là, on cille même plus.
Il est temps que ça s'arrête.
Welcome to the Desert of the Real