ah ouai lucy....putain scarlett !!!!!! qu'est t'as branlé sur ce coup là........
Leon c'est comme tous les films de besson, y-a de bons cotés noyés dans un fracas de sentiments tout crémeux et avec une musique de bisounours. Gary oldman sauve le film a lui tout seul dans son rôle déjanté.
Après y-a un public pour ce genre de films......et faut l'avouer et très gros public.....la majorité aiment besson alors si on se fie au box office, c'est un bon besson........

La planète des singes. suprematie
bon j'pense qu'ils ont flingués la série...clairement déçu par la direction prise.
Alors oui oui, la musique, les Fx sont là ( a ce niveau c'est vraiment impressionnant) mais le smeagol en singe, et le coté apocalypse now de W.Harrelson j'ai trouvé à coté de la plaque. Il est pas crédible, on est loin de sa prestation dans natural born killer. Et ça me gonfle d'avoir ce sentiment de me faire trimbaler de films en films.
On en est au troisième opus de cette nouvelle version de la planète des singes et y-a trop de bambi et de parlotte la dedans. C'est mon point de vue mais j'aurais vu un traitement en deux films maximum, bien plus denses, qui auraient traité le sujet depuis la naissance de césar jusqu'au point ou les singes ont quasi érradiqués les hommes et vivent dans leurs cités comme on le découvre dans le tout premier film de 1968.
colonel.Kurtz dit :La planète des singes. suprematie bon j'pense qu'ils ont flingués la série...clairement déçu par la direction prise. Alors oui oui, la musique, les Fx sont là ( a ce niveau c'est vraiment impressionnant) mais le smeagol en singe, et le coté apocalypse now de W.Harrelson j'ai trouvé à coté de la plaque. Il est pas crédible, on est loin de sa prestation dans natural born killer. Et ça me gonfle d'avoir ce sentiment de me faire trimbaler de films en films.On en est au troisième opus de cette nouvelle version de la planète des singes et y-a trop de bambi et de parlotte la dedans. C'est mon point de vue mais j'aurais vu un traitement en deux films maximum, bien plus denses, qui auraient traité le sujet depuis la naissance de césar jusqu'au point ou les singes ont quasi érradiqués les hommes et vivent dans leurs cités comme on le découvre dans le tout premier film de 1968.
Ta dernière phrase est pleine de bon sens
Vu en salle hier. M'a bien plu. J'ai retrouvé les sensations du 2ème opus, même si le premier film reste mon préféré. Les persos de James Franco et John Lithgow m'ont manqué en fait, y compris dans le 2 d'ailleurs, où Jason Clarke manquait singulièrement de charisme. Mais j'ai trouvé ça bien foutu. Les persos simiens sont vraiment charismatiques et attachants, et même si ce troisième opus est un peu arythmique par moments, il y a une vraie progession dans ce chemin de croix pour la liberté. D'ailleurs, impossible de ne pas faire un parallèle biblique avec Moise guidant son peuple hors d'Egypte. Pour moi, ça clôt bien le chapitre "préquelle" de la saga. Reste à savoir s'ils vont s'arrêter là ou continuer et recommencer les films originaux à partir du moment où les astronautes se crashent sur Terre. Pourquoi pas. On n'oblige personne à voir ces films après tout, et je les trouve bien plus intelligents que les blockbusters Marvel.
Les références à Apocalypse Now ne m'ont pas dérangé, Woody assure bien, et son dialogue avec César est plein de tension. Alors oui, le p'tit singe rigolo est de trop, d'autant plus que les raisons de sa faculté à causer restent nébuleuses (ALZ 113 par ricochet lors de son contact avec les humains du zoo ? Non, parce que le "j'ai observé les humains", c'est un peu léger). Dommage, mais ça n'empêche pas le film d'avancer. Mention spéciale à la motion capture. Putain, c'est autre chose que cette merdasse de Warcraft.
Finalement, je suis ressorti du film un peu déprimé. Triste de quitter tous ces persos : Maurice, Rocket, et César bien sur. Andy Serkis est putain de doué.

Dunkirk (2017)
Bon, ça fait un bout de temps qu'il est sorti mais j'ai davantage été préoccupé par ma seconde sess' qu'autre chose. Donc voilà mon avis sur ce Nolan qui a l'air de diviser beaucoup.
