citation :celtic_frost dit :
citation :ArchEvil dit : Pour moi, tekken s'arrête au Tag ( pour moi, le meilleur de tous ). Il y a bien le 5 qui renouait avec le challenge des premiers, en rajoutant même une difficulté en plus mais finalement trop inspirée de Mortal Kombat ( Jinpachi ) |
Je suis également de cet avis. Le 4 a marqué la scission entre les anciens (et bon) Tekken et les nouveaux, d'ailleurs je ne garde presque aucun souvenir du 5 et du 6...je les ai achetés, je les ai (en partie) finit, puis revendu aussi sec. |
Le 5 est celui qui m'a le plus vite lassé. D'ailleurs le 6 est le
Seul que j'ai pas, je l'ai toujours pas acheté et je m'en porte pas plus mal.
Mais je pardonnerais à cette belle série ses faux-pas, car c'est un quasi sans-faute jusqu'au Tag (inclus), et que le plus fautif dans l'histoire c'est pas Namco qui a pondu des Tekken pas franchement dégueulasses malgré tout (je parle pour le 4 et le 5, pour le 6 je sais pas mais je crois m'en douter), mais l'évolution de la mentalité du joueur qui aujourd'hui cherche plus de facilité et un divertissement plus immédiat. Le plus bel exemple reste Call of Duty, la série qui a le plus de succès aujourd'hui je le rappelle et j'insiste, où j'ai l'impression que le joueur est plus spectateur qu'acteur.
Bon bref, sinon en ce moment je me replonge là-dedans :
A l'époque c'était un de mes jeux préférés de la PS2. Et ce malgré un énorme défaut que je lui trouvais (et que je lui trouve encore aujourd'hui, même davantage) : ses phases d'infiltration avec cette blondasse d'Octavien qui sont au pire foirées, au mieux ennuyeuses. Mais les phases avec Agrippa sont tellement réussies que je passais outre, et que je continue à passer outre.
Pourquoi est-ce que je persévère dans l'infiltration ? Pourquoi est-ce que je supporte les cris de pucelle d'Octavien qu'il pousse quand il se fait planter un glaive dans le cul ? Un peu pour l'avancement de l'intrigue qui est ma foi assez sympa, bien qu'elle soit assez convenue quelques fois et franchement plombée par des héros qui sont pas les héros les plus charismatiques de l'histoire des jeux vidéos (pour le coup c'est assez subjectif, je supporte pas Octavien et sa voix de merde, et le doublage d'Agrippa est pas le plus judicieux je trouve), mais surtout pour les combats de gladiateurs d'Agrippa.
Ça monte crescendo, non seulement dans la difficulté mais aussi dans l'intensité et la vicelardise. Et c'est purement jouissif. J'ai rarement pris autant mon pied dans un jeu d'action.
Voilà,
Shadow of
Rome pour moi, c'est l'illustration de l'amour / haine envers un jeu vidéo. Autant je le maudis de tout mon fiel quand je joue avec Octavien, autant je l'adule quand je joue avec Agrippa. Mais Agrippa l'emporte malgré tout, car de manière générale le côté infiltration est moins raté qu'est réussi le côté barbare.
Je me suis (encore) fait ça dernièrement aussi :
Il est excellent ce jeu, c'est un digne représentant de la
Master System. Le character et le level design ainsi que l'ambiance qui s'en dégage sont vraiment à tomber. Je me le refais régulièrement et je suis pas prêt d'arrêter.