Jusq'à présent, aucune chronique ne m'a paru plus ardue qu'une autre, simplement parce que je les écrit souvent sur un coup de tête. D'ailleurs, la série de
Sigh n'avance pas, je ne peux écrire une chronique sans être totalement immergé dans un disque, et vu que certains disques de
Carcariass,
Yyrkoon et
Black Witchery ont enserré mes oreilles il ya peu, leurs chros passeront avant, lorsque j'urais bien assimilé lesdites galettes.
Toutefois, je reconnais avoir eu du mal avec la série des 4 Sepultura. Parce que ce sont des disques important historiquement et que je suis obligé d'intercaller ces explications au beau milieu de mon fouillis émotionnel et descriptif, quand on est un jeune metalhead qui n'a pas vécu cette époque c'est d'autant plus délicat. D'ailleurs je pense ne pas avoir rendu hommage à
Beneath the Remains,
Schizophrenia et Arise. Trois album gigantissimes sur lesquels j'ai plus mié sur l'impact historique que sur mon ressenti. De toute façon, je pense que je ne trouverais jamais les mots exact pour décrire un chef d'oeuvre comme Beneath. Ce disque m'a procuré tellement de plaisir que je m'étallerais de trop sur les éloges.
Les chros dont je suis le plus satisfait sont celles de
Tsjuder ( DHN ) parce que la mieux organisée,
Endstille ( Operation Wintersturm ) parce que j'ai réussi à entièrement y vider l'impact émotionel qu'il a eu sur ma personne ce qui est rare,
Sepultura ( Chaos A.D ) parce qu'elle forme une défense imparable pour le disque,
Dawn ( Slaughtersun ) parce que c'était ma toute première et celle de
Mayhem ( Deathcrush ) parce que c'était un gros délire assumé qui a abouti à quelque chose d'assez original, puis je me suis marré tout seul en l'écrivant. Je dirais aussi celle de Slipknot ( Iowa ) parce que j'ai réussi à enrager les fans au point d'avoir mon propre topic défouloir sur le site des fans francophones, puis les arguments sont béton désolé.
Il va falloir que je m'y remette pour de bon,
Yyrkoon est presque terminé en plus.
Mankind is Dead. Blood is Fuel. Hell is Full
) qui n'avait rien à redire de concret sur la chronique mais simplement sur le fait que c'était un album "de taré, culte et unique" 
) et une où je discute tranquillement avec mon cd qui me demande pourquoi je ne le fais pas tourner plus souvent sur la platine. 