Premièrement, il faut savoir que j'aime beaucoup le cinéma de Nolan. Je ne me touche pas dessus quand il s'agit de lui mais je mentirais en disant ne pas avoir adoré Le Prestige, Inception et Interstellar(mon préféré d'ailleurs). Les Batman étaient sympatoch' (vu les deux premiers) et Memento était quand même une sacrée prouesse. J'avoue cependant avoir du mal vis-à-vis des fans inconditionnels du monsieur qui te font du réal. le plus grand de toute l'histoire du cinoch'. De plus, rien ne m'énerve plus que la sur-intellectualisation de ces films et que depuis l'avénement de Nolan, beaucoup considèrent qu'un bon film est un film "compliqué" (très gros guillemets).
Du coup, je n'avais pas d'attente incroyable par rapport au film. Au final, j'ai adoré. Le monteur de ce film a dû s'arracher les cheveux et cette triple temporalité a fonctionné pour moi. Grosse tension tout le long du film, Nolan a eu l'intelligence de ne pas dépasser 1h50 de long-métrage. Certaines scènes m'ont mis mal à l'aise comme jamais avec un gros travail sur le son. Pour ne pas spoiler, il y a une scène où il ne faut pas être claustro. Je n'y allais pas avec une attente démesurée et j'ai été conquis. Le point de vue anglais est pertinent par rapport à la narration du film et ça fait plaisir de ne pas se taper 1000 effets spéciaux numériques dans la gueule. De plus, j'ai aimé que le traitement du sujet ne renvoie pas à Il faut Sauver le Soldat Ryan ou aux séries produites par SPielberg : Band of Brothers et Pacific. Je trouve qu'avec le thème de cet épisode, le traitement de l'histoire n'est pas anodin. La triple temporalité n'est pas juste là pour faire joli. Une semaine pour les soldats sur la plage = l'attente, le stresse, la morosité. Une journée pour les civils anglais = un moment exceptionnel où ceux-ci prennent totalement part au conflit en jouant un rôle majeur. Une heure pour les aviateurs = la tension, l'adrénaline, la vitesse. Il y a une logique à cette narration et c'est d'ailleurs ce que Nolan a toujours exploité dans ces films.
Cependant, je reviens sur la polémique de l'événement raconté: la mise au ban des soldats français. C'est avant tout un film du point de vue anglais. Le film n'oublie pas les Français, d'ailleurs c'est rapellé de manière régulière dans le film et ça ne donne pas le beau rôle aux Britishs. Loin de là même.
Quant au chipotage par rapport à l'aspect historique, c'est toujours quelque chose qui m'a fait beaucoup rigoler et qui souligne une sacrée hypocrisie. Dès qu'il s'agit d'un événement de la Deuxième Guerre mondiale, la moindre erreur à la con est signalée et sert d'arguments pour défoncer un film. C'est n'importe quoi. Un film est une fiction, pas un putain de documentaire (et encore, quand tu vois la gueule de certains documentaires, il y a de quoi pleurer). Perso, un de mes films préférés est Gladiator, ce film est un gros mindfuck historique (sérieux le retour à la République par le Sénat ?!) mais on s'en bat les couilles parce que le film est monstrueux. Pareil pour Braveheart que j'adore mais encule à sec n'importe quel historien médiéviste. Dans ces cas-là, tout le monde s'en fout mais par contre la Deuxième Guerre mondiale pas touche. 'Fin bref, je trouve ça risible. Autant un film comme 300 qui est démagogue et développe une idéologie puante, je ne peux pas saquer mais là on est dans un un tout autre niveau.
Enfin bref, j'en suis ressorti satisfait et je le conseille.
120 battements par minutes
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J'étais vraiment pas parti pour me flinguer le moral a regarder ça car je savais que ça n'allais pas être un film léger..........et pourtant me suis retrouvé devant. Donc.....
Ce film retrace, au travers d'une histoire d'amour entre deux garçons, dont l'un est malade du sida, les actions du collectif act-up, qui milita contre l'inertie du gouvernement pendant les "années sida".
Un film qui pousse a la réflection sur plusieurs niveaux.
Historiquement, le film denonce l'inertie du gouvernement et le cynisme des firmes pharmaceutiques face a l'épidémie du sida dans les années 80/90.Tant que ça ne touchait QUE les homos, drogués et les prostituées ça allait ( je suis cynique hein), mais quand éclata le scandale du sang contaminé et de pauvres hétéros commencèrent à morfler.... tout ça remonta soudainement aux yeux et aux oreilles du grand public et les choses commencèrent à bouger.
