Certaines de mes chroniques en
Power laissent penser que je sais parfaitement de quoi je parle, mais c'est un tort, d'ailleurs je doute toujours très sérieusement des instruments utilisés sur "Unia" de Sonata. C'est pourquoi j'écris beaucoup moins, et je me renseigne bien plus.
Plus le temps passe, plus je remarque les trucs faits aux claviers (même si désormais ces prises de
Conscience ne datent pas d'hier).
Ce que je veux dire, c'est que c'est surtout au niveau du travail sur les sonorités et sur le mixage que ça joue pour moi. Donc, par exemple, une bonne prod' peut me faire apprécier un disque tout autant qu'un orchestre, tant que le son rend l'ensemble cohérent (et pour ça il faut soit beaucoup de fric soit beaucoup de savoir-faire artisanal...).
Chez Sonata (sur "Unia") ça passe sacrément bien même si je sais qu'on a plutôt affaire à un gros travail de mixage, et chez
Dimmu Borgir, sur leur dernier album, je reste sans voix face à l'alchimie parfaite avec l'orchestre.
Par contre en Black traditionnel ou en Death je n'ai pas les mêmes attentes, mais en ce moment en
Power il me faut la perfection, sinon je n'écoute même plus (sans doute parce que les groupes pullulent, ça devient saturé)...
Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !