"Quelque part entre l'idée et l'action, tout est réel". Akercocke.
Ce que l'on croit le plus arrive le plus sûrement.
La femme est stigmatisée par la religion chrétienne car elle est rendue responsable de la chute de l'homme (entendez par là l'incarnation des âmes). Ici, il ne s'agit pas de la femme en tant que telle mais de son principe, la parèdre complémentaire de dieu: la Sophia, absente de notre monde mais désirant y revenir. Dieu tetragrammaton Sabaoth (le Dieu jaloux de l'Ancien testament) est une figure qui rend l'homme esclave au principe masculin destructeur. Ce Dieu mauvais ne pardonne pas, et son fils rebelle, l'archange Lucifer Etoile du Matin, montre la voie de la libération aux hommes, il réhabilite la femme en l'aidant à accepter sa sombre nature profonde. Ainsi paraît le vrai visage de Dieu qui est
Néant ! Ainsi est révélé à la femme l'horreur spirituelle que constitue l'incarnation et donc, la génération.
tout ceci étant à entdre sur l'échelledes principes. Nous avons les deux en chacun de nous, hommes ou femmes. mais ils s'équilibrent différemment suivant les propentions innées et actives de tous et toutes. Qui ne connaît des femmes très insensibles et des hommes féminisés (mais non homosexuel, cela n'a rien à voir ici) ?
De là, dans bien des civilisations paternalistes découlant directement des religions du Livre, la femme est honnie publiquement mais secrètement adorée. Ce qui est une aberration. Voyez la civilisation du croissant lunaire et du pentagramme, l'Islam !
L'idéal serait non pas de revenir aux temps anciens du matriarcat (où les femmes dominaient de leur toute-puissance lunaire. A ce sujet, lisez "Les mystères de la femme" d'Esther Harding, une disciple de C.G. Jung) mais d'enfin réaliser l'équilibre des deux sexes au sein des nations humaines, chose qui, semble-t-il, n'ait jamais été accomplie par une quelconque civilisation, à ma connaissance...
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DECOMPOSING YOUR HEALTHY PORTRAIT...
