Le Grand Cinéma >> Films Horreur, Fantastique, Sci-fiction VOLUME 16
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Lundi 15 Mai 2017 - 18:53:44

Ouuuiii, c'est vu. Série B sympathoche.



Mardi 16 Mai 2017 - 13:27:12


citation :
Miskatonic dit :
Profondo rosso est un de mes Argento favoris, avec Ténèbres et Suspiria. Grande classe ce film, et ouais le coup de miroir, putain comment on s'est tous fait niqué là dessus. Les excès gore, qui commençaient à fleurir dans ces années là, sont jouissifs. Un pur film d'épouvante atmosphérique. C'est la version longue de deux heures que tu as vu Fabien ?

Ouais, et ça m'a pas paru si long.
Me semble que sur cette version restaurée, l'étalonnage a été refait par l'ancien directeur photo de Argento.




Elle m'a fait tripper cette scène un peu surréaliste, où les mecs bavent à voix haute en pleine nuit, ce n'est plus du cinoche, c'est une scène de théâtre !

Pareil y'a un travelling au tout début du film (la conférence de parapsychologie), tu rentres dans la salle avec le rideau rouge qui s'ouvre juste devant toi, là aussi très théâtral.



Mardi 16 Mai 2017 - 14:12:24

J'ai la version Wildside, pas revu depuis un bail. Mais ce ne serait pas étonnant. Cet éditeur propose souvent des nouveaux masters avec l'étalonnage refait en présence du directeur photo. C'était déjà le cas avec l'édition de Suspiria.


Mardi 16 Mai 2017 - 14:31:50

Ca devait être cette version (de Suspiria) qu'Arte avait diffusé aussi l'autre fois, et pareil, la grosse régalade !
C'est marrant tiens, quand j'y repense, les "Parrain" que je me suis refait récemment (toujours Arte) c'était aussi de la "restauration 4k", ils ont du commandé un lot.


Pour revenir à nos Frissons de l'Angoisse, extrait du wiki rital mais on arrive à peu près à comprendre :

Il 28 novembre 2014 il film restaurato è stato proiettato al Torino Film Festival. Alla proiezione ha partecipato anche il regista, che ha annunciato il ritorno al cinema, nel 2015, della pellicola restaurata in occasione del quarantennale dall'uscita del film nelle sale.

Nel dicembre 2015, è uscita la per il mercato Home video inglese, la versione Director's Cut (Deep Red: The Director's Cut), in edizione Blu ray Disc, con traccia audio inglese e italiana della durata di 127 min, restaurata in 4K, partendo dalla scansione degli originali negativi. L'intero procedimento è stato supervisionato dal direttore della fotografia Luciano Tovoli (Suspiria, Tenebre), e approvato da Dario Argento.




Mardi 16 Mai 2017 - 15:28:51

Sauf que c'est pas Luciano Tovoli qui a éclairé Profondo Rosso, mais Luigi Kuveiller. Bon, en même temps ce dernier a passé l'arme à gauche en 2013, ce qui explique la présence du père Luciano lors du remaster de 2015.

Donc 127 minutes en blu-ray, ça donne bien une durée de 120 minutes pour l'édition DVD que je possède. Me faudra donc chopper à l'occasion cette restau 4K. Merci pour l'info vieux.


Mercredi 17 Mai 2017 - 12:06:43

Y'a une différence dans les durées entre blu-ray et dvd ou j'ai pas bien compris... ?



Mercredi 17 Mai 2017 - 12:20:46

Absolument.

Sur un Blu-ray, le film est encodé à 24i/s, soit la vitesse de défilement du film en salle. Sur un blu-ray, tu as donc la vraie durée cinéma d'un film. Il est d'ailleurs souvent inscrit sur le boitier en spécificités techniques : true 24p.

Sur un DVD le film est encodé à 25i/s. Le film défile donc plus vite d'une image par seconde, et se terminera forcément un peu avant. C'est imperceptible à l'oeil, mais la différence est de l'ordre de 4%.

Donc, par exemple un film qui dure 120 minutes au cinéma, durera 120 minutes en blu-ray 24p et 115 minutes en DVD.





Mercredi 17 Mai 2017 - 16:51:23

Ah bah j'en savais rien tu vois, cinq you !
(comment j'vais pouvoir m'la raconter dans les dîners mondains maintenant)



Mercredi 17 Mai 2017 - 18:20:39

(Ha ha ! Fais gaffe tout de même, moi je passe de temps en temps pour un type qui a "un problème")



Dimanche 28 Mai 2017 - 18:51:54

A Cure for Life de Gore Verbinski.

Synopsis : "Lockhart, jeune cadre ambitieux, est lancé sur la trace de son patron disparu dans un mystérieux centre de bien-être en Suisse. Pris au piège de l’Institut et de son énigmatique corps médical, il découvre peu à peu la sinistre nature des soins proposés aux patients. Alors qu’on lui diagnostique le même mal qui habite l’ensemble des pensionnaires, Lockhart n’a plus d’autres choix que de se soumettre à l’étrange traitement délivré par le centre…la Cure."



Sans spoiler, on pense tour à tour à Dracula (jusque vers le centre, où les tenants et aboutissants sont similaires), à Shutter Island souvent, à Giorgino un peu aussi, voire à Shining.

Très bien, malgré deux / trois longueurs et incohérences (le perso principal a bien peu l'instinct de survie dans ces décisions, quelques passages tirés par les cheveux (dans le village), une fin un peu caricaturale). Les persos sont bien trouvés, les décors adaptés et le scénario plutôt astucieux, même si ça traîne un peu et si y'a des passages superflus. Musique bien foutue, images soignées et parfois somptueuses, quelques "gueules" bien choisies.

2h30 de tension où Verbinski retrouve du mordant et un côté plutôt dérangeant.