Tool - lateralus (2001)

Ne Obliviscaris - Citadel - 2014

Une tuerie cet album. Omniprésence des violons, des musiciens au niveau technique exceptionnel, des compositions qui basculent de la légèreté à la noirceure absolue. Vraiment monumental.

Redemption - Long Night's Journey into Day (2018)

Première écoute et ce nouveau cru de Redemption, tient toutes ses promesses à savoir: des titres hypers chiadés, alambiqués, plutôt techniques ou les guitares sont très présente, (mention spéciale pour Nick Van Dyk, Chris Poland et Simone Mularoni).  Sans oublié des claviers classieux, un peu en retrait et le chant puissant et expressif du petit nouveau, l'innégalableTom S Englund (Evergrey). 

Opeth - Blackwater Park - 2001

Ca fait 5-6 fois que je l'écoute et il prend vraiment de la consistance à mes oreilles au fur à mesure. Les passages accoustiques sont excellents et les parties Death sont du même niveau. Une alternance chant clair/growl au top. Je suis conquis .

=XGV= dit : Opeth - Ghost Reveries (2005)Opeth, un groupe magnifique, que je n'écoute sans doute pas assez. Un tel mélange de brutalité et de sensibilité si bien mélangé, c'est tout bonnement parfait.  

Ecouté hier pour ma part. J'avais oublié à quel point Isolation Years est excellente

Ayreon - Into the Electric Castle (1998)

Toujours aussi bon. J'écoute pas souvent du Ayreon, surtout qu'il s'agit d'un "groupe" particulièrement exigent pour l'auditeur. Mais à chaque fois, c'est avec plaisir. Bon, concernant cet album, je ne connais que très vaguement le concept, mais la musique, très prog, et très rock, se suffit largement à elle-même. Difficile de nier qu'il s'agit d'un classique du Rock/Metal Prog.

Dream Theater - Awake (1994)

Un classique trop souvent oublié au profit des mastodontes Images and Words et Metropolis Pt.II. Le dernier album avec Moore aux claviers, que je trouve tout de même assez singulier dans la discographie de Dream Theater. Un peu plus pop que Images and Words, loin du prog frappadingue voire démonstratif de Metropolis, on a droit ici à des compos avec des refrains qui restent en tête (Caught in a Web, Lifting Shadows of a Dream), un instrumental magistral (Erotomania), avec un Portnoy qui survole les compos sans trop en faire comme ce qui a pu lui être reproché ensuite (cette intro de 6:00). Et le final magistral Space-Dye Vest composé par (ou pour ? je ne sais plus...) Moore comme un adieu au groupe. Grandiose, je dirais que je le place même au dessus de Images and Words, derrière Metropolis.

Space Dye Vest a été composée par Moore. Il s'agit d'une romance impossible assez explicite tirée d'une expérience réelle de Moore ou d'un autre membre du groupe si je me souviens bien. Un coup de foudre pour une femme qui n'a été vue qu'en photo. 

Marillion - misplaced childhood

holocaust_in_my_head dit : Marillion - misplaced childhood

Un superbe album, surement le meilleur avec Fish au chant, mais aussi du genre Rock Progressif.