Le Grand Cinéma >> Films Horreur, Fantastique, Sci-fiction VOLUME 16
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Jeudi 27 Fevrier 2020 - 13:20:28

Coeur de Dragon Vengeance 2020

Bon la par contre c'était de la merde. Aucun rapport avec les thèmes de la saga. La c'est un beau jeune paysan qui voit ce faire tuer sa famille pendant qu'il dormais à 100 mètres dans l'herbe, il fonce voir ce qui ce passe et surprend les méchants ce dirent ou ils vont aller ce cacher quelque jours. Le paysan va aller en ville chercher une fine lame, il va croiser une paysanne  qui lui fait oublier sa quête de vengeance 2 minutes. Ensuite il rencontre sa fine lame, un blagueur bastonneur. En enchaine les conneries, même niveau baston, on dirait la série Power Rangers. Et pour avoir croiser une fois son visage tout le casting va dire au jeune paysan d'aller baiser la jeune paysan, même le dragon euh pardon la Dragonne, on est en 2020, féministe tout ça tout ça. Mais c'est raté, on est dans le cliché, la Dragonne fait des cours de drague au paysan, oui nous on aime tout ce qui est beau gnagnagna, puis le feu c'est viril alors elle, elle fait de la glace et histoire de changer aussi, les femelles ce transforme non pas en rocher ou eau (me souviens pas de ça) mais en différent animaux, mais c'est naze parce que elle, elle est fatigué après sa transformation et est incapable de faire de la glace.

Bref c'est nul, mais quand même je pensais que ce type de nullité arriverais dès le 3ème.

Ptain on a quand même des blagues bien pourris, un méchant qui chope le héros par la ceinture, le fait tournoyer, la ceinture pète, le méchant tombe et meurt. La dragonne ce transforme en souris dans un chateau, une paysanne la voit crie de terreur et essaye de la buter, merde t'es au moyen age et ta peur de souris? XD le héros qui arrive à ce libéré d'un garde royal en crachant un raisin à son visage.

Enfin bref Crotte de Dragon, même si les autres je sais était déjà pas top.



Jeudi 27 Fevrier 2020 - 22:40:20
Miskatonic dit :
krakoukass56 dit :

Donc pour toi, si on va coloniser ailleurs, on refait la même planète, cela te semble normal ? Pour moi c'est d'une débilité sans nom (et je ne vote pas écolo pourtant).
 Et bien, comme je l'ai dis, le sujet du film n'est pas là. On ne les a pas vu coloniser une autre planète, mais juste en explorer. Ce que tu vois sur la station près du vortex n'est d'ailleurs pas nécessairement ce qu'il va se passer sur le monde que le personnage de Brand va ensemencer (elle a les embryons il me semble), mais admettons, je ne vois pas ce qui te gêne dans cette station. C'est quoi ton délire avec les quartiers résidentiels, la chambre d'hosto, les gosses qui jouent, le base ball ? Je te suis pas. Il faudrait que les humains cessent d'être des humains parce qu'ils vivent dans une station et plus sur la Terre ? Interstellar est une production américaine, c'est donc naturel que le film soit empreint de leur culture à laquelle tu sembles bien allergique. En fait tout ton argumentaire semble fondé sur un profond sentiment anti US. C'est ça qui m'a totalement surpris venant de toi, ça et puis quelques détails qui ne font pas avancer l'histoire et sur lesquels tu te focalises.Maintenant, à propos de m'avoir pris ou non pour un con, je parlais de manière générale. Je ne me sentais pas plus visé qu'un autre, mais ton argumentaire me semblant largement à côté de la plaque, je n'allais pas me priver de te le faire remarquer.Pour finir, je ne crois pas qu'aimer ou adorer Interstellar, c'est être un bon client. Le film peut se montrer plutôt ardu quand il joue avec la relativité, et le style réaliste et parfois intimiste (à la manière d'un Villeneuve je trouve) est justement l'antithèse des gros films hollywoodiens façon Bay. Malgré ça, ce fut un succès, tant critique que public, et ça arrive moins souvent qu'on pourrait le croire. Le film a fait date et s'inscrit dore et déjà comme un classique de la SF. 8.6 sur imdb, 74% en metascore (en gros, les critiques ricaines) et 3.8 sur Allociné (presse) et 4.5 (spectateur). Ok, ce ne sont que des chiffres, mais si on veut les faire parler, ça raconte quoi ? Tout simplement que la majorité des spectateurs ayant vu Interstellar ont beaucoup aimé, tant les critiques qui ne sont pourtant pas toujours tendres et un peu trop tourné vers l'intellectualisation, que le public. Alors, on est tous bon client, c'est ça ? 

