Le fils n'a pas la même écriture que le père, moi j'aime bien les deux mais le père est plus difficile d'accès, la différence est assez marquée lorsque le fils a repris à son compte l'écriture de nouveaux tomes de Dune.

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je n'ai pas de signature et je vous emmerde.

Perso, j'attaque l'omnibus des "Aventures d'Allan Quatermain" d'Henri Rider Haggard. C'est un beau pavé de 1000 pages de pulp narrant la découverte de l'Afrique mystérieuse à la fin du XIXème siècle...

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On ne touche pas aux lapins !

Carlo Ancelotti - Mes Secrets d'entraîneur

Carletto reprend la plume après son expérience au Real, on est donc en présence d'un écrit plus à jour. Le Mister nous expose ses méthodes en matière de préparation physique, de gestion psychologique, d'interaction avec le board dirigeant aussi, à travers ses expériences à Milan, Chelsea, Paris, Madrid... A quelques mois de prendre les rênes du Bayern, on comprend bien vite avec ce livre pourquoi l'homme est aussi courtisé par les plus grands clubs. Un des plus grands si ce n'est le plus grand, il maitrise tant de registres de jeu différents, et avec son flegme et sa classe naturelle, ça en aurait presque l'air facile.

Carlo revient aussi sur les 10 rencontres qui l'ont le plus marqué en tant qu'entraineur (les finales de 2005 et 2007 contre Liverpool par exemple), et en fait l'analyse tactique. Ça nous rappelle à tous que même avec 11 monstres, une préparation optimale et un tacticien aguerri sur le banc, on peut toujours perdre, il y a toujours un facteur chance / imprévu, chose qu'on a tendance à réduire à la portion congrue chez les observateurs actuels du football.

C'est bien écrit et ça se lit facilement. Je recommande à tous les amateurs de football, même ceux qui n'ont pas forcément une grande Culture tactique, en effet, Carlo décrit, explique et analyse les bases de chaque système de jeu avant d'aller plus en profondeur. Il faut voir cette partie comme un chapitre de vulgarisation tactique, facile d'accès, synthétique mais précise et exacte.

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Bon et bien voilà, c'est lu. Terminé hier soir dans la nuit. Je l'ai dévoré car c'est typiquement le genre de sujet qui me botte : en l'occurrence les big dumb objects, non pas que Janus soit stupide ou inutile, mais si complexe et si monumental dans sa structure qu'il dépasse l'entendement humain. J'ai particulièrement aimé toute la problématique liée à la relativité, à la vie dans le vaisseau, ainsi que les dimensions vertigineuses et totalement écrasantes des Structures décrites, mais également le rapport de forces entre deux psychologies, ce duel politique et moral à travers les décennies entre les deux personnages les plus forts du bouquin, ou l'on se surprend à détester l'un, puis l'autre.

Au niveau de la trame, c'est ce que je supposais. On est en plein dans une relecture moderne du Rama de Clarke. A ce titre là j'aurais apprécié un remerciement à l'encontre du vieux maitre aujourd'hui décédé, mais bon. Ici, le propos est plus moderne, les technologies aussi, et les rapports de taille plus imposants, pour ne pas dire inconcevables, mais la trame narrative reste la même. D'ailleurs, voici la 4ème de couv' du tome 1 de Rama :

Au 22ème siècle, un ancien système de détection, mis en place pour protéger la Terre contre les météorites, signale l’arrivée dans le système solaire d’un gigantesque corps céleste. Après un examen approfondi, l’objet se révèle être un immense cylindre artificiel tournant très rapidement autour de son Axe central. Puisqu’il est à présent évident que l’objet, baptisé Rama, traversera notre système extrêmement vite, une exploration minutieuse est à exclure. Mais pour ne pas manquer une occasion unique d’établir un premier contact avec les créateurs de la chose, il est décidé d’envoyer l’équipe d’astronautes la plus proche de la trajectoire.

Celle de Janus :
Nous somme dans un futur proche, en 2057. Lorsque soudain, Janus, une des lunes de Saturne quitte son orbite. Unique vaisseau aux alentours, le Rockhopper, propriété d'une compagnie minière (la Deepshaft) qui exploite la glace des comètes, est le Seul véhicule spatial capable de rattraper et d'intercepter la course du satellite avant que celui-ci ne quitte le système solaire....
En acceptant d'interrompre alors leur mission de "routine" pour effectuer une courte exploration de Janus, les quelques 150 membres de l'équipage du Rockhopper s'embarquent dans une aventure qui va mettre à l'épreuvre la cohésion du groupe et des relations entre les membres. La réalité est que Janus n'est pas une lune, mais bel et bien un Artefact extraterrestre....

