Autant, Rotting Christ n'a jamais été le groupe qui m'a le plus accrochée, autant cet album passe de mieux en mieux. Theogonia est un disque plutôt réussi, avec de bonnes compos qui ne restent pas en surface. C'est travaillé, et ça se ressent. A noté aussi, la touche "exotique" dans les mélodies et certains passages ( par exemple, Threnody... La onzième piste ) ou encore celle de leurs racines Grecques... Les riffs sont assez entraînants, même si ils ne sont pas des plus originaux... De bons blasts prêts à déchaîner les foules... Bref. Ce Theogonia est bien foutu, même si la voix est un peu trop linéaire à mon goût ... L'ambiance quant à elle, est réussie ... Originale et personnelle. Le tout est mélodique sans tomber dans le surplus.
Cinquième cercle Inscrit le : 06-08-2010
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Blut Aus Nord - Memoria Vetusta I : Fathers Of The Icy Age Intéressant, un mélange de black mélodique et atmosphérique assez bien foutu. Il y a un côté très contemplatif et une légère touche mélancolique. Agréable.
Acherontas - Theosis Jouissif ! Un black plus dans une veine "mélodique burné" alternant intelligemment passages à bloc avec passages mid-tempo. Ce disque mérite l'attention.
Un disque très marquant pour ma part, qui me retourne les trippes à chaque écoute. Une vélocité et un côté pachydermique dément, des riffs assassins, une voix écorchée et rageuse, des rythmique à la fois martiales et ultra rapides. Une odeur de mort et de haine plane sur cet album, qui possède un côté visuel dans le sens où l'on a aucun mal à imaginer d’innombrables scènes de guerres durant son écoute. C'est surement l'album le plus violent d'Endstille avec le premier, mais aussi le meilleur selon moi, le plus Intense en tout point, qui me file des frissons titres après titres (Dominanz, Monotonus III ou encore Crucified me font toujours l'effet d'un obus dans la gueule), et d'une homogénéité imparable. C'est un album comme ça qui fait d'Endstille une légende, même si malheureusement le départ d'Iblis (au passage vocaliste hors pair) sonna le GLAS du combo allemand.
L'album avec lequel j'ai découvert le BM. Incroyablement glauque, le chant de Varg sur Det Som En GangVAR prend à la gorge pendant 14 minutes inoubliables qui me font toujours le même effet que lors de la première écoute... Pour l'instant, c'est peut-être mon favori du genre.
L'album avec lequel j'ai découvert le BM. Incroyablement glauque, le chant de Varg sur Det Som Engang VAR prend à la gorge pendant 14 minutes inoubliables qui me font toujours le même effet que lors de la première écoute... Pour l'instant, c'est peut-être mon favori du genre.
Ca fait plaisir de voir des gens qui apprécie autant cet album. C'est depuis toujours mon favoris de Burzum, le plus sombre mais aussi le plus spontané je trouve. Un album froid, qui n'est que reflet d'ombres et atmosphères hypnotiques et glauques au possible. Dans le style c'est pour moi une vrai référence.
Aaaaargh cette haine crachée en pleine gueule, ces riffs froids et si poignants, à la fois simples en apparence mais si efficaces. Et cette aura de Destruction et de souffre, d'obus et de Panzer, de cadavres et de mort omniprésente, cette batterie qui martèle le crâne ! Et cette voix qui ponctue le tout et le hisse à un niveau de lourdeur et de violence tétanisant. La Prod est plus claire que l'album précédent, ce qui a son avantage, rendant l'album un cran moins crasseux mais plus puissant. Chaque titre vaut son pesant d'or, que ce soit en particulier Navigator (morceau d'une rare intensité et bourré de colère), Bastard ou encore Nameless ... Je voue un vrai culte aux cinq premiers albums de ce groupe, d'ailleurs il me tarde de me procurer le premier. Rien qu'un titre comme Mute Their Ways (celui avec lequel j'ai découvert le groupe qui plus est) vaut la peine de se pencher dessus.
Première écoute. En tout cas pour le moment ça passe plutôt bien, j'accroche assez aux riffs et aux ambiances, même si la voix parfois ne me plait pas spécialement. Ca devrait sans doute passer au bout de plusieurs écoutes. En tout cas ces mélodies à la guitare et cette brutalité impalpable me plaisent assez.
Mes sentiments sont aussi vitaux que de respirer
Privée d'amour et de tristesse,je ne peux exister
Car le souffle de la vie n'est qu'une horloge
Qui égraine les heures sans éprouver d'éloge