Non mais tu peux aussi rechercher par toi-même plutôt que d'attendre la becquée.
On a Internet, t'as tout à portée de main, c'est pas comme si fallait faire le tour des Tout l'Univers à la bibliotèque du coin.
En prime je n'expliquerais pas mieux ce que certains ont déjà mis par écrit.

Et puis y'a que 2 topics ici pour poster les films, et t'arrives quand même à y mettre le bazar, j'te jure...

Donc plutôt que d'échanger avec des gens, je devrais faire mes recherches dans mon coin. Mais à quoi ça sert un forum si on échange pas?

De mon point de vue les films que jai posté sont à leurs places. Je veux bien en discuter, mais si on me dit fait pas ci pas fait pas ça sans explication, ça ne sert à rien.

Les Affranchis

Un classique, y'a pas à tortiller du cul. Bien que la fin je l'ai pas vue venir.

Snake_Pliskin dit : Donc plutôt que d'échanger avec des gens, je devrais faire mes recherches dans mon coin. Mais à quoi ça sert un forum si on échange pas?

A échanger comme tu dis, des points de vue notamment. Débattre quoi.

Là c'est pas du débat, t'attends juste que l'info te tombe tout cuit dans l'bec.

Je t'ai dit, Spartacus c'est pas vraiment un film de Kubrick, y'a des dizaines d'articles sur le net qui l'expliquent très bien, je vais pas te faire une tirade non plus.

Allez, la suite.
 

The Coldest Game

Un film d'espionnage polonais sur la guerre froide, mettant en scène une bataille au jeu d'échecs (sans métaphore) décisive au cours de laquelle quelques coups bas seront portés afin de déterminer qui, des Américains ou des Russes, entrera en possession de données qui influeront sur l'issue du célèbre conflit susnommé.

Et si la phrase nominale dont j'use pour expliquer l'accroche de ce film paraît longue, c'est que le film lui-même est assez nébuleux quant à son sujet et la façon dont il le développe. L'enjeu de la partie d'échecs mise en avant est, en effet, passé sous silence, ou alors suggéré par quelques répliques inadéquates. La caractérisation des personnages tombe à plat, étant soit trop peu intégrée à la narration (l'alcoolisme incontournable du personnage principal, survolé alors qu'il ouvrait des portes intéressantes puisqu'il libère son génie) soit amenée tardivement pour des raisons scénaristiques (la famille naissante d'un personnage secondaire). Les autres sont plutôt reconnaissables par un trait physique ou de caractère particulier mais trop discret pour provoquer l'identification ou l'empathie chez le spectateur.

Bref, c'est froid et scolaire, et le film ne vaut que pour l'interprétation sympathique de ce chouette acteur qu'est Bill Pullman, et qui sera resté un interprète de second rang jusqu'au bout... Ce qui m'attriste d'ailleurs. Quelques belles images et une idée de base intéressante, couplées à sa belle prestation, ne suffisement malheureusement pas à faire de ce film une oeuvre à ne pas manquer. Fort dispensable, donc.

Au nom de la Terre

Un film sympa, même si pas exempt de défauts, sur les agriculteurs, via le prisme d'une famille.

Alors, je trouve que les relations père /fils sont le grand atout de ce film. Tant entre le perso de Canet et son paternel que lui-même avec son fils. Juste, fort et réaliste, il dépend bien les difficultés de dialogue et les non-dits avec la génération des papys paysans ou du moins d'une partie d'entre eux. Brillant de ce point de vue. Pas mal aussi le côté spirale infernale dans laquelle certains agriculteurs se fourvoient. Moins bon en ce qui concerne certains dialogues (le "jetlag" en 1979 ça existait pas trop, il me semble), ou le sujet pas trop creusé parfois (relations fournisseurs/clients absent ou quasiment). Malgré ça, ça se regarde bien. J'imagine que ça a dû faire causer avec les gens proches de ce milieu.

j'avais maté petit paysan avec interet, mais celui-ci ne m'inspire pas plus que ça.

Green Book - Peter Farrelly - 2019

Synopsis d'Allociné :
En 1962, alors que règne la ségrégation, Tony Lip, un videur italo-américain du Bronx, est engagé pour conduire et protéger le Dr Don Shirley, un pianiste noir de renommée mondiale, lors d’une tournée de concerts. Durant leur périple de Manhattan jusqu’au Sud profond, ils s’appuient sur le Green Book pour dénicher les établissements accueillant les personnes de couleur, où l’on ne refusera pas de servir Shirley et où il ne sera ni humilié ni maltraité.
Dans un pays où le mouvement des droits civiques commence à se faire entendre, les deux hommes vont être confrontés au pire de l’âme humaine, dont ils se guérissent grâce à leur générosité et leur humour. Ensemble, ils vont devoir dépasser leurs préjugés, oublier ce qu’ils considéraient comme des différences insurmontables, pour découvrir leur humanité commune. 

Ce film est grandiose, une histoire vraie sur la ségrégation. Autant par la véracité des faits qui font froid dans le dos. On a envie d'hurler à la place de Shirley tellement c'est nauséabond. C'est magnifiquement retranscrit.
Viggo Mortensen est aussi tout bonnement excellent avec une prestation de haute volée, son accent ne ressemblait pas à celui de d'habitude, il a dû bosser l'accent italien en anglais.

A voir absolument

putain on avaient commencé a le mater avec diabolette en sachant que c'était un bon film...un très bon film....Et puis on a du le stopper brusquement et du coup jamais repris......faut que je corrige ça.

Il est dans ma liste depuis sa sortie et je le fait jamais passer en priorité, pourtant Viggo quoi merde.