Bon on n'est pas d'accord mais c'est pas si grave et au moins ca change des topics ininteressants... J
e comprends que tu veuilles faire de
Terrorizer une passerrelle entre les anglophones des deux cotes de l'ocean. Ce que je n'admets pas c'est que tu veuilles faire de ce groupe et de quelques autres que tu cites a leurs cotes, les detenteurs du Deathgrind.
Tout simplement parce que personne
a cette epoque ne parlait de Deathgrind.
Terrorizer ou Defecation etaient labellises Grindcore et je ne vois pas pourquoi 15 ans plus tard ce devrait etre different. Je peux ressortir mes fanzines et les relire de long en large, mais je ne pense pas me tromper.
Quant au grindcore, c'est un peu reducteur de ne l'associer qu'aux groupes revendicateurs pour faciliter sa paternite au hardcore.
Carcass n'est pas la seule exception et des groupes comme
Macabre ou
Impetigo, parmi les premiers qui me viennent a l'esprit, sont aussi des groupes de grind(core). Chaque groupe de grindcore n'est pas forcement affilie a ENT, Assuck ou Agathocles.
Personne et certainement pas moi, n'ira en revanche contester ce que tu avances sur Harris qui doit bien rigoler de nos debats vu la tournure actuelle de sa musique). Quant a
Repulsion, la encore, mon point de vue diverge. Pourquoi un groupe considere il ya 15 ans comme un des tous premiers trucs grind us doit se voir labelliser aujourd'hui
Death Metal ? Parce que les morceaux sont differents de Scum ?
Je vois plutot pour ma part des groupes comme
Cephalic Carnage incarnes ce mouvement deathgrind, ils melent a leur musique les deux influences grindcore et
Death Metal mais pourtant musicalement c'est tres eloigne des bases
Hardcore et on a vu plus revendicateur.
Bref. A priori on est pas d'accord sur l'importance du
Hardcore dans tout ca et sur des questions de dates. Je te rejoins sur le deathcore qui emprunte au
Hardcore melodique mais j'ai beaucoup plus de mal avec ta vision du deathgrind et surtout la vision des genres que tu as de cette glorieuse epoque qui, il me semble, reecrit un peu ce qui etait pourtant, au moins pour moi, une evidence.