Symphonic Metal >> Sympho of Enchanted Lands 5
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Dimanche 17 Juillet 2011 - 21:03:15

Fairyland - Score to a New Beginning (2009)


Dimanche 17 Juillet 2011 - 22:14:33
Emperor - In The Nightside Eclipse.

Une pièce maitresse du BM sympho'. Le clavier n'est pas un instrument qui n'est là qu'en fond sonore, il est l'essence même de l'album accompagnant avec justesse les riffs.


Lundi 18 Juillet 2011 - 12:13:10

Rhapsody - From Chaos to Eternity (2011)


Lundi 18 Juillet 2011 - 13:03:54

citation :
MightyFireLord dit :
Rhapsody - From Chaos to Eternity (2011)


Le même se terminant à l'instant...


Lundi 18 Juillet 2011 - 14:43:07

citation :
morgothduverdon dit :

Jette toi sur La Masquerade Infernale, album si particulier et si....

Excellent.


Quand je Dis que j'ai du mal avec Arcturus, c'est valable aussi pour cet album... Je reconnais que je n'ai pas beaucoup insisté, mais ça me semble trop barré pour moi, en tout cas pour l'instant. Et puis ces vocaux de chèvre ici et là me dépassent un peu...

Je vais insister, comme d'habitude. Quand c'est complexe comme ça, il faut pas mal d'écoutes avant de tout saisir. On verra ce que ça donne...


Lundi 18 Juillet 2011 - 15:31:59
Pour commencer à l'apprécier à sa juste valeur, il m'aura fallu peut être 6 écoutes, et il se bonifie avec le temps.

Et c'est une fois là que les vocaux de chèvre comme tu Dis montrent leur vrai valeur, ils sont voulus, histoire d'ajouter à ce côté, comment dire... Masqué, fou (mais relativement vicieux.

Je me permet de citer un passage de la chronique de Fabien :

"Difficile d’accès aux premières écoutes, incohérent pour celui n’ayant pas la volonté de pénétrer son univers, La Masquerade Infernale
emporte définitivement l’auditeur avec le temps. Grand, tragique &
envoutant, ce théâtre Baroque reste parallèlement toujours aussi
indomptable au fil des représentations, afin de préserver avec pérennité
toute sa magie et ses mystères. En véritable visionnaire, Arcturus impose ainsi en cette année 1997 un album d’une avant-garde et d’une richesse exceptionnelles, semblant tout comme Faust
avoir définitivement vendu son âme au diable pour accoucher d’une telle
oeuvre, qui présente comme Seul défaut son impardonnable faute de
français en son titre. Ultime !



Fabien. "


Lundi 18 Juillet 2011 - 15:42:13
Je pense que ça devrait aller au fil des écoutes (j'ai survécu avec Prometheus d'Emperor, alors bon... ).

Sinon :


Capitollium : Seraphim's Lair

Voici un album que j'ai décidé de dépoussiérer aujourd'hui même. Y'avait bien longtemps que je n'avais pas posé une oreille dessus. Verdict : toujours pareil, à savoir un album potable mais franchement moyen. Les instrumentaux relèvent un peu le niveau général qui, il faut le dire, n'est pas transcendant à cause d'un mauvais mixage des guitares et de la batterie. Dommage...


Lundi 18 Juillet 2011 - 15:51:21
Ah, il est quand même moins barré le Prometheus. Mais il ne s'apprivoise pas facilement du tout, c'est vrai.

Lundi 18 Juillet 2011 - 19:47:06

citation :
morgothduverdon dit :
"qui présente comme Seul défaut son impardonnable faute de
français en son titre. Ultime ! "



Je suppose qu'il veut parler de "Masquerade"? Etrangement j'ai plus l'impression qu'il s'agit d'un jeu de mot, "mascarade" et "masque", vu que Garm est représenté masqué sur la pochette...

Sinon cette aprem j'ai écouté le Gift of Tongues d'Amortis:


Du black sympho progressif, je pense que ce sont les meilleurs mots pour décrire cet opus aux compos longues, déstructurées et alambiquées. Peut-être un peu longuet d'ailleurs, parfois ça a du mal à avancer ou à finir, mais l'opus renferme de bons passages et morceaux tels qu'un "Godless Aphrodite" aux multiples facettes. J'ai quand même réussi à dénicher un certain côté Arcturus dans certaines parties (il y en a peu et je ne me souviens pas du titre exacte).



Lundi 18 Juillet 2011 - 20:04:42

Luca Turilli's Dreamquest "Lost Horizons" (2006)

Le projet electro gothique du guitariste virtuose italien...avec Bridget Fogle au chant (choriste aux côtés d'Amanda Somerville ou Claudy Yang dans les studios de Sascha Paeth).
Un album rafraichissant, toujours aussi grandiloquent (c'est Luca quoi...) mais où le guitariste s'est occupé uniquement des claviers, leur donnant une assisse spatiale et différente de ce qu'il peut faire habituellement, reléguant légèrement la guitare au second rang, et la rendant syncopée bien souvent.

Un disque controversé que j'aime beaucoup...et que j'écoute toujours avec plaisir, même s'il n'est pas parfait et manque parfois d'ambition et de personnalité (comme un gros pavé épique par exemple), se cantonnant un peu trop à mon gout à des Structures basiques. Mais pas de quoi gâcher l'écoute de ce disque, bien au contraire, il en améliore l'accessibilité...