arf beau gadin ..merci de me reprendre   et oui christopher waltz en effet. Il se ressemblent tellement sur ce coup là que j'en oublie le casting.

Merci..vous me manquiez....

Sois le bienvenu Doc, il y a du café des cookies, fais comme chez toi.

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Words and music. My only tools. Communication.

c'est gentil.

me fais une compil voivod et je me Dis que SOM me manque..et SOM c'est vous.

Vu The Hateful Eight hier soir.

Bah j'ai bien aimé. Perso ça m'a un peu rappelé Death Proof, qui empruntait également au cinéma d'horreur (la musique en particulier).

Après je l'ai pas trouvé exceptionnel non plus. Un bon film (un bon Tarantino même), mais qui ne me marquera pas.

Dommage effectivement qu'on ne voit pas plus Madsen, et que Roth se soit transformé en Christoph Waltz.

Sinon j'ai trouvé très très bon le jeu de l'actrice qui joue la fille Domergue (me souviens plus de son nom).

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Le belge est lourd certes, mais il est franc. Alors que quand le franc est lourd, c'est qu'il est suisse.

L'intelligence c'est le Seul outil qui permette à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur.

Rohh arrête tu vas me rendre toute guimauve.
Hellcome Home Lapinou.

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tu m'avais laissé un mois...je suis revenu avant

bisous Annabelle.

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The Hateful Eight
 
Ouais on ce marre bien. Plus que dans les précédents ( de souvenirs).
 
La longueur hum non pas fait gaffe finalement. Je suis juste déçus de ne pas avoir vue plus de fusillade, après la jouissive de Django. J'ai trouvé les perso tous excellent, Seul Tatum fait tache, non pas que je ne l'aime pas, mais ce n'est pas un acteur pour le cinéma de Tarentino.
 

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Je l'ai trouvé excellent dans ce film Tatum, pourtant je ne l'apprécie pas tellement.

C'était pas mal, fort long et exigeant dans sa première partie mais quand on réfléchit aux premières scènes et à ce qui se trame une fois qu'on est dans la maison, ça fait sens.

Bon film, quoi.

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Carol de Todd Haynes (2015)


Beau petit film servi dans un écrin particulièrement soigneux, même "classieux". Avec une photographie rétro et quelques notes de piano saupoudrées de violons, Todd Haynes (le génial I'm Not There) nous livre sa romance.
Bien qu'on puisse craindre en premier lieu que la trop grande attention au détail plus un rythme lent fasse poindre l'ennui, il n'en est rien une fois le film bien lancé, il progresse alors avec une grande finesse et s'impose petit à petit par sa réalisation épurée et ses images léchées.
On ne va pas se le cacher, il repose beaucoup sur ces actrices. Et Cate peut nous retourner le cœur en une seule scène alors que l’ambiguïté de Rooney Mara en est le mystère principal, la partie floue qui accroche notre regard.

Pas une surprise ni une révolution, mais une bien belle oeuvre qui souhaite qu'on la suive malgré son apparente superficialité avant de nous offrir son émotion la plus Pure dans le creux de la main.