BEERGRINDER from the Sky... ah non, mais presque ^_^ !
Puis-je nous reconcilier avec : Farewell ou encore Tierra del Fuego ?
Désolé, mais etant sur une partie où on énonce ce qui nous déplait, je me dois de rajouter ce groupe. Je te rassure, je lui lance une corde pour revenir sur la Terre ferme

!
Parenthèse : Bizarrement, on ne critique pas ce que j'aime sur les autres topics...
BEERGRINDER & Fabkiss :
Mon opinion pour mettre tous le monde d'accord serait que les originaux detiennent les clés d'un pouvoir mystique. Néanmoins, une réadaptation au niveau lyrique, instrumentale peut faire ses preuves.
On peut prendre comme exemple, un élément vieillot, remanier, qui s'adaptera mieux à la conjoncture (actuelle).
Comme autre exemple... imaginez dans son style, du Iron Maiden reprit (si vous êtes fan).
C'est une affaire d'opinion (je m y fais, je m y fais...) !
Bonsoir
dark_omens, je ne me souviens pas vous avoir adressé la parole.
Soit... Deja que vous êtes là, autant en tirer profit.
Un monologue pour qu'il puisse exister, nécessite aucune intervention particulière. Malheureusement pour vous, sans vous rendre compte vous venez étaler votre savoir de l'orthographe, pour me donner une correction.
Ni voyez aucune incorrection, mais je préfère apprendre de l'état d'esprit des intervenants, des tournures de phrase et autres aides orthographique, qui ne cesse d'enrichir ce débat (pour ne pas reprendre fertile).
L'infertilité d'une intervention se retrouve dans l'insulte, comme autre exemple, dans les smileys "endormis" comme seul manière de s'exprimer.
Pour conclure votre intervention (<- et là j'attend de vous, cette fertilité) : l'argument émane d'une opinion, premierement, et que, dans un second temps il n'a de valeur que lorsqu'il est considéré. Faire l'impasse, n'est pas une preuve, mais un discours "d'une litanie vide".
Encore une fois, Merci, pour votre franc parlé.
CirithUngol : Je n'ai pas besoin de répondre, il suffit de te relire sans changer un mot, mis à part la derniere phrase.
J'ajouterai seulement : l'air, le dioxygène font vivre... la bêtise, elle, non !
Pour le second post, je ne comptais pas être vulgaire à ce point, à relire attentivement de préférence... histoire de m'eviter l'ennui de la vulgarité.
Une nouvelle fois, je me dois de vous remercier, de vous regrouper, tous ensemble, pour me distraire.
Je conclue cette fois avec cette idée qui me trotte en tête :
Admettre son erreur est un signe de progrès intellectuel, non de faiblesse. Nier l'erreur, c'est s'entêter à déchainer contre soi, le courroux de l'education, la douleur de l'apprentissage... sans en récolté son côté bénéfique, j'ai nommé : le savoir !
JeffDarkPoet a été averti pour ce message 