Ce film c'est aussi et surtout une histoire d'amour entre deux êtres que la maladie ne pourra pas séparer.
C'est aussi un film sur l'homosexualité et là ça peut être gênant. Vous vous souvenez des scènes de broutte minou dans la vie d'Adèle ??? et bien là c'est presque pareil mais entre garçon.....ça peut piquer parce que le real n'est pas avare de détails. C'est limite chiant quand on est pas orienté sexuellement par ça et on pourrait penser que c'est fait exprès.
Car passé le choc et la gène première, le film est si bien porté par les deux acteurs principaux et qu'il s'en dégage une telle sincérité qu'on en fini par passer cette gène et ne retenir que l'essentiel, les rapports humains, se dire que ça doit vraiment être un enfer que d'être obligé d'aimer avec cette épée de Damoclès au dessus de la tête....et qu'en définitive on vis et on aime peut être deux fois plus fort.
Le film n'épargne pas grand chose sur l'évolution de la maladie et l'issue fatale. Je l'aurais vu un poil plus court mais c'est peut être lié au fait qu'il dérange .
Avec les tabous et les apprioris de notre société ce ne sera pas facile de parler de ce film autour de soit mais il aura l'avantage de pousser à la reflection de manière plus personelle.
Burns dit :Dunkirk (2017)Bon, ça fait un bout de temps qu'il est sorti mais j'ai davantage été préoccupé par ma seconde sess' qu'autre chose. Donc voilà mon avis sur ce Nolan qui a l'air de diviser beaucoup.Premièrement, il faut savoir que j'aime beaucoup le cinéma de Nolan. Je ne me touche pas dessus quand il s'agit de lui mais je mentirais en disant ne pas avoir adoré Le Prestige, Inception et Interstellar(mon préféré d'ailleurs). Les Batman étaient sympatoch' (vu les deux premiers) et Memento était quand même une sacrée prouesse. J'avoue cependant avoir du mal vis-à-vis des fans inconditionnels du monsieur qui te font du réal. le plus grand de toute l'histoire du cinoch'. De plus, rien ne m'énerve plus que la sur-intellectualisation de ces films et que depuis l'avénement de Nolan, beaucoup considèrent qu'un bon film est un film "compliqué" (très gros guillemets). Du coup, je n'avais pas d'attente incroyable par rapport au film. Au final, j'ai adoré. Le monteur de ce film a dû s'arracher les cheveux et cette triple temporalité a fonctionné pour moi. Grosse tension tout le long du film, Nolan a eu l'intelligence de ne pas dépasser 1h50 de long-métrage. Certaines scènes m'ont mis mal à l'aise comme jamais avec un gros travail sur le son. Pour ne pas spoiler, il y a une scène où il ne faut pas être claustro. Je n'y allais pas avec une attente démesurée et j'ai été conquis. Le point de vue anglais est pertinent par rapport à la narration du film et ça fait plaisir de ne pas se taper 1000 effets spéciaux numériques dans la gueule. De plus, j'ai aimé que le traitement du sujet ne renvoie pas à Il faut Sauver le Soldat Ryan ou aux séries produites par SPielberg : Band of Brothers et Pacific. Je trouve qu'avec le thème de cet épisode, le traitement de l'histoire n'est pas anodin. La triple temporalité n'est pas juste là pour faire joli. Une semaine pour les soldats sur la plage = l'attente, le stresse, la morosité. Une journée pour les civils anglais = un moment exceptionnel où ceux-ci prennent totalement part au conflit en jouant un rôle majeur. Une heure pour les aviateurs = la tension, l'adrénaline, la vitesse. Il y a une logique à cette narration et c'est d'ailleurs ce que Nolan a toujours exploité dans ces films.Cependant, je reviens sur la polémique de l'événement raconté: la mise au ban des soldats français. C'est avant tout un film du point de vue anglais. Le film n'oublie pas les Français, d'ailleurs c'est rapellé de manière régulière dans le film et ça ne donne pas le beau rôle aux Britishs. Loin de là même.Quant au chipotage par rapport à l'aspect historique, c'est toujours quelque chose qui m'a fait beaucoup rigoler et qui souligne une sacrée hypocrisie. Dès qu'il s'agit d'un événement de la Deuxième Guerre mondiale, la moindre erreur à la con est signalée et sert d'arguments pour défoncer un film. C'est n'importe quoi. Un film est une fiction, pas un putain de documentaire (et encore, quand tu vois la gueule de certains documentaires, il y a de quoi pleurer). Perso, un de mes films préférés est Gladiator, ce film est un gros mindfuck historique (sérieux le retour à la République par le Sénat ?!) mais on s'en bat les couilles parce que le film est monstrueux. Pareil pour Braveheart que j'adore mais encule à sec n'importe quel historien médiéviste. Dans ces cas-là, tout le monde s'en fout mais par contre la Deuxième Guerre mondiale pas touche. 'Fin bref, je trouve ça risible. Autant un film comme 300 qui est démagogue et développe une idéologie puante, je ne peux pas saquer mais là on est dans un un tout autre niveau. Enfin bref, j'en suis ressorti satisfait et je le conseille.
