


. Que Toulon soit un club formateur la question ne se pose pas. Seulement au moment où le choix pour un poste se pose entre un jeune du centre de formation et un recrutement c'est la deuxième solution qui est choisie bien souvent.
Alors le RCT lors de sa montée éclair d'il y a quelques saisons avait fait le choix d'une équipe bien toulounaise, ce qui a été un échec. Je comprends donc que pour accélérer la montée en puissance du club le président Boudjellal ait injecté un max d'euros pour faire venir des joueurs capables de remplir cette mission. Mais cette saison le club a atteint le plus haut niveau et alors que le club pourrait réorienter sa politique, la prochaine inter-saison sera riche en transferts.
Je te rappelle que le jeune Marienval a déclaré en début d'année, qu'il savait qu'il ferait pas sa carrière à Toulon au vue de la politique du club.
Cela me rappelle l'USAP des années Dagrenat. Le club et le centre de formation étaient en conflit latent, au point que Jean-Pierre Pérez (qui je le rappelle est aujourd'hui un cadre du l'USAP, régulièrement capitaine) était passé près de signer chez les Dragons Catalans (à
XIII donc

). Il a fallu un changement de présidence plus qu'animé pour qu'il y ait un changement de politique. Mais dans le même temps il ne faut pas cracher sur Dagrenat qui est l'artisan principal de la professionnalisation de l'USAP.
Avoir un centre de formation prolifique c'est un compte et l'utiliser un autre.
Après pour la finale des Reichels, l'USAP "triche" un peu. 5 ou 6 joueurs jouent déjà avec les Espoirs. Et des garçons comme Florian Cazenave ou Gilles Bosch (respectivement 9 et 10) ont déjà joué avec l'équipe pro.
The Secret of survival ? Not Dying !
Lemmy.