
Ça Chapitre 2 2019
Techniquement le film envois pas mal. La réal est très bonne, j'ai noté d'excellente idées de transition. Certaines mise en scène ont un vrai cachet visuel. L'éclairage, la photographie très bien aussi. Les acteurs sont tous top, certains bien sur sortent vraiment du lot. Le film est long, 2H50 quand même, c'est rare pour un film d'épouvante, mais je ne me suis pas ennuyé. J'ai adoré l'ambiance, les clins d’œil etc...
Par contre pour ce que je n'ai pas aimé, c'est la cohérence et l'intérêt de certaines scènes et personnages. Et si certaines apparition de "Ça" sont stylé, la majorité du temps elles tombent à plat et c'est franchement dommage. Et j'ai l'impression que le meilleur était en plus sur le début. Les protagonistes ont aussi l'aire d'être dans une bulle, ils sont en pleines villes mais je n'ai noté que 2 interactions avec des habitants, les autres sont trop minime.
Et j'ai trouvé qu'il y avait trop d'effet spéciaux, dans le premier chapitre ça allait, mais la ça va trop loin, l'effroi en pâti.
Bon par contre je suis curieux de voir ce que vas nous proposer Andrés Muschietti, réalisateur du premier volet et avant de Mama que j'aime bien. Il montre une bonne maîtrise.
Friday the 13th A New Beginning (1985)

Clairement, c'est le moins bon des 5 premiers pour moi. Déjà au niveau FX, passer après Tom Savini, c'est hyper dur et ça se voit ici dans les scènes de meurtre. Bien souvent menées hors champ et pas franchement spectaculaires lorsque le résultat est porté à l'écran.
Comme d'hab' (mais on s'en fout), le film se résume à une succession de tuerie sur fond de scénario tenant sur la tranche d'un timbre poste, sauf qu'ici le titre fait mention de renouveau, d'un recommencement. Qu'en est-il exactement ?
Bah, l'assassin n'étant pas vraiment le même mais un père fou de chagrin et de vengeance, on voit un pseudo-Jason déterminé comme de coutume dans tout ce qu'il fait, doté d'une force surnaturelle et qui retrouve un côté gauche des premiers longs métrages (spa l'vrai qu'on a dit !).
La scène de fin porte à sourire, avec le gamin réchappé du IV devenu ado qui se prend pour Jason. Epais comme une saucisse de Strasbourg, l'a intérêt à pratiquer la muscu un bon moment s'il veut espérer l'égaler.
La suite peut être ce soir avec Friday the 13th Part VI Jason Lives.

Candyman 1992
J'ai l'impression de ne pas avoir toute les réponses. Je n'ai pas compris comment fonctionnais Candyman ni d'ou il venait et quel était son but.
Tout est vraiment limpide à ce niveau là. Rien de tortueux. Un flashback raconte la torture qu'on lui a infligé et ses raisons. Il chope la haine et revient se venger à travers les années sur le même lieu. Ni plus ni moins. Chaque croque mitaine ayant sa légende et sa mythologie, celle de Candyman, c'est d'éviter de faire le con devant le miroir. Il est génial ce film et te montre les cités comme on les voyait rarement à l'époque. Visuellement, c'est glauquissime.
Ah oui, très bon Candyman ! J'en reviens toujours pas qu'à l'époque il ait été accusé par certains de racisme, c'est vraiment rien comprendre au propos du film.
Je pige pas ce qu'il attend du personnage principal. Si il tue les gens quand on l'appel, pourquoi pas elle alors qu'il lui rend visite pas mal de fois? Et certaines scènes sont flou, réel pas réel, elle la fait ou pas? S'il est dans sa tête, ce serais bizarre qu'elle ce débarrasse de lui comme elle le fait de façon physique. Pourquoi elle le trouve endormis aussi? Et aussi la toute fin avec elle. Bref plein de questions de ce genre, il faudra que je le revois, parce que y'a un truc qui a du m'échapper 
EDIT: 19h

The Void 2016
Il y a des jours avec et des jours sans, ce jours est clairement un jour sans.
J'aime le scénario obscure, j'aime la plastique du film, c'était super cool.
Snake_Pliskin dit : Joker Un film qui va justement à contre sens du Cinéma actuel, mais bien trop rare, un trèfle à quatre feuille dans un champ.
En quoi ce film est il a contre courant? C'est une origin story comme on en voit 1000 dans le genre super héros avec des morceaux de taxi driver en moins bien.
Je m'attendais à un Fight Club avec un perso qui pète les plombs et fout le dawa dans toute la ville. À la place, il y a une victime née qui fait son caca nerveux à la Tv comme une Loana maquillée à la truelle hydraulique. C'est chaud comme c'est nul. Heureusement que c'est Joaquin qui tient le rôle, ça permet d'éviter de mourir assommé comme par une lourde sodomie qui se change en tragique sortie de route .

976-Evil 1988
Un jeune battu et humilié à longueur de temps trouve le numéro du diable, il ce verra doté d'une nouvelle puissance pour ce venger. J'aime bien l'idée, mais le film met un peu de temps à démarrer en présentant certains personnages trop longuement d'autres pas assez malgré leur utilité final. La réal et les effets spéciaux sont d'époque, donc très cool. Et tout le surnaturel du film n'a l'aire de déranger personne, un film un peu bancal donc et c'est dommage.
Arioch91 dit :![]()
Clairement parmi mes préférés de la saga, ces deux-là. Surtout le Part 3 (très joli casting féminin), l'embrouille improbable avec les motards, le rigolo/relou de service qui attire tout de même une certaine sympathie, la première apparition du masque, des meurtres stylés, une ambiance révolue vraiment cool et presque feelgood (le générique en mode disco/funk)... Ouais, franchement, je pense que c'est mon préféré. Derrière, je mettrai cette suite directe qu'est "The Final Chapter" (sincèrement, si on vous dit qu'il existe un film de 1984 dans lequel Corey Feldman défouraille du croque-mitaine, osez me dire que le produit ne vous est pas déjà à 50% vendu).
Allez, pour compléter le podium, j'incluerai l'épisode 8 : "Jason Takes Manhattan". Oui, il a mauvaise réputation, mais moi je l'adore.
Roots77 dit : Surtout le Part 3 (très joli casting féminin),
Ah ça...
C'est pas faux ^^
Allez zou, hier soir j'ai poursuivi avec :
Friday the 13th VI Jason Lives (1986)

Sorti pile entre les deux Return of the Living Dead de Dan'O Bannon, ce Jason VI ne fait pas qu'en emprunter l'acteur principal Thom Mattews. En effet, c'est le premier Jason à clairement mettre les pieds dans un mélange gore/humour qui personnellement ne me convient pas. Il suffit de voir l'affrontement entre Jason revenu de sa tombe avec les fous du Paintball en début de film pour s'en apercevoir.
Or, à mon sens Jason Voohees n'est pas là pour rigoler mais trop tard, le ton du film a été donné alors je l'ai regardé plus en bingeant qu'autre chose.
Dès le départ, les films d'O'Bannon affichent clairement une volonté d'associer macabre et humour. Ce 6ème Jason a voulu surfer sur la vague. Mauvais choix.
Ce soir je tenterai peut être le chapitre 7, The New Blood.