Le final entre les deux univers est d'ailleurs relativement similaire, l'action en moins peut être chez Clarke, plus porté sur l'humanisme. En tout cas, si l'on aime l'un, on aime forcément l'autre.

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Je continue avec Reynolds avec le cycle des Inhibiteurs. Viens de finir le premier tome, un joli petit pavé de presque 900 pages. Très prenant, j'ai bien aimé et compte attaquer le 2 sous peu. Comme toutes les grosses sagas science-fictionnelles, il est toujours un peu ardu de plonger dans un nouvel univers décrit par des lois technologiques bien précises, et celui-ci n'échappe pas à la règle d'autant que l'auteur n'y va pas avec le dos de la cuillère question préceptes scientifiques. Cependant, question narration, c'est pas du K. Dick non plus, et l'histoire se suit sans difficultés. Assez passionnante d'ailleurs et je me demande si avec Hyperion on ne tient pas là deux des sources majeures pour la création du fabuleux scénar de la saga de jeux Mass Effect. En effet, les Inhibiteurs me rappellent fortement les Moissonneurs créés par Bioware.

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Je n'ai toujours pas fini Janus, il me faut 10 plombes pour lire un bouquin. Mais j'en suis à la fin, et les choses commencent sérieusement à bouger après un passage un peu mou/vide au milieu du livre.
Mais ça reste très captivant et comme toi, je pense que je continuerais avec Reynolds pour mes prochaines lectures une fois Janus terminé.

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Qui fait le malin, tombe dans le ravin

J'ai pas ressenti cette mollesse au milieu de Janus, mais faut dire que je l'ai dévoré en moins d'une semaine. Il m'arrive de passer ma soirée à lire au lieu de mâter un film, et puis j'ai deux heures de transport par jour, donc ça aide

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Oups, ça fait un moment que je suis pas passer par ici.


C'est exactement ça, le père a un style un peu lourd voire austère (selon moi bien sur) alors que le fils est plus facile d'accès. Du coup je n'ai jamais accroché à Dune. C'est dommage, l'univers me plaisait bien.

Ces derniers temps j'ai enchainé les lectures. Il y a du bon et du moins bon.

Pierre Bordage - La Fraternité du Panca, Tome 2: Sœur Ynolde
Bordage est un formidable conteur, il réussit à maintenir le suspens bien qu'on connaisse la fin (happy End de rigueur sinon pas de tome 3) et que le switch final soit cramé à des kilomètres.


Iain M. Banks - La Sonate Hydrogène
Contrairement à ce que je pensais, Banks avait écrit un dernier livre avant de mourir. Même si ce n'est pas forcément son meilleur, ça reste très plaisant à lire.


Robert Charles Wilson - Vortex
La suite de Spin et Axis. Peut-être le meilleur des trois. Il va beaucoup plus loin que d'habitude tout en gardant une approche très humaine des personnages. Tout sonne juste malgré l'étrangeté des situations.


Jean-Michel Truong - Le successeur de pierre
Dans le temps on aurait appeler ça de l'anticipation. J'aimais bien l'anticipation. Sauf que la c'est inutilement compliqué, il m'a fallu un bon moment avant de comprendre où il voulait en venir. Super bof.


Robert Reed - Le Grand Vaisseau
Avec celui-ci on atteint les sommets de la médiocrité. Pas envie de m'étendre sur le sujet. À éviter.

En ce moment je m'en fait un qui est pas mal mais j'en parlerais la prochaine fois.

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Branlette de manche: Expression utilisée par les sourds pour justifier le fait qu'ils ne comprennent rien à ce qu'ils écoutent.

• The Expanse Tome 1 , L'eveil de Leviathan

un magnifique premier tome pour ce space opera un saga qui sera en 9 tomes ( 5 en anglais ), et seulement que 2  tomes en France .beaucoup de rebondissement et l'intrigue est fascinant

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Relecture de mon cycle préféré :



Si quelqu'un connaît un truc qui déboîte à peu près autant en Dark Fantasy, qu'il n'hésite pas à m'en parler

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