 

Heiiin ??? "le style réaliste" ??? 

Bah alors attends, déjà je rebondis sur le "bon client", car y'a méprise.
Je ne crois pas que tu sois "un" bon client de blockbusters. Déjà, j'vois quand même à peu près tes goûts (encore que, moi j'ai dit niet au dernier Star Wars, les 2 précédents ayant fini de m'achever  ), ou disons de ciné de "grande consommation". Nan parce que, perçu comme ça, ça fait genre "ah ouais toi t'es un bon client", genre carrément pédant et ça n'est pas du tout ça que j'ai voulu dire.
En revanche je pense que tu es certainement bon client pour un film comme Interstellar. Il me semble bien que tu as une pitchoune (non ? ), donc si je ne m'abuse tu rentres dans le coeur de cible du film. Donc d'ores et déjà, nous ne pouvons avoir la même approche du film, c'est fatal.

Mais alors, là où tu ne comprends pas mon approche "cynique", ben moi je ne comprends pas qu'on puisse avoir une approche disons "naïve" de ce film.
C'est rempli d'aberrations ! Mais où il est le style réaliste ?!
Le mec n'est plus spationaute depuis 20 piges (c'est bien ça ? Je ne sais plus à vrai dire), et hop sans aucun training il y retourne comme ça, hop là comme n'importe qui !
Vers le début du film, le bureau (où ils sont accueillis) est attenant à la salle des machines / rampe de lancement, mais oui bien sûr, y'a aucun risque d'accident ! 
Vers la fin du film, le mec qui pilote son vaisseau, plein d'empathie il lui dit un truc du genre "allez vas-y ma cocotte" comme on parlerait à sa titine, magnifique aussi ! (D'ailleurs je n'ai pas aimé non plus l'espèce de fausse empathie à l'égard des 2 aliens dans Premier Contact, mais c'est une autre histoire).
Vers la fin du film, la Chastain en mode "EUREKA !!!" qui balance toutes ses feuilles de papier dans la salle de contrôle là, comme ça tous les scientifiques autour / en-dessous se les prennent sur la gueule hahahahaha, et vont les ramasser à sa place aussi peut-être hahaha ! mais c'est d'une connerie sans nom !!! 
Ah puis tout le monde se parle en chuchotant là-dedans, comme dans la vraie vie, HEIN ? COMMENT ? 

On est des spectateurs hein, nous ne sommes pas là pour mesurer les angles de fuselage des engins (pour reprendre une vieille discussion ici), mais le réalisme alors ça non, il n'existe absolument pas dans ce Interstellar.
Et encore, je l'ai vu quand il est passé sur la 2, ça fait déjà un moment, je ne me rappelle pas de tout, sinon je ne me priverais pas de le dézinguer encore un peu plus !


Par rapport au "profond sentiment anti US", hum non, pas exactement. C'est pas tant le côté "all american" que je déplore, mais plus simplement le côté prosélythe / propagandiste.
Pour ça aussi que ça m'est impossible de prendre ce film "naîvement' pour reprendre ce que je disais plus haut. Y'a des double-sens, des trucs pernicieux, c'est pas toujours ostentatoire, ce film pour moi il te prend en traître. A la limite, les films propagandistes que l'homme a pu faire en temps de guerre, au moins ça annonce clairement la couleur, mas pas là (tu as vu comme j'évite soigneusement le point Godwin hein héhé !). Là, on t'endort à grands coups de guimauve, la longue scène de calin avec la fifille au début du film, ou encore l'interminable scène de chialade de Makonowy, mais quel intérêt de montrer si longtemps quelqu'un pleurer si ce n'est pour nous attendrir ? Quel intérêt de montrer si longuement une scène de calin entre un père et sa fille ? Aucune finesse, aucune pudeur ! Putain, quand on a un moment intime avec quelqu'un, son conjoint, son enfant ou autre, mais ça n'appartient qu'à nous bordel, pourquoi est-ce qu'il faudrait étaler vulgairement ça ?

