| krakoukass56 dit : l'équilibre entre images/bande son/direction d'acteurs est à mon sens bien ajusté. |
| krakoukass56 dit : C'est marrant comme je lis/entends souvent des crtiques négatives sur le "style" de Boyle, effectivement tape-à-l'oeil (dernièrement avec un collègue c'est Slumdog qui a morflé). Pourtant je ne lui trouve pas ce côté si "prétentieux" (j'ai vu 5 de ses films en tout et pour tout), l'équilibre entre images/bande son/direction d'acteurs est à mon sens bien ajusté. |
| Molick dit : 2001 L’Odyssée De L'Espace n'a pas vraiment d'histoire, mais pourtant c'est le plus grand chef d’œuvre jamais fait |
Molick dit : ...2001 L’Odyssée De L'Espace n'a pas vraiment d'histoire, mais pourtant c'est le plus grand chef d’œuvre jamais fait ... |
| Miskatonic dit : ...Kubrick a su en effet sublimer par une mise en scène inspirée, précise et totalement novatrice pour l'époque, mais en perdant aussi le spectateur dans les délires de sa vision de l'oeuvre du romancier. |
| Miskatonic dit : [...] disons qu'il a tendance à vouloir trop en faire, et à quasi systématiquement saloper la dernière demi-heure de ses films (La plage, 28 jours plus tard, Sunshine). |
| AmonAbbath dit : ... "28 Jours Plus Tard", la fin on dirait un peu un truc à la Spielberg, on voyage pendant tout le film et à un moment on se trouve enfermés au même endroit pour une séquence plus en huis clos, et j'aime pas toujours ce procédé. Par contre dans "28 Jours" je trouve que ça va... |
)
... | Miskatonic dit : Un huit clos en soi ne me dérange pas, bien au contraire, j'adore ce genre qui amène Tension et suspense, mais dans le cas où celui-ci intervient aux 2/3 tiers d'un film plutôt rythmé, ça ne fonctionne pas. |
| Danny Boyle n'aurait jamais du faire quitter Londres à ses protagonistes. C'est précisément à ce moment là que le film part en vrille. Lorsque les personnages se posent dans ce camps militaire rempli de clichés, à base de "couche toi par terre salope, maintenant il faut se reproduire pour sauver l'humanité", le film devient merdique et plonge le spectateur dans des lieux communs. La Tension redescend, plus de rythme. |
| Et puis comment imaginer qu'un type gringalet (Cilian Murphy), torse-nu, les mains menottées dans le dos, dehors sous le froid et la pluie, sans godasses, puisse mettre en déroute un bataillon de militaires au taquet super entrainés et munies d'armes, de combi renforcés, avec en plus l'avantage du terrain ? J'appelle ça prendre le spectateur pour un con. Merci Danny. |
| Miskatonic dit : Un huit clos en soi ne me dérange pas, bien au contraire, j'adore ce genre qui amène Tension et suspense, mais dans le cas où celui-ci intervient aux 2/3 tiers d'un film plutôt rythmé, ça ne fonctionne pas. Danny Boyle n'aurait jamais du faire quitter Londres à ses protagonistes. C'est précisément à ce moment là que le film part en vrille. Lorsque les personnages se posent dans ce camps militaire rempli de clichés, à base de "couche toi par terre salope, maintenant il faut se reproduire pour sauver l'humanité", le film devient merdique et plonge le spectateur dans des lieux communs. La Tension redescend, plus de rythme. Et puis comment imaginer qu'un type gringalet (Cilian Murphy), torse-nu, les mains menottées dans le dos, dehors sous le froid et la pluie, sans godasses, puisse mettre en déroute un bataillon de militaires au taquet super entrainés et munies d'armes, de combi renforcés, avec en plus l'avantage du terrain ? J'appelle ça prendre le spectateur pour un con. Merci Danny. |
| Molick dit : Pour 2001, je tiens à rappeler que le film a été est fait en même temps que le livre, et le que le livre n'est en aucun cas l'explication du film. Le film est volontairement plus vague, car Kubrick ne voulait pas prendre de parti. Par exemple la cause extra-terrestre fortement implicite dans le bouquin n'est pas du tout à reporter dans le film. Le film en soi n'a pas de scénario très travaillé (hop un ptit Monolithe qu'on sait pas d'où il vient, un méchant ordinateur (enfin pas méchant, juste assez têtu), des Visions et hop c'est fini. Tout le reste, toutes les réflexions n'est pas amené par le scénario mais par la mise en scène de Kubrick (pas de dialogues, pas d'explications, juste des portes ouvertes à chaque plan). Le scénario au sens péripéties n'a pas spécialement d'intérêt, d'où son développement simple. |