En ce moment La Huitième Fille de Pratchett (toujours aussi délirant) et L'Epée de la Providence de Andrzej Sapkowski, du bon fantastique avec du cul, du sang et une bonne dose d'humour noir, je m'en délecte, pour ceux qui connaissent c'est de cette oeuvre qu'on a tiré le magnifique RPG The Witcher.
Après quand j'aurais terminé ça je relirai Le Seigneur des Anneaux pour la 8em fois, je suis un dingue de Tolkien...

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@ Bob :
Punaise, que diable a t-on fait pour se récolter de tels mini-boulets ?
En plus la plupart du temps, ça s'inscrit, ça poste 1, 2 voire 3 messages, puis ça disparaît à jamais de la circulation.
LOL.

@ Krueg' et vastAire :
D'un point de vue historique et culturel, certes.
Pour ma part je l'entendais du point de vue moral...

C'est la vie...

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« Sans la musique, la vie serait une erreur. » (Friedrich Nietzsche)

On devrait écrire un bouquin sur les boulets ... un futur best-seller !

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Ce n'est pas la taille qui compte, mais la façon de s'en servir.

Et on reverserait la somme des ventes à une assoc' caritative s'occupant de ramener sur leur chemin les boulets dévoyés (pléonasme) .
De cette façon ils ne diront pas qu'envers eux l'on a été "trop injustes" .

(Non plus sérieusement, je m'occuperais de la partie Psychologie, suspendant le jugement au profit de la compréhension...)

"Destiny" première partie, d'Elizabeth Haydon.

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La balle cède devant le mot, parce que le mot s'élève dans l’harmonie des forces en présence et fait surgir une énergie que les puissances matérielles ne peuvent contenir…
José Rizal

L’oiseau des morts – André-Marcel Adamek – 1997

Dans L’oiseau des morts
André-Marcel Adamek nous livre un conte initiatique et philosophique
sublime sur la vie d’une corneille, qui d’ailleurs est la narratrice de
cette histoire. Elle nous raconte toute sa vie depuis son premier envol
jusqu’à sa mort, inéluctable, ses rencontres avec d’autres corneilles
mais aussi et surtout avec des humains. Une vie dans laquelle
finalement se reflète la nôtre. Si L’oiseau des morts est un
titre qui peut paraître morbide, il n’est est rien. Il se cache
derrière ce titre un récit plein de vie et de joie malgré les coups
durs endurés par la corneille. Le tout est porté par une magnifique
écriture pleine de puissance et de poésie pour un roman hors norme,
plein d’originalité. L’oiseau des morts a obtenu le Prix triennal du roman de la Communauté française en 1997.
Pas très alléchant maintenant que j'en sais un peu plus...

Merci à Shara17, oui c'est bien celuila, excusez -moi de l'avoir oublié.
Le description donnée ne represente pas bien l'âme du livre malheureusement
Mais c'est vrai que c'est pas un truc pour tout le monde.

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Noir comme la nuit est le sang qui coule à travers mes veines.
Le respect attire le respect!

Valerio Evangelisti - Cherudeck
Fracture temporelle dans une ville glauque entre l'époque actuelle, la guerre de cent ans et l'inquisition au moment de la réforme sous fond d'inquisition et de démonologie. Etrange et passionant
 
Sinon durant mes vacances:
D&L Eddings - la rédemption d'Althaus 2 tomes
Sempé et Gosciny - Le petit Nicolas
Kafkha - La métamorphose

"Ca m'intéresse" un super mag

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La franchise ne consiste pas à dire ce que l'on pense , mais à penser tout ce que l'on dit .