Revulsed, pas écouté...Infecting the swarm déchire méchamment, d'ailleurs je l'ai mis 3ème dans mon top, une puissance phénoménale parfaitement maitrisé, le genre de groupe dont on devrait parler plus souvent, notamment pour sa puissance monstrueuse, par rapport aux vieux qui ont sorti leurs albums de référence il y a 30 ans
Merci.
J'ai commencer a écouter le Infecting the swarm , il a l'air vraiment bon.
Excellent ce Ecchymosis, au-dessus de pas mal de groupes de Brutal Death (slam y compris). Le batteur y est pour pas mal aussi mais sur cet album en particulier ça va de la pochette à certaines paroles en passant par la prod massive et des compos (Aesthetic Devotion Towards Coprocraniotomy) avec du riffing un minimun inspiré et oui, pourquoi pas, pervers.
En Brutal Death au son bien rugueux et avec de la substance dans les morcifs y a ce split que je considère comme une référence :

Delusional Parasitosis / Ecchymosis / Dissevered / Bleeding - Scaphism (2018)
Là dedans y a tout ce dont Victory Command parle dans son com'.
Je ne suis pas un fanatique de toutes les productions de New Standard Elite mais je jette au moins une oreille ou deux à chacune des sorties du label, y a toujours quelque chose qui m'interpelle voire m'impressionne (cf les derniers Top en Death haha). Un peu comme Everlasting Spew dans un autre registre tiens.
Job for a Cowboy - Moon Healer

J'avais pas pu me retenir malgré mes efforts d'écouter les titres postés en avant premières sur les réseaux donc je préssentais que ce disque reprendrait plus ou moins les affaires là où elles s'étaient arrêtées avec Sun Eater en 2014.
Donc c'est plus ou moins la même chose dans tous les domaines et la filiation avec le précédent est évidente mais avec le curseur "prog" encore déplacé de quelques crans dans sa direction.
C'est touffu et il faudra quelques écoutes pour en faire le tour mais je suis conquis.
Jamais trop accroché sur Job For a Cowboy, j'ai même revendu leur précédent.
Vu qu'un nouveau Deicide arrive, je me refais un petit tour de discographie.
Deicide : Deicide (1990, Death Metal, Roadrunner records)
Découvert très tard et je ne sais pas vous, mais alors, qu'est ce que le son est bas sur cette album! je suis obliger de monter le volume 3 fois plus fort que sur les autres cd. Je passe assez vite au suivant.
Deicide : Legion (1992, Death Metal, Roadrunner records)
Je préférais le premiers à ce 2e album, en réécoutant, je change d'avis, je prend plus de plaisir avec ce Legion, et ce "In Hell I Burn", "Holy Deception".
De manière général, ce sont les albums que j'écoute le moins chez Deicide, je pense que c'est principalement dut à leur découverte tardive, et une production en dessous des suivantes.
Bien sur ce sont 2 bons albums, cela faisait bien longtemps que je ne les avaient pas sortis. Je me rends compte que leur façon de faire leurs albums n'a pas changé depuis leur premier, 30min de destruction.
Deicide : Once Upon the Cross (1995, Death Metal, Roadrunner Records)
Voici l'album qui ma permis de découvrir Deicide, achetè en cassette au Virgin de Toulon il y a longtemps.
Pour moi, la meilleur période de Deicide, je passe assez vite sur ce skeud, c'est celui que j'ai le plus écouté, il fait partie de ma liste d'incontournable. Tout est est dingue sur cet album, tout d'abord un pochette hyper provocante qui restera dans les annales tout comme celle de Cannibal Corpse et son Butchered at Birth. Tout s'enchaine parfaitement, une durée parfaite, varié, violent, inspiré....
Deicide : Serpents of the Light (1997, Death Metal, Roadrunner Records)
Incroyable suite ! je trouve qu'ils se sont appliqués sur les refrains. Tout ce qui manque a ce Serpents of the Light c'est une pochette aussi marquante que le précédent.
Nouvelle doublette
Deicide : Insineratehymn (2000, Death Metal, Roadrunner Records)
Changement de son, un album plus mid-tempo. Les compos sont moins percutantes, même si cela fait largement le boulot, ce Insineratehymn est loin d'être la suite attendu.
Deicide : In Torment in Hell (2001, Death Metal, Roadrunner Records)
Seuleument 1 an après Deicide revient avec ce 6e album. Deicide sembait pressé de finir son contrat avec Roadrunner, du coup un sentiment d'album baclè, vite fait, plane au-dessus, dèjà au vue de la pochette. Mais voilà, il n'en est rien, l'album est bon, décomplexé, sans pression, Deicide nous pond de sacrée titres comme "Vengeance Will Be Mine" ou "Worry in the House of Thieves". Je préfére ce In Torment in Hell à Insineratehymn.
DEICIDE : Scars of the Crucifix (2004 Death Metal, Earache records)
Deicide marque le coup avec ce premier album chez Earache records. Un son rappelle d'avantage Serpents of the Light et Once Upon the Cross. Il n'arrive pas à les égalés, mais c'est au dessus des 2 précédent. Quelques riffs particulièrement excellents ("Scars of the Crucifix", "When Heaven Burns", "Enchanted Nightmare")
Deicide : The Stench of Redemption (2006 Death Metal, Earache records)
Du changement : - Glen Benton (basse, voix)
- Jack Owen (guitares)
- Ralph Santolla (guitares)
- Steve Asheim (batterie)
Les frères Hoffman quitent le groupe , Benton garde le nom Deicide et voilà The Stench of Redemption. Je m'en rappelai plus de cette album, je fais bien de me le remettre. Quelle violence ! Je vais le laisser tourner plus longtemps celui ci, car il est plus dur à assimiler. Je risque de revoir toutes notes des albums....
Deicide - Till Death Do Us Part (2008 DEATH Metal, Earache records)
Le départ des frères Hoffman, aura été bénéfique pour deicide finalement, ce Till Death Do Us Part replace Deicide parmis les plus grands.
Deicide - To Hell With God (2011, Death Metal, Century media)
Pas de changement de line up
Les Floridiens reviennent à des titres Death Metal un peu plus trashy, efficaces et accrocheurs,
Un superbe album pour ma part, bien sur la recette rappelle plus l'époque des premiers albums, avec la touche actuel. J'aime bien ce coté un peu plus épuré.
Voici les 2 derniers
Deicide : In the Minds of Evil (2013, Century media)
Je n'e l'avais pas ré écouté depuis l'année qui a suivit sa sortie. Je me souvenais pas qu'il était aussi solide cet album (Quirion à pris la place de Santolla à la guitare).
Du pur Deicide sacrément en forme !
Deicide : Overtures of Blasphemy (2018, Century media)
Jack owen (qui rejoindra Six Feet under) est remplacé par Mark English (ex-Monstrosity). Pareille , je ne l'ai pas ré écouté depuis son année de sortie. En ré écoutant mon avis change, Pour le coup celui-ci je le trouve un cran en dessous des précédents, une petite baisse de régime, même ci on est loin d'un échec, c'est tout a fait honorable. Je le trouve un peu moins percutant, moins marquant aussi .