(bon ça y est j'suis parti là haha  )

Et je ne dis pas ça pour me la jouer badass (que je ne suis pas), ces dernières années j'ai pu voir des films géniaux avec de très belles histoires d'amour (bon, plutôt des romances homme / femme que des relations filiales il est vrai), mais je pense à Julie en Juillet, El Secreto de sus Ojos, même pourquoi pas In the Mood for Love, moi une belle histoire d'amour j'adore ça, mais quand c'est fait dans la finesse, la retenue, comme dans la vraie vie quoi, et pas dans la mièvrerie comme là ! (même le film qui passe en ce moment-même sur la 3 est très bien aussi, une très belle histoire d'amour bien plus finaude qu'il n'y paraît)
Regarde, même le dernier Tarantino, pour une fois il joue la carte de la tendresse, et c'est génial bordel !

 

Putain merde, tu vois là on est rendu dans les détails, alors qu'initialement je ne voulais pas en parler ! 


Pour les "quartiers résidentiels, la chambre d'hosto, les gosses qui jouent, le base ball" : mais bordel, déjà, comme dit plus haut, on va donc aller s'installer ailleurs pour répéter les mêmes erreurs, alors que le film utilise l'angle écolo ?
Et ensuite, mais boudiou, on parle de SF / Space Opera, ce truc qui en principe te vend du rêve à chaque seconde. Là y'a aucune créativité, on va refaire les mêmes quartiers avec les mêmes maisons qui auront les mêmes toits, et les gamins joueront aux mêmes sports ! Même pas une petite baraque "du futur" en forme de champi, 'fin un truc créatif quoi ! Alors je veux bien qu'on me dise que j'ai une approche bien vieillote - ou bien à moi - de ce genre de SF, mais à part y voir une propagande pro american way of life (avec tout le reste mis bout-à-bout je répète, à prendre dans son ensemble ce film), ben je ne vois pas.
Tu sais à quoi j'ai pensé devant cette scène, hein ? Au sketch des Nuls, Régis "oui, je vous entends bien, je viens d'atterir là, ça y est j'ouvre le sas, OH C'EST INCROYABLE ! C'EST EXACTEMENT COMME CHEZ NOUS !!! IL Y A DES BARS AVEC DES BABY FOOT, JE VAIS FAIRE UN FLIPPER", véridique ! 

 

Pour finir je réponds quand même à ta dernière question (bon putain après j'arrête va falloir 3 boites de Doliprane).
Des milliers de gens (millions ?) ont adoré Avatar. Je viens de vérifier : 7,8 sur IMDB, 82 % sur Rotten Tomatoes.
Ce qui n'est pas pourri du tout hein !
Purtant y'en a du monde à le trouver à chier ce film.
Donc bon, ce genre d'argument, ça vire vite au pot de fer vs. pot de terre, ça ne va pas nous emmener bien loin.

Mais par contre, oui j'avoue que c'est un peu le mode "seul contre tous", et c'est pas forcément la position la plus confortable.
J'ai essayé d'en causer un peu autour de moi. Réactions : "Hein ? Ben non..."
J'ai fouiné un peu le net. Bon, y'en a plein des gens qui ne l'ont pas aimé ce film, mais j'avoue je n'ai pas trouvé d'avis se rapprochant vraiment du mien.
Ca fait bizarre un peu.
Mais finalement Amon a également relevé le coup de l'instit' révisionniste.
Et la Vulve parle de "faits connus" pour ce qui est des accusations propagandistes.
Donc bon, je n'ai pas l'impression que mes arguments soient si farfelus que ça.
 



Jeudi 27 Fevrier 2020 - 23:46:09

Oui la scène avec les profs m'a fait tiquer, mais bon elle est courte.

