Ah, la sempiternelle excuse du clavier !
T'es tombé dans le panneau...
Mais bon, il n'y a rien de sérieux là-dedans.
Il fallait simplement illustrer ladite notion !

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te n moques pas j'ai beaucoup de mal aujourd'hui. Après 944 km, 10 h de train sur deux jours c'est sympathique la vie de jeune prof
Arf, j'aurais aimé lire,parce que ce genre d'idée ne m'est pas familière, étant d'un grand scepticisme devant ces sciences de l'homme (psychanalyse, psychologie, ...) que je considère comme trompeuses. Ce n'est qu'un point de vue, et comme souvent il n'est pas arrêté et définitif. Si quelqu'un arrive à me montrer leur bienfondé 

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.

Soit !

Dis-moi en quoi tu es sceptique, et je pourrai peut-être t'éclairer...

@ Flint : tu vas faire subir une cure psychanalytique à mkhell6 ?

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« Sans la musique, la vie serait une erreur. » (Friedrich Nietzsche)

J'ai toujours cette vision négative de ces sciences sociales tout comme de la philosophie, qui prétendent nous expliquer pourquoi nous avançons d'une manière et non d'une autre. Qui explique le moindre des gestes. Se croire à l'intérieur même de la mécanique humaine ça me révolte je te dirais.
Tu trouves peut-être sans stupide et sans fondement mais c'est ce que je ressens. Mais c'est aussi contradictoire avec mon statut d'universitaire en histoire... nous sommes les premiers à vouloir expliquer les raisons, les comportements, .. mais comme dirait quelqu'un qui m'était cher, "je suis fait d'ambiguïté"

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.

@ BOB : mais non ! L'on discute, simplement !

@ Mkhell6 : tu n'as pas tout à fait tort.
Cependant, ces sciences là n'expliquent pas le moindre de nos gestes !
Un crétin de banlieue qui crame une voiture, par exemple, a une grande marge de liberté pour accomplir cet acte, et je dirais même qu'il revêt à ravir la critique de Sartre : il se sert de sa haine des flics pour se faire reconnaître dans la société qu'il exècre tant... Mais, qu'est-ce qui le force à faire ceci ? Rien, sauf lui-même. Cependant, sa mauvaise foi lui fait justifier son acte par la haine des méchants flics qui vérifient ses papiers à chaque coin de rue et ce, même s'il sait qu'au fond de lui il n'a rien à se reprocher...
Enfin... La réflexion est bien plus longue, mais ce soir j'ai la flemme.

nan j'ai pas besoin de psychanalyse pour le moment bada!
 
@ Flint, ravi de ne pas me tromper complètement. Et oui, ton exemple est aussi révélateur.
La psychiatrie comme unité curative ou en tant que science sociale? J'ai du mal à croire que l'on puisse comprendre vraiment les raisons d'une schizophrénie par exemple. Le cerveau n'est connu que très peu. Un jour peut-être, et j'espère que non, les scientifiques pourront comprendre tous les mécanismes de l'Homme.
La "folie" (j'aime pas ce mot) a parfois des raisons médicales, souvent des raisons sociales, et à quoi sert à la pychiatrie? Préserver des Hommes de leur folie? Soulager la société d'individus non désirés? De pouvoir expérimenter de nouvelles techniques sur le cerveau? En ce sens la psychiatrie peut me paraître effrayante.

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.

Je te rejoins assez concernant la psychiatrie.
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j'ai fait un mauvais raccourci en disan science sociale, en effet je la voyaisen tant que science qui s'occupe de maux qui pour beaucoup de l'environnement proche dnc de la société.
Tu n'es pas la seule à ne pouvoir organiser correctement tes idées ce soir. Mais tu m'as appris quelques info que je ne connaissais pas sur la psychatrie.
La bière aidant, et bien plus encore la fatigue, mon raisonnement sera de plus en plus difficile à mettre en ordre mais je trouve toujours intéressantes ces discutions qui sortent des sentiers battus de ces fora. 

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.

je ne te le fais pas dire...

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.