V pour Vendetta

m'a gonflé ce film. Les scènes de bastons pas crédibles, le mec avec son masque m'a prodigieusement énervé. J'ai pas réussi à rentrer dedans un Seul instant.

J'ai trouvé ça à coté de la plaque, mais d'une force.

Vous me mettez un doute tous sur V Pour Vendetta en ce moment, j'en ai gardé un très bon souvenir de celui-là pour ma part...

  desolé

Y'a un problème ici ?

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"Je me moque de savoir beaucoup de choses, je veux savoir des choses que j'aime"

ben je m'attendais pas a ça.

J'ai eu l'impression désagréable d'un meltingpot de plein de trucs...........1984, old boy, fantomas.........je sais pas. Ça a glissé comme un pet sur une toile cirée.

Et puis ce masque qui rend le personnage inexpressif au possible. A rajouter, et là je pense faire plaize a miska en allant dans son sens........la VF et la voix du personnage V énervant. Je sais pas si la VO arrange ça mais sans dire que ce film est mauvais, je ne suis pas rentré dedans.

A titre d'exemple j'ai pas aimé brazil  que beaucoup décrivent comme un monument. Les décors, le jeux des acteurs, l'histoire même.......

Aaaah, je vois que je suis pas le Seul à ne pas avoir adhéré à ce film considéré par beaucoup comme culte ^^ ...

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Planet Terror (2007)

Un bon gros moment de délire. Ou comment faire un mélange efficace de films d'horreurs de série B accomodé façon Tarantino.


Gremlins (1984)

Un Spielberg qui a plutôt mal vieilli. Encore bien délirant pour quelques scènes, notamment le combat de la mère de Billy dans la cuisine. Les 15 dernières minutes m'ont fait assez chier. ça devait être le passage le plus halletant, mais en fait non. ça n'a clairement pas le même effet que quand je l'ai vu gosse.


Scarface (1983)

Celui-là n'a pas pris une ride. Al Pacino et Michelle Pfeiffer y sont monstrueux. Grandeur et décadence d'un immigré cubain, tueur et trafiquant de drogue, qui voyait le rêve américain comme un gros gâteau où chacun peut librement déterminer sa part. Le retour à la réalité est souvent brutal.

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C'est pas Spielberg mais Joe Dante.

Ok! Je vois qu'il n'a été que producteur en fait. C'est surtout parce que son nom est mis bien en évidence au début du film et qu'il y a plein de clins d'oeil à E.T.

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Memories of Murder

Oeuvre viscérale et d'une frustration sans nom que livre le réalisateur de talent qu'est Bong Joon-Ho. Une perle du film noire, une réalisation parfaite et une histoire a vous arracher les tripes de frustration (cette intensité dans le final ainsi que l'épilogue, putain).

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