Celle avec le bureau qui donne sur la salle de lancement aussi, c'est en effet assez farfelu. Ca m'étonne un peu que Nolan ait laissé passer un truc pareil. Loin de moi l'idée d'en faire un génie, mais je le trouve habituellement bien plus regardant.

Par contre pour la partie tests/entraînement avant de retourner dans l'espace, elle est tout simplement évacuée du film car ce n'est pas le sujet et c'est déjà vu pas mal de fois maintenant. C'est une ellipse, pas un défaut. Moi aussi je me suis dit : "Ils décollent déjà ??", puis j'ai compris qu'il y avait d'autres choses que Nolan souhaitait montrer. Ca équivaut à une scène où ils iraient chier : on doit se douter que c'est une condition sine qua non pour qu'ils continuent l'aventure dans les meilleures conditions.

!!! Ci-dessous, c'est spoilers à balle sur Interstellar, donc ceux qui ne l'auraient pas vu doivent prendre leurs jambes à leur cou !!!

Et enfin, pour la fin du film, j'ai un angle différent à te proposer. Beaucoup pensent, et ce n'est pas bête, que toute la partie finale est une sorte de représentation d'une expérience de mort imminente (EMI). Donc, après son passage dans le trou noir, Cooper serait mort. Il a le temps d'utiliser l'outil mis à sa disposition pour contacter sa fille, faire en sorte qu'une échappatoire soit trouvée pour l'humanité, et puis couic. Du coup, le fait qu'il revoie en partie le monde tel qu'il l'a connu commence à faire sens (les maisons qui ressemblent à la sienne, le base-ball, l'agriculture...). Il revoit aussi sa fille, dont il était extrêmement proche (et son esprit la lui montre vieillie puisqu'il savait qu'il risquait de la retrouver ainsi). Le comportement des gens dans la chambre d'hôpital, dont on évite soigneusement de nous montrer les visages, est bizarre aussi, ils sont comme des personnages peuplant un rêve, pas un n'a un mot à dire. Ils reculent pour laisser passer Cooper, puis reforment leur petit cercle lorsqu'il s'en va. La station spatiale sous forme de tunnel avec, au bout, une lumière blanche est assez évocatrice aussi de ce qu'on nous dit de ce genre d'expériences. Les petites télévisions placées devant les maisons et qui radotent des choses que Cooper connaît sur le bout des doigts sont un truc assez étrange aussi. Reste la question du personnage d'Anne Hathaway à la fin (est-elle morte aussi et voit-on sa propre EMI ? a-t-elle bien réussi à se rendre sur une planète viable ? s'agit-il d'une vision qu'a Cooper lors de son EMI... ?). Bref, Nolan aime les fins ouvertes et énigmatiques, pas seulement sur le plan narratif mais aussi d'un point de vue plus "intellectuel" ou, en tout cas, conceptuel et visuel. Ca modère pas mal de tes impressions sur les intentions du film, et c'est pas forcément plus capillotracté que ton raisonnement ha ha.

Fin des spoilers.