Il y a décidément 2 camps pour ce films
. Personnelemet je l'ai trouvé totalement vide .... c'est une surenchère d'effets spéciaux ultras rapides qui nous fait nous distraire de la mort des soldats. Une musique lourdement dégueulasse qui ne s'arrête pas une seconde ... des personnages qui n'évoluent pas ou qui ne servent juste à rien. Un patriotisme américain toujours ultra présent alors qu'il n'y a pas un seul Américain (très fort).
Le film est en fait d'une prétention infinie... A force de porter son attention sur comment filmer, Nolan à oublier de ce poser la question de ce qu'il filmait. le film ne parle de rien, aucun personnage n'a d'histoire ou de personnalité ....Donc le spectateur que je suis ne s'attache à aucun personnage, et sans attachement point de tension, de peur ou de suspense... Du coup sans cela ce n'est plus qu'un compte à rebours d'une "putain" d'heure trente de vide...
On dirait que Nolan a voulu faire un film d'auteur, très bien. Sauf qu'entre les violons, le montage et le spectaculaire, il n'y arrive clairement pas !!!! 
Il y a décidément 2 camps pour ce films. Personnelemet je l'ai trouvé totalement vide .... c'est une surenchère d'effets spéciaux ultras rapides qui nous fait nous distraire de la mort des soldats. Une musique lourdement dégueulasse qui ne s'arrête pas une seconde ... des personnages qui n'évoluent pas ou qui ne servent juste à rien. Un patriotisme américain toujours ultra présent alors qu'il n'y a pas un seul Américain (très fort).Le film est en fait d'une prétention infinie... A force de porter son attention sur comment filmer, Nolan à oublier de ce poser la question de ce qu'il filmait. le film ne parle de rien, aucun personnage n'a d'histoire ou de personnalité ....Donc le spectateur que je suis ne s'attache à aucun personnage, et sans attachement point de tension, de peur ou de suspense... Du coup sans cela ce n'est plus qu'un compte à rebours d'une "putain" d'heure trente de vide...
On dirait que Nolan a voulu faire un film d'auteur, très bien. Sauf qu'entre les violons, le montage et le spectaculaire, il n'y arrive clairement pas !!!!![]()
Bon. Tu parles de "film d'auteur" mais comme on y fout tout et n'importe quoi, explique moi déjà ce que tu entends par là. C'est le genre de terminologie dont chacun a limite sa propre définition donc on n'est pas aidé. Le "patriotisme américain"... Là encore, quid ? Le film se concentre sur le point de vue anglais donc je pige de nouveau que dalle à ce que tu veux dire. Développe un peu.
Quant au fait que le film ne parle de rien, je pige pas cet argument. La volonté de ne pas offrir de background aux personnages est totalement souhaité et voulu par la thématique du film. On y suit des soldats anglais (très jeune pour la plupart) complétement paumés qui se sont retrouvés plongé en pleine guerre. Ils souffrent d'une angoisse permanente. La peur de la guerre, de la mort, de l'abandon et la peur de retourner au pays car ils ont le sentiment de n'avoir rien fait mis à part perdre la guerre et battre en retraite. L'objectif de ne pas individualiser les personnages est lié à la volonté de Nolan de nous immerger auprès d'eux. On ne sait rien d'eux mais on est avec eux. C'est là le propos du film. Je pense qu'instaurer un background n'aurait pas aider le film. Cet épisode historique est assez traumatisant pour ne pas forcément avoir le besoin de connaître l'histoire des soldats pour comprendre l'enfer dans lequel ils sont. On n'a pas besoin de ça. D'ailleurs on voit bien l'état des personnages de l'intrigue bloqués sur la plage. Ils sont totalement perdus, ils n'ont plus aucun point d'accroche, ils ne font qu'attendre. C'est pour cela que les dialogues sont minimalistes car ils sont rongés de l'intérieur, seule la survie compte. Je peux comprendre que ça n'ait pas fonctionné pour certain mais ça m'a imergé. On a tellement l'impression de vivre ça avec eux qu'on a pas besoin de les connaître pour paniquer dès l'approche d'un stuka allemand. C'est de mon point de vue la force du film. Quant à la musique, là encore c'est pour donner une tension permanente (qui de mon côté à fonctionner).
