Je vient de manière totalement impromptue de parcourir la déferlante de commentaires qui réagissait sur la chronique que fabien avait consacré à cette merveille.
Et là je vois cette théorie, avancé par plusieurs, que le disque n'est pas (comme je l'avait toujours pensé) une réorientation foireuse, ou un désir d'aller de l'avant, d'ouvrir un nouveau champ d'expérimentation (déjà bien trop exploités mais bon...); mais bien un véritable pied de nez lancé au fan de la première heure, comme si il niait tout leur choix idéologique, leur parti pris occulte, tout quoi. Une démarche consciente et réflechi (voir même intellectualisé, ce qui est assez absurde) de faire volte-face et de nier l'intégralité de leur passé, en somme.
Je trouve ça bien pire, c'est limite inconcevable en faite. Et dire que j'ai trippé sur les titres du old
Morbid durant le concert avec
Nile et Kreator... (d'ailleurs leur attitude pour le coup est assez paradoxale...)