Le côté propagande insidieuse, je n'y crois pas. Pour la simple et bonne raison que les masses sont tellement faciles à abrutir et/ou à manipuler qu'on se passe bien de tant de cachoteries. Si on reprend l'exemple de bien des guerres passées, pas seulement la seconde, on voit bien que la propagande est toujours assez grossière. Elle est faite pour toucher le plus directement possible les foules, avec des images criardes et des phrases accrocheuses. Bien sûr, il y a toujours plus insidieux derrière et les propos martelés cachent un plan plus vaste, une idéologie plus précise (moralement mauvaise ou pas, d'ailleurs). Je n'exclus pas quelques tentatives plus subliminales, mais je n'appliquerais pas du tout cette grille de lecture à Interstellar, je le dis franchement. En plus, chez Nolan, l'amour brisé et/ou les relations amoureuses et familiales sont très souvent au centre de tout. Bruce Wayne est poussé par l'envie de prendre pour compagne son amie d'enfance dans "Batman Begins" et "The Dark Knight". Cette aspiration sera brisée à la fois dans "The Dark Knight" d'une première façon, puis dans "The Dark Knight Rises" d'une seconde façon. Le personnage principal de "Memento" a certes à combattre ses pertes de mémoire, mais son but ultime est de trouver l'assassin de sa femme (même si je crois que le dénouement joue avec ça, je ne me souviens plus très bien, mais c'est bien un enjeu du film en tout cas). Que dire de Dom Cobb dans "Inception", dont toutes les péripéties ne visent, au final, qu'à retrouver ses enfants perdus après... devinez quoi ? Un amour brisé. Je pense donc vraiment que Nolan n'en a pas grand chose à carrer de faire de la propagande pour l'american way of life. Qu'il l'apprécie, on peut franchement le penser vu ce qu'il en montre. Mais bon, il est Américain, c'est son monde, et au-delà de tout ça, il montre comment une famille suivant peu ou prou ce mode de vie se trouve déchirée, séparée par des événements qui les dépassent (comme dans "Inception"). Et quand je vois son insistance sur les larmes de Cooper, ou Cobb qui est au fond du trou parce qu'il a tout perdu dans "Inception", ça me parle (et pas seulement depuis que ma compagne est enceinte et même avant que je ne la rencontre, quand je pensais encore habiter seul parce que j'ai besoin de plus de moments de solitude que la plupart des gens de mon entourage). Comme quoi, le coeur de cible du film est peut-être plus large qu'il n'y paraît... Si propagande il y a, je rejoins Miskatonic : elle est évidente et ne vise qu'à promouvoir l'amour et les relations humaines, le tout à la sauce Nolan (qui ne prend manifestement pas sur toi, et c'est bien ton droit).



Jeudi 27 Fevrier 2020 - 23:48:48

@Krakou : Je ne vois vraiment pas en quoi des maisons terriennes et des gosses qui jouent au base ball seraient un signe qu'on répète nos conneries. Je ne vois pas non plus en quoi ce serait un signe que notre société n'avance pas ou n'évolue pas dans une direction écologique. Enfin bref, c'est un détail qui n'entre pas des masses dans le moteur de l'histoire. Insterstellar c'est quand même avant toute chose un mélodrame spatial, et moi j'aime les deux genres. Quand Douglas Sirk rencontre Kubrick. Quand au réalisme, je parlais surtout de celui lié à la technologie et à la physique fondamentale, le respect de la relativité, toussa. J'ai déjà causé de la sommité scientifique attaché au film. C'est pas Star Trek quoi, mais plus un truc à la 2001 ou Gravity. Enfin bon, tu commences à te répéter dans ton argumentation, et moi je vais faire de même si je rajoute une pièce. Donc statuons qu'on est absolument irréconciliable concernant Interstellar, et puis voilà.

Et en passant, c'est 8.6 sur IMDB, et non 7.8.

Tu l'as vu en VF ??



Jeudi 27 Fevrier 2020 - 23:58:41

Intéressante cette interprétation d'une EMI à propos d'Interstellar. Je n'y ai pas pensé une seule seconde je crois, étant à fond dans l'émotion. Bon après je me méfie des théories de types qui sur-analysent et te redonnent à penser tout le film sous un axe différent ou même radicalement opposé (Signes par exemple). Mais connaissant Nolan, et sa toupie, ouais, c'est troublant, surtout que cette scène de l'hosto avec la famille m'a également semblé bizarre, un peu comme Sixième Sens où le perso de Willis n'a jamais aucune interaction avec les autres, si ce n'est le gamin.



Vendredi 28 Fevrier 2020 - 11:06:48

Ouai pas con l'interprétation, un peu à la Inception quoi. Là encore j' vois un clin d'oeil appuyé à 2001 et sa fin dans le lit d'hopital.