colonel.Kurtz dit :La planète des singes. suprematie
Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié ce dernier volet de la trilogie. Je l'ai trouvé bien meilleur que le deux. L'évolution de César est vraiment bien construite. On voit toujours dans son regard qu'il ne souhaite pas l'éradication de l'espèce humaine et qu'il sait qu'il y a du bon en eux. Pas dans tous certes mais son regard, lorsque la petite fille muette lui apporte du grain est poignante. J'avais peur qu'à l'arrivée du colonel on bascule dans la surenchère, le côté américain tout ça... Mais il n'en a rien était. Je me suis régalé. Je n'en attendais pas autant, une vraie satisfaction
.
Miskatonic dit :The Circle (de merde)Pourquoi je suis allé voir ce navet, je me le demande encore. Parce que j'aime bien Hermione peut-être bien, les univers dystopiques, Tom Hanks, et toutes les super critiques dithyrambiques qui promettent un film visionnaire sur l'affiche.... Pouah !Bon alors, on a Emma Watson qui intègre une grosse taule, genre Facebook/Apple/Google, qui se sent comme un poisson dans l'eau, alors que sa société prend petit à petit le contrôle de la Terre en transformant ses habitants en voyeurs lâches et débiles. Le gros problème du film selon moi est que jamais le personnage principal ne se remet en question ou ne doute véritablement de la moralité de son entreprise. Il y a bien un perso, le créateur de la société, qui l'aiguille un peu à un moment, mais très vite il disparait dans les limbes scénaristiques. Bah oui, vu qu'il ne sert plus à rien. Du coup, comme Hermione ne doute pas, et que finalement personne ne doute, exceptés ses parents dans le film, pauvres Bill Paxton et Glenne Headly dont ce sont les dernières apparitions à l'écran (RIP), rien se semble crédible dans cette bouse 2.0. Ça va beaucoup trop loin dans le délire, après pourtant une première demi heure assez prometteuse. Mal filmé, avec d'odieux raccourcis scénaristiques, des failles de la taille de l'Everest dans l'intrigue et des persos creux comme c'est pas permis. Ajoutons à cela des scènes ridicules (séquence de sexe des parents, course poursuite d'un type, une criminelle percée à jour) et une fin qui propose une solution pire que le symptôme, et The Circle devient un film totalement invraisemblable, un film inepte au discours puant, qui ose surfer sur la thématique de la très bonne série Black Mirror sans jamais en atteindre le niveau alarmiste ou dénonciateur.A fuir.
Bon ben voila
Dommage en effet y'avait de quoi faire autre chose, au vu d'une première partie plutôt encourageante.
Quelle fin décevante. Après, la dénonciation des habitudes des jeunes benêts (je vois un truc, je filme) est tellement juste que encore une fois, y'avait matiere a construire autour de tout ca. Hanks est pas mal quand même dans son rôle. Mais bon, ça manque de rebonds, et comme Manu, ben, on pige pas l'évolution du personnage jouée par Hermione (qui ne semble guère vieillir).
Vu 7 sisters
Pas mal meme si y'a des incohérences. On pense a Gattaca, un peu, et Noomi Rapace a du se regaler de jouer autant de personnages. Moins prenant que le film de Nichols mais de bons moments. On s'ennuie pas malgré encore la aussi une exploitation qui aurait pu etre meilleure. Quelques références a Soilent Green aussi. On pense dès le depart au traitement des juifs pendant la WW2 de manière sans doute trop appuyée et ca cabotine un peu avec quelques persos caricaturaux parmi les soeurs, mais aussi le chef des flics et le personnage de Close qui manquent d'épaisseur. Au final, ça se regarde sans non plus être absolument à voir. Mais bon, j'aime beaucoup les films d'anticipation, alors, j'ai tendance à être assez bon public. Je ne revèlerai pas de twist, mais les curieux peuvent regarder la bande annonce ci-dessous.
6/10