Ce n'est pas faux. N'empêche que son personnage ne sert à rien dans ce film.

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Qui fait le malin, tombe dans le ravin

Arf, trop peu de sommeil c'est temps-ci.

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Qui fait le malin, tombe dans le ravin

Slevin
pas mal du tout ce Slevin, à cheval entre la comédie et le thriller, le scénario est original (un peu tiré par les cheveux m'enfin ça passe ...) ,  au final sans être un chef d'oeuvre ce film m'a fait passé un bon moment et la fin m'a surpris . 

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J'aurais dit décalé plutôt que tiré par les cheveux perso... C'est un thriller avec une touche de "Tarantino" je trouve, qui lui donne presque un air (j'aime pas ce mot mais...) onirique, on dirait un rêve réaliste mais un peu étrange par moments...
Et puis j'adore tous les contrastes du film : la scène où Willis parle avec un (presque) inconnu dans cet aéroport ou cette gare aux couleurs unies, pratiquement que du blanc, le repère du "Boss" qui est beaucoup plus chaleureux si l'on excepte le fait qu'un baron du crime et ses sbires y vivent... Même la musique et les dialogues ont cette touche, tantôt amusants et décalés et parfois graves et cyniques...
Au final c'est une idée toute conne, mais je la trouve tellement bien montée et mise en scène... Après, comme je l'ai déjà dit, le film a bien appris sa leçon après les Tarantino et autres Fincher par exemple, mais ça marche alors je n'ai rien à redire.

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

je ne m'en souviens que peu. Mais je me rappelle avoir été plutôt agréablement surpris par ce film.

Une prise d'otage sur un Cargo danois. Voilà ce que raconte Hijacking (Kapringen).

C'est sobre, réaliste et brillamment mis en scène. La Tension est constante jusqu'au dénouement, fort et émotionnellement puissant.
Point de fioritures, pas de spectaculaire, on est dans l'intimiste réaliste. Aucun plan gratuit. Quasi dogmatique. Un presque documentaire qui tient le spectateur en halène jusqu'au bout. L'interprétation est magistrale.

Un film d'auteur tendu qui fait mal.

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Multi-récompensé, Departures (Okuribito), sorti en 2009 dans nos contrées, est un film sur la mort, sur l'accompagnement vers notre dernier voyage, sur l'adieu aux proches, sur... la mise en bière. Sortez les poivreaux ! Il n'est pas question de houblon ici, mais bien de mettre le corps du défunt dans son ultime réceptacle, le cercueil. Inutile de vous dire qu'au Japon cette opération cérémonielle est très codifiée et suit un protocole précis. C'est l'objet de ce film, oeuvre délicate, touchante, poignante même, mais drôle aussi parfois. Beaucoup d'émotion pour un film qui donne à réfléchir sur pas mal de choses. Du grand cinoche, sobre et élégant.

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On retrouve des acteurs de The Killing et Borgen dans ce film, les mecs commencent à se faire un nom. Perso j'aime beaucoup Soren Malling.


Les Brigades du Tigre (2005)
Pas follichon mais ça se laisse regarder, beau boulot sur la forme (décors, costumes, les ziks de Claude Bolling qui mettent bien dans l'ambiance) et bons acteurs (Edouard Baer toujours nickel, Frémont, Gamblin, le mec qui joue Terrasson aussi) sauf Cornillac.
Alors lui j'comprends pas... le mec enchaîne les premiers rôles et doit avoir un cachet monstrueux... Autant je l'avais trouvé impec dans A la Petite Semaine, autant depuis qu'il a de la notoriété ça le fait pas du tout.


127 Heures (2010)
Le fond est creux.   (huhuhuhu...)
Mise en scène excellente de Boyle (une fois de plus), on pouvait faire difficilement mieux je pense vu le sujet.
Ca fonctionne bien, le finish m'a bien pris aux tripes perso, mais objectivement, l'histoire de ce mec valait vraiment la peine d'en faire un film ? Pas sûr...

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

 
ben voila, c'est ce que j'en pense aussi. Malgré le talent de boyle, ce film m'a grave gonflé. Comment faire 1h30 voire 2h de péloche avec pas grand chose.
 
Ok cette histoire vraie est juste hallucinante, respect au mec qui a vécu ça toussa mais cinématographiquement parlant.....................chiant.

Oui, j'avais vu ça en furetant sur imdb. Ils déchirent ces deux mecs. Dans Hijacking, ils ont un jeu totalement différent. Beaucoup de sensibilité et de fragilité se dégage de Pilou Asbaek, tandis Soren Malling a un jeu plus froid, plus introspectif. Bon après, c'est leur rôle qui veut ça aussi.

Sinon, pour ma part, me suis pas ennuyé devant 127 heures. La mise en scène de Boyle, pourtant tape à l'oeil, est efficace et captive notre attention. L'interprétation de James Franco y est pour beaucoup je pense.

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