Sinon le dernier film vu:

Aspro 1000 sur SOM Flix

Un bon scénarios de krakoukas avec une rélisation de Miskatonic et AmonAbbath

Film intéressant avec pas mal de rebondissement, mais des fois j'avoue m'y perdre un peu certains détails étant trop fouillés

 



Vendredi 28 Fevrier 2020 - 23:11:29
Miskatonic dit : @Krakou : Je ne vois vraiment pas en quoi des maisons terriennes et des gosses qui jouent au base ball seraient un signe qu'on répète nos conneries. Je ne vois pas non plus en quoi ce serait un signe que notre société n'avance pas ou n'évolue pas dans une direction écologique. Enfin bref, c'est un détail qui n'entre pas des masses dans le moteur de l'histoire. Insterstellar c'est quand même avant toute chose un mélodrame spatial, et moi j'aime les deux genres. Quand Douglas Sirk rencontre Kubrick. Quand au réalisme, je parlais surtout de celui lié à la technologie et à la physique fondamentale, le respect de la relativité, toussa. J'ai déjà causé de la sommité scientifique attaché au film. C'est pas Star Trek quoi, mais plus un truc à la 2001 ou Gravity. Enfin bon, tu commences à te répéter dans ton argumentation, et moi je vais faire de même si je rajoute une pièce. Donc statuons qu'on est absolument irréconciliable concernant Interstellar, et puis voilà.Et en passant, c'est 8.6 sur IMDB, et non 7.8.Tu l'as vu en VF ??


Bah pas grave, comme d'hab' l'important dans le débat c'est pas la finallité du but du truc machin mais le chemin du voyage du parcours bidule, 'fin tu vois bien quoi laugh

Et non, vu en VO sur la box, pour être précis enregistré et maté plus tard.

 

 

Ben ça se défend carrément l'hypothèse de la vision "pré-mortem", faudrait revoir la scène (bon juste celle-ci alors hein  ), mais ça ne semblerait pas incohérent. Et plutôt une bonne figure de style pour le coup. Petite comparaison lointaine, mais la vision "pré-mortem" moi c'est mon hypothèse pour Donnie Darko (et voilà, encore un pompage honteux de Nolan, aucune créativité hahaha, oh hé ça va on peut déconner  )
 

 



Samedi 29 Fevrier 2020 - 00:42:56

Pas idiot l'interprétation de la fin. Les images de mémoire un peu floutées m'avaient aussi interpellé sur le moment. 

Chouette échange et en effet positions trop éloignées pour avoir envie d'y mettre un sou de plus.

En tous cas, c'est interessant, ça m'a donné envie de le revoir. 



Samedi 29 Fevrier 2020 - 14:31:17
Y_RPLEUT dit : Ouai pas con l'interprétation, un peu à la Inception quoi. Là encore j' vois un clin d'oeil appuyé à 2001 et sa fin dans le lit d'hopital.Sinon le dernier film vu:Aspro 1000 sur SOM FlixUn bon scénarios de krakoukas avec une rélisation de Miskatonic et AmonAbbathFilm intéressant avec pas mal de rebondissement, mais des fois j'avoue m'y perdre un peu certains détails étant trop fouillés 

 

   trop ça.....

 

j'avais vu un truc sur l'EMI dans interstellar et c'est vrai que c'est pas con..........mais faut pas oublier que c'est un film très poétique dans sa forme, et ce point de vue peut tout aussi bien expliquer les multiples raccourcis et "incohérences"............sans trop se faire des noeuds au cerveau  ;)

 



Samedi 29 Fevrier 2020 - 22:11:41

Nerve 2016

Je met ça en "SF" parce que c'est de l'anticipation.

Nerve est un jeux officieux que tout les jeunes connaissent ou presque, le but est de relever des défis proposé en échange d'argent. Le film ce déroule en 2020 on a donc un accroissement de la technologie des téléphones par rapport à sa date de sortie, mais c'est encore plus que notre vrai 2020 du coup. Bref hyper connecté, la vie de tous est à la vue de tous. Plutôt intelligent comme film et surtout très belle réalisation et surtout photographie, pourtant, que ce soit les deux réal ou le chef op ils n'ont pas un gros CV.

Une sorte faux remake de The Game avec Mickael Douglas. Un film que j'avais adoré et qu'il faudra que je revois.

EDIT: 1h

A.I. Intelligence Artificielle 2001

Un sacré grand film qui m'a retourné, donc je vais pas développer plus que ça, c'était dingue et Haley Joel Osment bordel il était bon putain, flippant et touchant en même temps. C'était juste dingue. Je vais le digérer et aller voir ce que je trouve comme analyse du film.