Dolores Claiborne
J'ai dévoré les 100 premières pages le premier jour...la narration est tournée de manière très originale et unique, à savoir que l'on ne lit que ce que dit et pense Dolores Claiborne, et jamais ses interlocuteurs (si quelqu'un parle, elle répond du genre "quoi ? oui évidemment que..." de manière à comprendre la question mais sans jamais que ce soit explicité).
Et c'est très sombre...un brin sadique...bref, ça s'annonce du grand
King (comparé au Cellulaire que j'ai lâché tellement il était chiant).
Welcome to the Desert of the Real